Les Animaux Malades De La Peste L Art Du Recit

doublé d’une fonction symbolique anime donc La Fontaine dans la peinture des animaux. Certains animaux incarnent un état, un rang social : le lion représente le souverain ; l’ours, le tigre, le renard et le loup, les puissants. D’autres révèlent plutôt un trait de caractère : la pie, le bavardage ; la chèvre, l’entêtement ; le chat, l’hypocrisie. Cependant, comme nous l’avons vu avec l’étude du loup, un seul animal n’est pas figé dans un rôle mais offre différentes facettes de son caractère

très longue, vient ensuite le récit et la moralité, qui fait 6 vers. Donc la proportion récit/commentaire est ici à l’avantage du commentaire. Référence à la Grèce : Démosthène/Philippe. (licence poétique, Athène sans « s ») L’orateur fait trois tentatives pour tenter de capter l’attention de son auditoire. Première tentative : « D’un art tyrannique […] on ne l’écoutait pas » Discours narrativisé. L’orateur argumente en parlant des intérêts républicains + rhétorique « art tyrannique ». Deuxième tentative :

Lui encore moins. On note une grande variété dans les rapports entre la « moralité » et le récit : pas de morale du tout (VIII, 2 ou XI, 8), morale en tête (VII, 2), morale à la fois en tête et à la fin (VIII, 17 ou VIII, 1), morale répartie en divers points du corps même de la fable (VIII, 14 ou VIII, 27). On repérera aussi le procédé de la morale-énigme : le narrateur s'interroge sur la portée d'un récit ou même hésite sur les leçons qu'il comporte (VII, 3 ou VIII, 7). Tout cela - et surtout le

Fable : Les animaux malades de la peste Fable : ne respecte pas des formes calibrées mais est écrite en vers sous une forme libre. Les rimes ne sont pas organisées sous une forme stricte. Auteur : Jean de la Fontaine (1621-1695) XVIIème siècle C’est un poète français de grande renommée, principalement pour ses fables. Activités : Poète, moraliste, dramaturge, romancier et fabuliste Mouvement : Classicisme Genres : fable et conte Bibliographie : _ Ode au roi (1663) _ Conte (1665, 1666,

par le lion comme dans «  Les Obsèques de la Lionne » ou « Les animaux malades de la peste ». Les hommes de cour sont représentés par des êtres vils où les défauts des hommes ressortent. 3. Les circonstances d’écriture. La Fontaine utilise des sujets de l’actualité comme par exemple l’incapacité des médecins a son époque dans « Le Cerf Malade » XII, 6. Il dénonce la justice de son temps comme dans « Les animaux malades de la peste » ou Il fait aussi des allusions à la politique de sa société

Dissertation (Introduction et 1ère partie) Sujet : La littérature vous semble-t-elle un moyen efficace pour comprendre et critiquer le pouvoir ? La littérature est un art plus ou moins fictif,regroupant « l’ensemble des œuvres écrites ou orales » (d’après le dictionnaire Larousse). Le pouvoir, symbole de l’autorité et de la puissance donne le moyen d’influer sur la réalité. Ainsi lalittérature, peut-elle expliciter efficacement ce qu’est le pouvoir, la réalité, et y porter un regard critique

Raisons liées à leur forme a) La nature même de la fable et de l’apologue est de présenter un récit à visée moralisatrice (ex de Ésope, Phèdre et La Fontaine qui chacun en leur temps écrivent l’anecdote du corbeau et du renard pour dénoncer les flatteurs et ceux qui aiment être flattés). b) L’objectif premier de la fable : écrite en priorité pour l’instruction, Ésope et Phèdre ne s’attardent pas sur le récit, c’est la leçon qui est première. c) Fable ou apologue se présentent comme des textes courts

des situations non moins caricaturales. Le personnage est un moyen narratif et la structure du récit imaginaire, cette structure semble se répéter dans le monde entier que se soit dans les fables ou dans les contes selon les différentes cultures. Pourtant, la profondeur que les analyses de contes ou de fables ont révélée dans ces histoires tend à montrer qu'il y a davantage à l'œuvre dans ces petits récits que les simples lieux communs qu'ils véhiculent. Qu’est ce que la fable ou le conte font ils

La littérature, un art qui depuis des siècles perdure et que même les nouveaux médias ne peuvent amoindrir… Pourquoi ? Parce que la possibilité de s’exprimer de manière à ce que toutes les personnes, quelque soient leur âge, leur sexe ou leur classe sociale, puissent entendre notre message et que celui-ci nous survive et passe à la postérité est un avantage inestimable. Certains peuvent ainsi s’épancher, partager leur expérience, donner leur vision du monde. Mais de nombreux hommes de lettres se

comme l’atteste dès le premier coup d’œil la disposition en vers. L’un est une fable classique, avec des animaux mis en scène et une morale finale, l’autre s’apparente davantage au conte, des personnages typés évoluant dans un monde irréel et exotique. En revanche, les textes C et D sont eux des extraits de romans, un long monologue pour celui de Camus, une alternance de dialogue et de récit chez R. Lewis. Nous pouvons donc nous demander ce que ces textes ont en commun. Cependant, tous relèvent,