Légitimité

soumission de l’esclave. Rousseau poursuit son raisonnement après avoir rappelé que le droit n’était pas fondé sur la nature ou sur la force. Il prend alors le cas des conventions, c’est-à-dire des accords passés entre les hommes, comme éventuel légitimité du droit et de l’autorité d’un homme sur un autre. Il s’agit donc d’examiner la situation de l’esclavage. Ainsi, Rousseau va analyser l’analogie que fait Grotius entre la situation de l’esclave face à son maitre et celle du peuple face à un souverain

Les réalistes tentent d’expliquer que la guerre est due à une certaine absence d’État autoritaire central. Dans son article, Justin Massie questionne la légitimité du déploiement militaire d’un autre acteur dans la guerre afghane, le Canada. En effet, le Canada constitue un cas intéressant. Massie estime que le Canada peut en toute légitimité recourir à la force si c’est dans l’intérêt du pays d’en faire autant. Cependant, le débat se situ dans la nature même de ces intérêts. La première thèse qu’il

priori qui s’exerce avant l’entrée en vigueur d’une loi et donc par voie d’action. Cependant, l’intérêt de notre sujet ne portera pas sur le fonctionnement de ces deux modèles mais plutôt sur les enjeux poses par ce contrôle ainsi que sa légitimité au vu de la notion démocratie. De plus, Montesquieu déclarait en 1748 dans De l’Esprit des Lois que « tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ». On peut donc supposer que ce gouvernement des juges représenterait un danger pour la démocratie

rapports qui en sont l’objet du cadre étatique *Le texte de référence *Détermine les modalités de participations des citoyens dans le régime politique «  Etat » Les lois ont légitimité charismatique, légitimité traditionnelle+historique (population obéit), légitimité basée sur la raison=règles établi rationnelles MAROC : légitimité (historique+rationnelle) TUNISIE :ayad benachir :démocratie jamais synonyme de justice=participation du peuple toujours faible USA : démocratie des riches =démocratie

par les autorités qui édictent ses regles, notion d’autorité compétente pour la regle de droit doit se faire. Il y a du coté de la regle du droit il y a une légitimité laïque des autorités qui édictent les regles. Donc intérêt pour l’aspect procédural de la regle. Pour def une regle de droit, voir qui l’a édicté pour être sur de sa légitimité. Regle religieuse beaucoup plus imprécise, générale que la regle de droit. Pourquoi appliquer regle de droit ? Parce que peur de la sanction. Regle religieuse :

que la partie régulière de son activité. De facto, la cour d’appel a au contraire elle jugé qu’il y avait lieu d’indemniser aussi la perte des revenus dissimulés et en ce sens la MAAF s’est pourvue en cassation. La cour s’est alors demandé si la légitimité du préjudice était-elle une condition supplémentaire de la réparation de ce dernier. Chacune des parties doivent s’échanger les conclusions et cet échange doit se faire dans des délias raisonnables pour permettre à chacune des parties de développer

s’unir, en particulier pendant les crises avec l’URSS. 1)Les relations conflictuelles entre De Gaulle et Roosevelt(1940-1945) 1.1 Les divergences sur le sort de la France pendant 1940-1945 L’acharnement du général de Gaulle à faire reconnaitre sa légitimité auprès du gouvernement américain fut l’objet de tensions tout au long de la guerre. En 1940, la France est considérée par le président Roosevelt comme un pays vaincu . Et le seul gouvernement légitime n’est nul autre que le gouvernement du maréchal

devenus des représentants du peuple travaillant dans son intérêt et n’étant légitime que par le vote de celui-ci. Ceux qui gouvernent n’ont d’autre légitimité que parce qu’ils sont choisis et parce qu’ils continuent de travailler suivant la volonté du peuple. Mais souvent la volonté du peuple est confuse et c’est ce qui donne une certaine légitimité a la recherche des intérêts de la nation (non du peuple seul) et d’inscrire toute la démarche des représentants dans la légalité. Toute forme de répression

Pour certains, l’action collective permet la prise de parole légitime dans l’espace public de certaines catégories de population. Pour d’autres, l’action collective se résume à la défense d’intérêts spécifiques qui entrent en conflit avec la légitimité acquise par les décideurs suite à des élections. À partir d’exemples, expliquer ces deux positions et faites-en une évaluation L’action collective est une action qui se développe sous différentes formes. Les principales formes de cette action sont

française. On peut toutefois ajouter que ce contrôle de la constitutionnalité s’opère de différentes manières. En France la constitution correspond à la base de la législation, on peut également dire que la constitution permet de régir de par sa légitimité, l’ensemble de notre société. Mais qu’est-ce que la constitution a proprement parlé ? La constitution est un ensemble de normes placées au sommet de ma hiérarchie juridique et qui s’imposent à tous. Elle est le garant des droits et libertés fondamentales