Les Dangers Des Particularismes Religieux

divine de répandre la démocratie et la civilisation vers l'Ouest.) 1- La France comme «fille aînée de l'église» Ce Fait peut trouver une source d'ordre religieux lointain. Les français pensaient que la France avait un destin religieux. Être plus chrétien que les autres a longtemps été valorisé et le rapport entre la France et le religieux ont historiquement contribué à cette idée de « mission ». A la fin du V siècle (496 ou 498...) le baptême de Clovis est un événement singulier car c'est

L’onction sainte que Saül reçoit du prophète Samuel représente/symbolise cette vocation divine qui lui permet de se distinguer des autres chefs. Cette vocation divine qui le rend acceptable dans un état profondément religieux. La hiérarchie israélite présente en effet un aspect religieux très marqué. Le roi n’est pas Dieu, il est serviteur de Dieu. La royauté, s’il elle n’est pas divine, est sacrée. Cela signifie que si le roi se libère de la volonté de Dieu, le roi perd sa vocation. Le premier roi

la culture pour entrer dans la civilisation perd sa capacité de donner sens au monde. Les grandes civilisation ont toujours eu une propension à l'universalité. Elle définit la nation par une tradition culturelle (univers culturel habituellement religieux). La civilisation moderne est la première qui pose ses fondements en dehors de toute histoire et de toute culture. Ses fondements sont la science (raison scientifique ) et au niveau politique, les droit de l'homme. La civilisation moderne c'est

comme un invariant de la pensée sociale, la plupart en synergie avec la pensée religieuse = la providence (les élus). Elle est à l’origine d’un certain nombre de mouvement sociaux politiques qui vont contester cet ordre social (nouveaux mouvements religieux, mouvement socialiste etc. … théorie de la lutte des classes de Marx). 1 Son esprit d’utopie Il est le premier de la philosophie occidentale à définir une société idéale, une république parfaite qui n’existe nulle part. Cette idée d’utopie va perdurer

tire sa validité elle-même da la Constitution puisque celle-ci une norme habilité le Parlement a voté des lois. III Hiérarchie statique et hiérarchie dynamique La morale : système de normes non juridiques Distinction : Système juridique/morale/religieux * Seul le système juridique admet une relation statique et dynamique Ex : Un tribunal prononce une norme «  M. D doit subir une peine de 5 ans de prison ». Cette norme est valide puisqu’elle tire son fondement d’après 2 normes de valeurs supérieures :

apparaît aussi peu clairement défini, il peut être interprété d’autant de façons, et servir dans la pratique à des usages presque aussi nombreux que le mot « religieux ». On ne peut guère non plus attacher à ce qualificatif une acception absolument précise, qu’il s’agisse de définition théorique ou d’acception usuelle. Le terme « religieux » ne peut être conçu qu’en rapport avec une forme bien déterminée des réalisations qui sont les siennes. C’est une très belle appréciation, le plus souvent aussi

sujet, dit que cette force imaginative se manifeste davantage chez l'élite, chez ceux dont l'ingéniosité éveille à l'audelà des sens5. C'est entre les langues que se situe le titre de Meddeb ; non pas dans la séparation qui les fige dans leurs particularismes, mais il convoque leur multiplicité dans la saisie du même. Les signifiants se superposent pour fonder le projet : quête du sujet : quête de ce qui s'offre à la saisie immédiate, mobilisation de la totalité de soi vers la maîtrise de ce qui

de Rome n'est peut-être pas Romulus mais bien un roi fédérateur. Il apparaît comme chef de guerre pour protéger cette cité. Elle ne fait pas que se défendre mais aussi des conquêtes autour de Latium. Les pouvoirs du roi ont un fort caractère religieux, fédérants l'autorité des différents chefs de gens; il doit assurer la bienveillance des Dieux sur la cité. Il doit veiller au culte des Dieux car ils sont polythéistes: Jupiter => dieu le plus important, dieu de la foudre, son temple est sur

l’appréciation de chacun, sous peine d’anarchie, la vie sociale est imposé sous formes de règles. Toutes ces règles ne sont pas juridiques, certaines sont des règles morales, des règles de politesse, des usages mondains, il peut s’agir aussi de préceptes religieux. A quoi peut-on reconnaitre une règle de droit ? Et comment la distinguer des autres règles de conduite ? Pour le savoir, il faut rechercher les caractères de la règle de droit et les confronter aux caractéristiques des autres règles.

régions en régions, Voltaire : "une fois qu'on change de lois aussi souvent qu'une montre". B. Le droit canonique a. Définition : Le droit canonique c'est le droit de l'église catholique qui est contenu dans le cadre de droit canonique. Partie 1 : les religieux                 Partie 2 : les baptisées, dans cette partie on trouve plusieurs règlementation mariage, décès. C. Les ordonnances royales a. C'est l'acte juridique par lequel le roi met une réglementation, la loi partiel et tardive car n'a pas toujours