Les Causes D Exonération Du Débiteur

dette de réparation en profit de la victime et à la charge de l'auteur du dommage. La victime est créancière de l'indemnité. L'auteur du dommage en est débiteur. Le rapport entre la dette et la créance est un lien de droit appelé obligation. C'est le VINCULUM JURIS : le lien d'obligation, c'est à dire par lequel le créancier peut demander à son débiteur l'accomplissement d'une dette (côté actif) ou d'une créance (côté passif). En l’occurrence, l’obligation née d’un accident, d’un événement, autrement

les majeurs protégés. 3. L’objet du contrat Selon les dispositions légales de l’article 1108 du code civil « il faut un objet certain qui forme la matière de l’engagement ». L’objet de l’obligation, c’est ce qui est dû au créancier par le débiteur. De plus l’article 1126 du code civil détermine l’objet comme une chose qu’une partie s’oblige à donner à faire ou ne pas faire. L’objet doit exister, être déterminer ou déterminable, possible et licite. Le prix : dans les contrats synallagmatiques

la charge du responsable au profit de la victime créancière de la réparation. Le droit de la responsabilité civile délictuelle a considérablement évolué depuis 1804. En 1804, les articles 1382 à 1386 suffisaient car la plupart des dommages étaient causés par une faute d'imprudence ou de négligence ou bien par le fait des parents, des commettants, des professeurs, des animaux ou encore de la ruine des bâtiments. Le proportion des cas de faute était alors très largement supérieure aux cas minoritaires

juge à l'autre. Le juge civil est tenu par l'appréciation des faits qu'a fait le juge pénal.  § 3. – Responsabilité civile et responsabilité administrative  Responsabilité administrative = obligation de l'Administration de réparer les préjudices causés par ses activités ou celles de ses agents. Peut être engagée par toutes les activités mais le régime de cette responsabilité diffère de la responsabilité civile.  Section 2. Division de la responsabilité civile § 1 – Le principe de la division

obligation ? La théorie des risques permet de répondre à cette question. Ainsi, on emploie la théorie des risques en droit des obligations lorsque le débiteur d'une obligation se voit dans l'impossibilité de l'exécuter à la suite d’une force majeure. Cette théorie prévoit deux situations : 1. Res perit debitori : La chose est perdue, alors c'est au débiteur de cette obligation, devenue impossible, de supporter les conséquences de cette impossibilité d'exécution. Le créancier de l’obligation est automatiquement

de faire une place en droit français à l’engagement unilatéral de volonté. En droit le mot obligation revêt un sens plus précis qui en fait l’équivalent du droit personnel : L’obligation est le lien de droit qui existe entre un créancier et un débiteur. De façon plus précise, c’est le rapport juridique en vertu duquel une personne est tenue envers une autre à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose. Une matière spécialisée du droit privée, le droit des sociétés emploie le mot dans un

comportement blâmable). Nous sommes dans un pays plutôt rural avec des possibilités de responsabilité réduites. Il y a la responsabilité du fait des animaux : article 1385 Code civil : c’est le propriétaire d’un animal qui est responsable des dommages causés par ce dernier. B.     La période postérieure à la révolution industrielle, apparition du risque et de la garantie : Fin 19e, révolution industrielle, occasion d’accidents (explosion de chaudière,…), les ouvriers se déplacent (voitures,…). La faute

lésion 20 a) L'erreur 20 b) Le dol 21 c) La violence 21 d) La lésion 22 2) La nullité du contrat irrégulier 22 a) Nullité relative et nullité absolue 22 b) Effets de la nullité 23 c) Les nullités pour causes et objets immoraux 24 V. Le contrat : contenu : interprétations et clauses courantes 25 1) L'interprétation du contrat 25 a) Règles d'interprétation 25 b) Influence du droit de la consommation 26 Clauses abusives 26

l’arrêt d’appel n’étant critiqué « qu’en ce qu’il a[vait] refusé d’exonérer totalement celle-ci de sa responsabilité, et non en ce qu’il a[vait] retenu une exonération partielle », déjà écartée par un arrêt de la première chambre civile du 13 mars 2008 (Bull. 2008, I, no 76 ; V. également Inès Gallmeister, « Faute du voyageur et exonération de la SNCF », Dalloz 2008, Actualité, p. 3079-3080). 1 er mars 2009 • Bulletin d’information Table des matières Table des matières Jurisprudence Droit

Partie 1: Les sources extracontractuelles des obligations (le fait juridique) Exemple introductif: Le paiement est un mode qui éteint l'obligation: cause normal quand le débiteur paie son créancier tout va bien. Ce paiement obéit aux mêmes règles qu'il éteigne une obligation contractuelle ou extra-contractuelle. Un fait juridique: Tout agissements volontaire ou involontaire qui entraîne des obligations qui n'ont pas été recherché par son auteur. 1ère observation: on parle de tout agissement