Les Dangers De La Modernité

poignée de réalisateurs, du cinéma allemand ou d’Europe de l’est. Je rappelle la longue crise du film d’auteur qui a disparu des circuits de distribution, ainsi que le destin de la radio culturelle, de plus en plus liquidée de nos jours au nom de la modernité, de l’audimat et d’un pacte occulte avec le nouveau monde des médias. Suprématie de la grosse distribution pointg.gif (57 octets) Mais on ne comprendra pas ce que signifie la marchandisation de la culture tant qu’on ne se souvient pas comment

Introduction générale. RÉSUMÉ. Cerner les objectifs du cours et mettre à plat les principales Interrogations qui guident les réflexions sur les industries culturelles. . MOTS-CLÉS : La notion de culture, conceptions idéales de la culture, modernité. Introduction : La culture à un sens d’anthropologique, la culture renvoie au comportement, à un monde d’acquisition (cela s’apprend), de comportement. La culture est le produit de la socialisation. L’être humain symbolise le monde sa propre

« rendez-vous des civilisations ». Il n'existerait ainsi pas d'antagonisme essentiel entre islam et occident, mais on se dirigerait plutôt vers une convergence des modèles. Pour Todd et Courbage, l'ensemble des pays du monde se dirige vers une même modernité qu'ils analysent d'un point de vue démographique. Le fait que la plupart des pays tende vers une baisse de leur fécondité les rapproche car ils vont se trouver dans des situations démographiques similaires. Dans cette optique, l'achèvement de la

il est la source de tout. Avec ses capacités supérieurs il peut percer les ombres du future et en outre « il est doux comme une femme » (v.l.18) car il a de la sensibilité. 6. Le poète est le pont entre le passe et l’avenir car il veut unir la modernité avec le passe. En effet il est convaincu qu’il faut construire le future sur les ruines du passé, et ce le motif pourquoi il cherche la tradition dans les ruines. 7. Les images qui font du poète l’intermédiaire entre les hommes et Dieu sont : «

une histoire de la conscience" atteste qu'a bien existé, progressant parallèlement à la nôtre, une autre modernité. Elle a placé en son centre non pas le progrès technologique, matériel mais la maîtrise de l'esprit. Comme la nôtre, elle a inventé ses propres "technologies", de plus en plus sophistiquées dans la connaissance de notre cerveau. Aujourd'hui, grâce au Dalai Lama, ces deux modernités convergent et dialoguent : science empirique de l'esprit pour les neuroméditants tibétains, neurosciences

la corvée et salariés partiels en offrant ses services au seigneur en échange de rétribution. A la fin du 18e siècle, les salariés sont majoritaires dans les campagnes. Chapitre IV: « La modernité libérale. » Le commerce et l’industrie se déploie de plus en plus malgré la lutte entre les adeptes de la modernité et les défenseurs des traditions. « La société du 18e siècle, comporte de progressiste conspire à faire du libre accès ou travail la nouvelle formulation de la question sociale » (256) Constitue

conception, finalement historiciste, a « abouti à construire la modernisation, non plus comme la résultante d’une loi d’évolution, mais comme un mode de réutilisation et de redéfinition des structures traditionnelles pour faire face aux espaces de la modernité ». Étant entendu que « la modernisation est très rarement un processus de changement planifié et contrôlé ». Raymond Boudon et François Bourricaud caractérisent la modernisation comme un processus à trois faces : mobilisation, différenciation, laïcisation

démocratie, parfois synonymes de tyrannie et d’asservissement, et du progrès qui peut affecter durablement l’intégrité morale et physique de chacun, et même sa survie (manipulations génétiques, problèmes écologiques, etc). II - Le chapitre II « Quand la modernité vient de chez l’autre » 1. Le propos et la méthode L’auteur commence par critiquer les doctrines, car aucune n’est « nécessairement libératrice, toutes peuvent déraper ou être perverties »2, qu’elles soient religieuses, politiques ou autres. Les

prophète (SAW) - que dans son dogme juridique, afin de servir de code moral, social et spirituel aux fidèles, et que donc, la notion d’évolution ne s’attache pas à ce code, mais à celui qui doit l’appliquer, à savoir le croyant. L’intégrisme juif: un danger ? Là encore, on est à mille lieues des processus « simplistes » de l’intégrisme musulman ou des exigences principalement spirituelles de l’idéal chrétien. Il n’est rien, absolument rien, dans le christianisme présupposé le plus intégriste, qui

les conséquences de leurs actes (mala exempla). Heureusement, certains sont inaptes à apprendre le mal, comme le remarque Sénèque l. 34-36, ce qui évite que la contagion de la cruauté devienne générale. Il faut remarquer la modernité de cette réflexion sur les dangers de perversion morale liés au divertissement : à notre époque où la violence est continuellement véhiculée par les écrans de télévision, ne devrions-nous pas nous aussi nous protéger de son insidieuse contagion ?