Les Decisions Absurdes

"convention de soumission" ne peut être que nulle. "Une autorité absolue" est la définition du maître et "une obéissance sans bornes" est celle de l’esclave. Rousseau montre qu’échanger "d’une part" la première et "de l’autre" la seconde est absurde: on voit clairement qu’il n’y a pas de comparaisons possible, que l’un reçoit tout quand l’autre renonce à tout. La convention qui "stipule", énonce, cet échange, est donc "contradictoire", puisque ses terme eux-mêmes font que ce n’est pas une convention

SOMMES-NOUS RESPONSABLES ? Définition de la responsabilité et différentes conceptions A. Les différentes formes de responsabilité La capacité Avoir une certaine maturité psychologique, une faculté qui permette de bien juger, de prendre des décisions raisonnables et avisées : « Etre responsable ». C’est le degré de discernement dont peut faire preuve un individu. L’état C’est une charge que l’on accepte d’assumer et qui renvoie à des capacités de réflexion dans un domaine donné. Par exemple

autodafé. Ce chapitre permet à Voltaire de dénoncer une cérémonie absurde, tout en étendant sa critique sur la religion grâce à l’ironie. Tout d’abord, nous pouvons remarquer différentes sous-parties dans ce « spectaculaire » auto da fé. Premièrement, cette scène a un aspect rituel. En effet, on note une insistance sur la justification de l’événement et son apparente rationalité, les décisionnaires sont des « sages », la décision est appuyée par des instances sérieuses : « l’université de Coïmbre

débuts de notre Histoire ainsi que dans la Bible peuvent justifier ce genre d’interprétation. Evoquée dans l’Ancien Testament, la peste est considérée comme étant un fléau envoyé par Dieu sur les Hébreux : le roi David se trouve alors confronté à la décision de choisir entre 7 mois de famine, 3 mois de guerre et 3 jours de peste ; il choisit la peste. De même, le roi Salomon se trouve confronté à ce fléau lorsque Moïse le menace d’envoyer la peste sur son peuple. Cette maladie ne provient donc pas uniquement

faut les soumettre à un doute systématique. L’étude de l'exposé qu'il donne alors de la décision qu'il a prise de révoquer en doute tout ce qu'il avait pu tenir jusqu'alors pour plus ou moins vrai nous permettra de savoir si nous serions disposés nous-mêmes à faire comme lui. Avant de soumettre ses idées à un examen systématique, Descartes retrace pour le lecteur de ses Méditations la genèse de la décision qui l'a conduit à les passer au crible de sa critique. Il lui importe de s'expliquer sur

thématique de la «démondialisation» risque de nous ramener beaucoup plus de dix ans en arrière. La «démondialisation» est un concept à la fois superficiel et simpliste. Superficiel parce que, à la racine de la financiarisation mondialisée, il y a les décisions de forces sociales et de gouvernements nationaux, décidés à remettre en cause partout les droits sociaux. L'oligarchie n'est pas étrangère, l'ennemi n'est pas le travailleur chinois. Simpliste car les réponses à la crise nécessitent «plus de mondialisation»

irrationnelles, peut donc se prendre en un double sens  : les croyances peuvent être dites irrationnelles parce qu’elles sont absurdes, et parce qu’elles s’opposent à la raison, ou bien parce qu’elles sont insuffisamment fondées, parce qu’on n’a pas de raisons suffisantes pour y adhérer. Nous allons donc nous demander si toute croyance est automatiquement, de par sa nature même de croyance, absurde et/ ou insuffisamment fondée. Toute croyance est-elle dénuée de raison ? I- la croyance comme insuffisamment

son intérêt particulier au respect de la loi. Bien souvent, on n’obéit à la loi par contrainte et non par conviction morale ou amour de la loi. Le geste de Socrate peut alors sembler absurde et susciter du mépris. Selon lui, pour connaitre, ce n’est pas son plaisir personnel qu’il faut consulter mais le Bien. Sa décision est ce qui est le mieux pour la Cité, donc le respect de la justice. Seule la vérité est essentielle et donc universelle. 5/ Socrate souhaite examiner le motif suivant : « ce dont

condamné (symbolique du repas avant la mort, des condamnés à mort) Le médecin lui utilise sa « science » pour expliquer le refus « Mauvais pour sa santé. Il est à la diète » « Ce n’est pas recommandé pour la santé des mourants » des raisons qui son absurdes, provoque le rire et montre toute l’ambigüité du personnage du médecin Pour déclencher l’exagération, Ionesco utilise des points de suspension, des points d’exclamations, des didascalies. Lorsque qu’il parle du pot au feu il semble que le roi

1915 Prénom et nom de l’auteur : Franz Kafka 2*Notice Biographique [pic]Kafka, Franz (1883-1924), écrivain tchèque d’expression allemande, dont les récits, empreints à la fois de réalisme et de fantastique, décrivent pour la plupart un monde absurde et angoissant. Franz Kafka est né à Prague (à l’époque de la domination austro-hongroise), dans une famille juive de la petite bourgeoisie commerçante. En 1901, il se lance dans des études de droit. Son séjour à l’université allemande lui permet