Légitimité

portant un glaive et une balance et portant aussi un bandeau sur les yeux, pour l’impartialité, ne pas prendre partie. La balance, car elle pèse le pour et le contre. Le glaive, car elle doit trancher. C'est-à-dire définir le jugement. Le terme de légitimité veut dire en d’autre terme accepter quelque chose. Dans le cadre de la justice, ce serait accepter, permettre un acte, qui dans d’autre circonstance, n’aurait pas été permit par la loi. Un acte excusé par la loi. La violence, elle, est pour la majorité

sur le rôle du droit comme un élément essentiel qui a contribué à la construction de la scité moderne. Weber a identifié qu’un des éléments essentiel de la légitimité politique c’est la légitimité légale rationnelle. A côté de la légitimité traditionnelle, il y a une spécificité des états occidentaux : le droit est devenu l’élément de la légitimité politique, permettant de réguler les conflits. Le droit est omniprésent : nous vivons dans un état de droit. Lorsque les institutions promeuvent des politiques

du pouvoir : L'état fournit au phénomène du pouvoir un certain nombre de caractéristiques, qu'on ne trouve nul par ailleurs. Il yen a 3 : _ La légitimité du pouvoir étatique. _ La permanence du pouvoir étatique ou l'institutionnalisation du pouvoir étatique. _ Le caractère de monopole, c'est à dire la souveraineté du pouvoir étatique. 1- la légitimité du pouvoir étatique : Pourquoi les gouvernés obéissent-il aux gouvernants ? a- Soit parce que les gouvernants les tiennent par la force :

publique. Il y a cette idée d'une violence qui vient "refonder" perpétuellement, nous rapellant que si l'on n'obéit pas de gré, on obéira de force. c'est ainsi que l'Etat devient garant de l'association du monopole de la contrainte et la garantie de sa légitimité Ainsi naissent les règles de vie sociale, les normes et leur intériorisation. Grâce notemment au travail éducatif, à un conditionnement social, la population a ainsi en tête toute une série de normes, et l'idée qu'il faille y obéir de soi-même,

Qd ce type particulier de pouvoir, qui est le pouvoir politique, est institutionnalisé, il s’incarne habituellement ds l’État. « le processus du transfert de pouvoir d’une personne physique à une personne abstraite » Hasting, 1996 = possède une légitimité afin de favoriser l’intérêt général = ce qui le différencie des autres formes de pouvoir. L’État de droit : Birnbaum (1994) note que cette expression est utilisé afin de distinguer les régimes démocratiques des régimes dictatoriaux. Ambigüité =

moment qu'il est. la force ne peut donc fonder aucun droit. Bien entendu cela ne signifie pas que le droit positif n'exprime pas des rapports de forces. La force cherche toujours à se donner les apparences du droit, à se couvrir du manteau de la légitimité au ne serait-ce que par souci d'instituer un ordre stable, permanent qui ne serait pas sans cesse sujet aux variations des rapports de force. La limite de la force c'est qu'elle ne vaut que dans son actualité ou dans la menace de son actualité (de

Fiche histoire Démier : Le bonapartisme au pouvoir La nation soumise et encadréeI. La dignité impériale→ but = assurer la pérennité du coup de force, donner une légitimité profonde à LNB=> forme = nouvelle dynastie→ nov 52 : les Français sont consultés pour savoir s'ils approuvent « le rétablissement de la dignité impériale en la personne de LNB » => près de 9 M° de « oui »→ 2 déc 52 (jour anniversaire couronnement de N1er) : LNB proclamé empereur héréditaire des Français => devient NIII→

veille également à l’intégrité du territoire, et à l’indépendance de la nation. Tout ceci est formalisé par l’article 5 de la constitution. - le président tire sa légitimité de son élection au SUD depuis 1962 (art 6). Il est ainsi aussi légitime que le parlement lui-même élu au SUD. La différence réside dans la nature même de la légitimité. Le président est légitime pour arbitrer, et non pas pour légiférer, comme l’est le parlement. - le gouvernement est irresponsable, irrévocable. Durant son mandat

droit. Puis il démontre cette thèse dans le deuxième paragraphe (l. 7 à 14) via un raisonnement par l'absurde : il prouve l'incohérence de l'existence d'un droit du plus fort. Enfin, dans la dernière partie (l. 15 à 22) Rousseau remet en cause la légitimité de ce qui se définit comme puissance et critique ce qui est à l'origine du droit du plus fort. “Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître”, car tout être humain, de par sa nature veut évoluer, et cette évolution peut

violence, illégitime ? Comment concilier le postulat de la violence naturelle de l'homme sans pour autant, non seulement cautionner, mais encore justifier - c'est-à-dire légitimer, rendre raison - de la violence à l'Etat civil ? C'est donc au fond la légitimité même de l'Etat dans son rôle de répression de toute violence qui est ainsi interroger. Plan I- Conséquence d'une doctrine belliqueuse de l'état de nature : une légitimation de la violence à l'Etat civil. La ruine du droit ·