Les Champs Lexicaux De La Peau

la section Spleen et idéal des Fleurs du mal (1861). Ces deux poèmes font partie des textes inspirés par Jeanne Duval avec laquelle le poète a entretenu une liaison. Cette femme était métisse et Baudelaire la surnommait, en raison de sa peau brune, « la Vénus noire ». La lourde chevelure noire célébrée dans les deux textes est celle de Jeanne Duval. Au cours de cs commentaire nous nous demanderons an quoi ce texte est-il un poème en hommage à la femme aimée ? Bien que ce texte soit

façon l'auteur détourne le sujet principal et essaie de nous faire parvenir un nouveau message. La chevelure évoquée par l’animalité nous transporte ensuite dans une comparaison entre la nature et la chevelure. Ce procédé peut être observé par le champ lexical de la nature « forêt aromatique » v.9, « l'arbre » v.11, « sève » v.11, « mère d'ébène » v.14, « l'huile de coco » v.30, « oasis » v.34. Par ces figures de style, Baudelaire tente de nous faire revenir dans le passé, à l'origine de la vie humaine

brouillard » font écho aux « cocotiers » et à la « superbe Afrique ». L'allitération en "i" dans « Derrière la muraille immense du brouillard. » exprime la dureté. Il s'agit sans doute aussi de Jeanne Duval, sa première maîtresse qui était une femme noir de peau. Les orphelins[modifier]Ils font écho à la louve romaine. Comparés à des fleurs, ils sont, comme elles, flétris et figés. Les autres[modifier]Le poème, ouvert, se termine sur une énumération. Les personnages sont par ailleurs banalisés, avec

comment le romancier met il en scène de manière spectaculaire l’accomplissement du sombre destin de son personnage principal?µNous avons ici une focalisation interne car nous découvrons le personnage à travers le regard de Pauline. Nous avons le champ lexical de la peur avec les mots « cri terrible, ses yeux se dilatèrent ». Nous avons une énumération au passé simple qui souligne la réaction de la jeune femme. Tout son visage traduit l’horreur du spectacle. Ce comportement épouvanté fait frémir le lecteur

coup de foudre immédiat. L'écrivain met en place différents moyens pour que le lecteur croie en cette rencontre. Le texte est raconté à la première personne du singulier, ce qui nous donne un point de vue interne de l'histoire et nous plonge dans la peau de des Grieux. L'emploie du passé, du peu de détails et de descriptions dans ce passage donnent au lecteur une impression de rapidité de l'action. De ce fait, cela nous permet de suivre l’évolution de la passion de des Grieux. Ses sentiments sont

Plan détaillé : I Un assassin soumit à la fatalité dans un cadre naturel dominé par le soleil A) Un cadre perturbateur et hostile Une omniprésence du soleil durant tout l'extrait : Champs lexical du soleil/ Répétition du mot « soleil » /champs lexical de la lumière / Champs lexical de la chaleur : Mais toute une plage vibrante de soleil se pressait derrière moi. (l.1-2) / La brûlure du soleil gagnait mes joues (l.3)/ C’était le même soleil que le jour où j’avais enterré maman

dont la peau arrachée se collait à ses bas » ou encore Maupassant qui s’attache à décrire avec précision la mère de Duroy : « vieille rustique aux doigts usés, aux membres déformés ». L'usure est renforcée par le champ lexical du corps : « cassaient les bras »,, « épaules meurtries » mais aussi et notamment des pieds de Denise :  « Les pieds enflés »,  « petits pieds de fillettes qui semblaient broyés », « brodequins de torture »,  « la plante couverte d'ampoules », « la peau arrachée »

de l’auteur. La description des européens que fait Montaigne dans ce texte est réalisée de sorte à ce que l’on puisse se placer selon le point de vue des indiens. En effet, de nombreuses périphrases sont utilisés, ce qui glisse le lecteur dans la peau de l’indien qui est incompréhensif face aux européens et leurs habitudes. Il qualifie les chevaux des européens comme « des grands monstres inconnus » et il définie les armures des européens telles que des « peaux luisantes et dures ». Montaigne décrit

et fantastiques. La seconde partie de notre commentaire montrera que Mélancholia est avant tout un instrument de dénonciation où Victor hugo nous fait part de ses ressentis, de ses idées et de son désir de justice. Dans cette oeuvre, deux champs lexicaux principaux opposés sont présents: Le travail et l'enfance. Victor Hugo veut donc nous montrer l'univers dans lequel vivent les enfants qui travaillent. Il insiste sur la durée et les conditions de travail, ainsi que les impacts sur leurs états

scène un jeu verbal vertigineux parfois allant jusqu'à dépasser leurs maître comme lorsque Dorine rabaisse Tartuffe dans le Texte A. Si les valets deviennent souvent les maîtres du jeu, ils ne sortent pas indemnes de l'aventure. A vouloir vivre dans la peau d'un autre en empruntant son rôle, ils finissent par y croire réellement et ont ensuite le goût amer des désillusions. C'est le cas de Claire (qui se met dans le corps de sa maîtresse) qui fait ressentir a Solange (qui prends le rôle de Claire en tant