Légitimité

Notions :Etat, constitution, justice constitutionnelle, souveraineté, légitimité démocratique, limitation du pouvoir. Partie 1 : L’encadrement du pouvoir politique : l’institution du droit. Titre 1 : l’Etat Chapitre 1 : la notion d’Etat. -Le doit constitutionnel est le droit d’Etat. Son but est d’organiser les organes de l’Etat pour qu’il fonctionne. -Louis XIV : « L’Etat c’est moi » renvoi à un caractère de la monarchie absolue(plus possible aujourd’hui). L’Etat s’accommode de toutes les formes

Etat autoritaire par exemple l’Arabie Saoudite. Dans ces pays la le peuple subit une répression et voit ses droits bafoués. On voit clairement que l’Etat de Droit donne une certaine légitimité au gouvernement et à l’Etat lui-même. En créant une indépendance du pouvoir juridique, ne renforce-t-il pas cette légitimité ? b) L’indépendance du pouvoir juridique La séparation des pouvoirs en trois (exécutif, judicaire et législatif) est primordiale dans un Etat de Droit. En divisant les pouvoir

dans les religions aussi. On peut dire alors « qu’il a du pouvoir là où il y a une relation inégalitaire, mais aussi là où il y a conflit ou litige. » Le Pouvoir est toujours tiraillé entre 2 extrêmes, d’une part la Coercition et d’autre part la légitimité. • Les caractères du Pouvoir Politique : Le P.P est un phénomène de pouvoir comme les autres, mais il s’en différencie par sa complexité. 1) un phénomène comme les autres : C’est phénomène d’autorité C’est un phénomène de puissance

l'adhésion et l'obéissance. Ainsi, un discours argumenté peut entraîner l'adhésion. Là encore, le pouvoir persuasif ou d'influence est limité. - Repose sur la légitimité : c'est la capacité de faire accepter ses décisions comme bien fondées. Est légitime tout comportement qui est jugé acceptable par une grande partie de la population. La légitimité crée une discipline volontaire et librement consentie. Elle se distingue de la légalité qui correspond au respect des lois. - Suppose de l’autorité : Le

important qu’une loi soit mise en vigueur, seulement si le peuple ne la subit pas et vote au moins une fois à l’unanimité. Cela pose cette fois ci la question de la légitimité. C’est donc après avoir vu qu’il semble généralement être légal qu’un homme soit privé de sa liberté, nous allons voir si cette légalité entraîne nécessairement la légitimité de cet acte. Voyons maintenant dans quelle mesure il peut paraître légitime d’ôter sa liberté à un homme. Comme nous l‘avons vu précédemment, les désirs d’un

que nuancées. En effet, l’Etat, qui a presque toujours dû user de violence pour s’instituer, a besoin de pouvoir contraindre pour faire respecter les lois et détient pour cela le « monopole de la violence légitime » dégagé par Max Weber. Mais la légitimité de cet usage de la force tient au caractère proportionné de la violence utilisée par rapport à l’atteinte faite à l’intérêt protégé. L’Etat se doit donc d’user de contrainte pour lutter contre la violence intrinsèque à toute société humaine, mais

sociétés du capitalisme avancé »[1]. Quelques décennies plus tard pourtant, Habermas change de ton avec sa philosophie de la démocratie radicale qui repose sur la capacité rationnelle et critique d'une société civile qui est la source ultime de légitimité démocratique. A travers deux extraits d’ouvrages que sont « l’espace public » d’Habermas et « sociologie de la modernité » de D. Martuceli, nous allons dans un premier temps analyser la conception d’Habermas de l’espace public et son déclin supposé

puisque chaque bureau de vote doit comptabiliser les votes blancs, mais il n'est pas reconnu officiellement dans la mesure où il est mélangé avec l'abstention !!!!!!! Si le vote blanc exprime une défiance à l'égard des candidats, il reconnaît la légitimité de l'élection. Selon un sondage du CEVIPOF, 36% de ceux qui votent blanc le font car ils ne se reconnaissent pas dans les candidats et 35% le font car ils sont hostiles à la politique. Il existe un « parti blanc » dont le seul objectif est

politique avec la professionnalisation du politique, plus les capitaux demandés augmentent et plus il y a un renforcement des institutions politiques. Bourdieu souligne également que, comme dans le champ religieux où la légitimité du prêtre repose sur la croyance, la légitimité des politiques repose sur la confiance des gouvernés : c'est ce qu'il appelle le capital symbolique. Il y a alors une « lutte pour conquérir l'adhésion des citoyens est aussi une lutte pour le monopole légitime des ressources

application et d'administrer l'état par des décrets. Selon le sociologue Max Weber l'Etat est une entité qui possède le « monopole de la violence légitime ». L'Etat va s'octroyer ce monopole par la reconnaissance de sa légitimité. Une telle reconnaissance est primordiale. Or, cette légitimité du pouvoir que possède l'Etat et notamment ceux qui se trouvent à la type de l'Etat dépend de la relation entre les hommes de pouvoir, les gouvernants, et les gouvernes. La limite du pouvoir des dirigeants est nécessaire