Les Apports Et Les Limites Du Modèle Taylorien

chaine : le produit se déplace sur une chaine de montage * Spécialisation horizontale : le processus de production est découpé en tâches élémentaires. * Le courant administratif : le management comme organisation globale de l’entreprise Un modèle d’organisation type : la bureaucratie Reposant sur : * La division du travail * La mise en place d’une hiérarchie clairement définie * Une sélection formelle * Des règles et des normes formelles * Un mode de relation impersonnel

| | | Le courant taylorien axé sur l’organisation scientifique du travail (OST) se caractérise par la recherche absolue d’atteinte des objectifs. Il vise | | |à augmenter la productivité par l’expérimentation des modes opératoires reposant essentiellement sur une parcellisation à outrance des tâches. Cette | | |manière de faire a aboutit à une très grande productivité. Les travaux de ce « savant ouvrier » ont apporté bien de changements à la nature du travail :|

hypothèses implicites inhérentes à la nature humain permettant de distinguer ces deux modèles sont : 1er modèle de management : l'homme n'aime pas le travail et refuse les responsabilités, il doit être surveillé et dirigé. Ici le gestionnaire à une vision négative de ses subordonnés, les jugeant peu intéressés par leur travail, ce qui le fait agir d'une manière autocratique. C'est la théorie de X. 2 ème modèle : l'homme peut être motivé par le travail, il accepte, voire recherche la responsabilité

un fort développement des produits et des services et l’on demande au contrôle de gestion d’être un outil d’aide à la décision et permettant de contrôler les acteurs dans la structure. Le contrôle de gestion a donc été développé dans une optique Taylorienne dans le but de contrôler la productivité du travail ✓ Les années 70 marquent une réelle évolution. La transformation du contrôle de gestion est liée à l’interaction entre l’entreprise et son environnement : le contrôle de gestion se développe

classique ……………………………………………………8 1- F.W.TAYLOR …………………………………………………………………8 2- Henri FAYOL ……………………………………………………………….. ..12 3- Max WEBER …………………………………………………………………14 V- Les limites et critiques de l’école classique…………………………………………..15 VI- Le prolongement des classiques …………………………………………………… 16 1- Le fordisme……………………………………………………………………16 2- Le toyotisme………………………………………………………………….

la gestion d'une entreprise de production requiert une qualification très différente de la conduite d'un simple atelier. Les seules organisations véritablement hiérarchisées étaient, au XIXème siècle, l'armée et l'église. Bien qu'inspirée de ces modèles, la conduite des organisations productives doit trouver une voie qui lui soit propre et adaptée aux exigences d'une entreprise dans un contexte tout à fait nouveau : • Succession des innovations et de leur application industrielle qui induit une mécanisation

principes du modèle fordiste ? Le fonctionnement des organisations à évoluer au fils du temps en fonction du contexte politique, économique et sociale. On voit tout d’abord apparaître le modèle du fordisme développé par Henry FORD qui est une approche classique de l'organisation du travail datant du début du 20ème siècle. C'est le prolongement du taylorisme. Il reprends donc l'organisation scientifique du travail avec la séparation des tâches. Il y apporte trois innovations

croissance et de développement. Quelles sont les buts et les finalités du management organisationnel, et donnent-ils à ces pratiques depuis leurs conceptions jusqu’ à leurs usages et leurs appropriations ? Pour ce faire, nous intégrons certains apports des sciences afin de tenir compte des enjeux organisationnels et institutionnels qui influencent aux nouvelles pratiques dans certains secteurs du marché. Nous étudierons dans un premier chapitre de quoi s’agit le management, ensuite dans le second

constituent toujours un élément central des débats sur les nouvelles formes d’organisation du travail. Les limites du modèle de Taylor reposent tout d’abord sur une vison très appauvrie du potentiel humain. En effet Taylor a cru que l’on peut rationaliser le travail en réduisant ou en supprimant l’initiative et l’autonomie au travail. En fin de compte , on peut reprocher à la théorie Taylorienne de voir essentiellement dans l’homme ouvrier deux bras pour exécuter des tâches répétitives et pour activer

s’en dégager de manière discriminante. Bref historique des pratiques managériales de la veille et de l’intelligence économique en France 1. La première époque managériale fut le Taylorisme. La veille repose sur le mode taylorien : séparation et répétition des tâches, désir d’un modèle pérenne, verticalité des relations, désir de la vérité montrable et explicite… L’entreprise a commencé par croire à la « maîtrise » de l’information, en tombant dans la mégalomanie du « tout voir et tout savoir ». La