Les Decisions Absurdes

verbales (" j'ai du mal à... ", " j'ai à peine la force de ... "), des comparaisons (" comme si... ou comme si ... "). Elle traduit, certes, la faiblesse de Bérenger mais surtout renforce ses douloureuses interrogations face à la complexité, parfois absurde, de l'existence, dont il a confusément conscience. La difficulté à assumer son propre corps, à affermir sa pensée proviennent du sentiment d'étrangeté d'un personnage destiné à subir une vie dont il ne connaît pas la signification. Ainsi, la récurrence

délibératif Ionesco reprend la tradition théâtrale du monologue, forme d’expression de la solitude, qui illustre une situation tragique traditionnelle : celle d’un personnage confronté à une crise d’identité (« c’est moi, c’est moi ») et à une décision vitale. Bérenger s’exprime comme un héros tragique traditionnel : nombreuses phrases exclamatives, interjections tragiques (« hélas ! »), rythme heurté et répétitions, et même quelques alexandrins (« les hurlements ne sont pas des barrissements »

caractère insaisissable et ses doutes, renforcent sa souffrance et donnent une dimension tragique à ce héros romantique. II) La visée argumentative d’un monologue à la dimension tragique À la fin du monologue délibératif, le héros prend une décision Ici, la décision de Musset a été énoncée avant le début du monologue, elle n’est pas le résultat de la délibération. Les aspects contradictoires ou irrationnels de son action sont par ailleurs mis en valeur par les parallélismes de construction faisant se

actions naturelles. Alors que nous ne qualifions pas ce que la nature fait de nuisible d’immoral, nous reprochons à l’homme ses mauvaises actions. L’immoralité est donc le sceau de l’humanité, alors que la nature est amorale. En effet, il serait absurde à reprocher à la nature son immoralité puisque ce serait supposer chez elle une volonté qui aurait pu l’empêcher de commettre ce mal. C’est ce que dit la phrase suivante. Nous ne prenons pas la nature à parti car les phénomènes naturels sont le produit

Après une première lecture du livre, j’ai trouvé ce livre très bizarre et morbide des la première page. Le narrateur apprend la mort de sa mère et semble prendre la décision de manière légère. Ce n’est qu’après avoir lu le livre en profondeur, après une lecture sociologique, psychologique et philosophique que j’ai pris compte de la profondeur de Meursault, le protagoniste et de sa vision de la vie. C’est aussi après avoir aborder les thèmes tels que l’absurdité et la mort que le livre devient très

commentaire je me propose d’analyser cette existence. Mon but est de démontrer que les gens existent comme des objets, mais qu’ils sont conscients de leur existence, qu’ils sont libres. Et avec « libre » je veux dire ici : la possibilité de prendre des décisions. Je vais également essayer d’établir la contingence de l’existence. On peut remarquer la similarité entre Roquentin et les choses dans les deux phrases suivantes : « Les arbres flottaient » « […] je flottais » L’emploi du même verbe « flotter »

Parallélisme/présent d’habitude (citer: «Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe») → Banalisation de l’horreur, normalité de la décision, inhumanité de ces atrocités. Jeu de mots/allitération en «d»: (citer: «Vanderdendur») → Accentuation de la cruauté des esclavagistes, cruauté/autorité/impitoyable. B. La souffrance psychologique - Hyperbole (citer: " les singes

embranchements du vivant tels que constitués par différenciations progressives au cours du temps. Aussi, considérant que l'une et l'autre des classifications ont leurs limites, il est vrai d’argumenter que leur usage conjoint est loin d’être absurde dans la mesure de leur complémentarité. Par exemple, on ne peut pas faire de classification phylogénétique sans avoir au préalable rattaché morphologiquement un organisme à un groupe (taxon) de référence. On sait également que des espèces peuvent

été placé au centre de l’univers et doté d’une liberté qui rend responsable de ses actes. Nous ne t’avons assigné, ô Adam, ni une place déterminée, ni une figure propre, ni un héritage particulier, afin que tu aies et possèdes, selon tes vœux et décisions, toujours la place, toujours la figure, toujours les biens par toi élus. Toutes les autres créatures ont une nature définie contenue entre les lois par nous prescrites ; toi seul, sauf de toute entrave, suivant ton libre arbitre auquel je t’ai remis

de l’inquisition occupe une place des plus importantes dans la société. L’église est l’équivalent d’un vice-président de nos jours pour l’époque. L’inquisition donne une autorité suprême au pape et donc le pape se retrouve au sommet de toutes les décisions importantes liées aux dogmes. De quelle façon Voltaire représente il l’inquisition dans les chapitres 5-6 ? On peut constater à la ligne 70 du chapitre 5, l’arrivée du familier de l’inquisition. On voit clairement que l’arrivée de ce familier est