Les Decisions Absurdes

symbolisant la montée de la bourgeoisie issue de la révolution industrielle, viennent les rejoindre. La Leçon, 1951 Résumé : Un timide professeur accueille une élève bourgeoise souriante et motivée dans sa maison. Au fur et à mesure des leçons absurdes d’arithmétique et de philologie, l’élève perd de son assurance. Le professeur quant à lui devient de plus en plus agressif jusqu’à dominer la jeune fille de 18 ans qu’il finira par tuer au cours d’une leçon de prononciation du mot couteau. La bonne

celui-ci se meurt d’un cancer à l’hôpital. En lui rendant visite, il réussit à entrer en contact avec le gynécologue et lui offre un livre en échange de son aide. Celui-ci accepte… Trois mois après l’avortement, la Petite Tailleuse prend une grande décision… Balzac lui a fait comprendre une chose : « La beauté d’une femme est un trésor qui n’a pas de prix… » II- PRESENTATION DES PERSONNAGES Luo Adolescent de dix-huit ans. Son père est un dentiste connu dans toute la Chine pour avoir refait

effets d'ironie du narr.= dénonce la rhétorique faussée des puissants Lion=ton tranquille+léger . peut avouer ses crimes à un public de flatteurs. sait compter sur la servilité de son entourage b) l'absurdité des raisonnements: Discours absurdes des courtisans=ironie de LF mal = bienfait blanchi le lion et autres puissants accusation exagérée de l'âne déforme la réalité c)la raison du plus fort: courtisans habiles ont convaincu l'âne naïf qu'il est coupable. ironie par l'accablement

Fabrice Del Dongo n'accomplit aucune action héroïque durant cette bataille, il est seulement spectateur de la scène. Stendhal et Candide nous donnent une vision négative de la guerre. En premier lieu, Voltaire nous décrit la bataille comme une vision absurde, à travers les yeux de son personnage principal, Candide. En utilisant un champ lexical de la mort, de la douleur et de la souffrance, tel que « mourir, égorgées, sanglantes, éventrées, mort » l’auteur accentue l’horreur de la guerre. En outre, Voltaire

burlesque émerge alors : les deux premiers vers, par la rapidité de la mise en place du conflit (le jeu entre l’imparfait duratif associé au terme « paix », et le passé simple ainsi que le « voilà » actualisant de la « guerre ») lui donne un aspect absurde. Son objet surtout : l’apparition d’« une Poule » ne peut que faire rire. Le vocabulaire métaphorique (« allumée », « le Xanthe teint », « contre les vents »), le rythme majestueux de l’alexandrin contraste avec la banalité du combat lui-même, traité

la loi du 5 juillet 1985 qui était reprise puisqu’on cherchait avant tout à indemniser les victimes en omettant la responsabilité. Mais le contexte était totalement différent puisqu’ici aucune assurance n’était prévue et il paraissait évidemment absurde d’en prévoir une dans ce cas càd d’imposer à tous la souscription d’une assurance protégeant contre tout dommage causé par une chose quelconque. La solution a suscité beaucoup d’interrogations puisque elle permettait d’engager une responsabilité de

primitive, à titre d’exemple : boire, désirer, manger, à savoir, des besoins. Ce qui est souligné par cette assertion: « Ces refus sont des faits de l’homme ». Cette phrase nous indique que cette « âme » est capable de jouer un rôle sur nos sentiments, décisions et actions qui seraient propre à l’homme, quelque chose qui nous distingue, nous mettant probablement sur un piédestal vis à vis du monde qui nous entoure, en somme des autres êtres vivants. Ces rejets sont alors considérés comme une liberté « Le

seul personnage qui est différent et qui ne veut pas se transformer en rhinocéros, afin de ne pas adhérer à cette massification. À la fin de l’acte III, Béranger est le dernier qui ne s’est pas transformé, mais il se remet en question face à cette décision et culpabilise : « [...] j’aurai dû les suivre à temps. Je ne peux plus changer. Je voudrais bien, je voudrais tellement, mais je ne peux pas. Je ne peux plus me voir. J’ai trop honte! » (p.245) Le pouvoir de massification est tellement puissant

elle n’a pas besoin de la protection des autres, comme des prédateurs qui savent se nourrir.  opposition entre ce que l’on pense de la gamine et ce qu’elle veut être = structures analogues des phrases  dialogue un peu enfantin et absurde qui fait référence au début de la conversation des gardiens dans le 1er tableau. = mettre en avance l’identité de Roberto Zucco : un personnage mystérieux, insaisissble.  Il se voit comme un agent secret armé dont la mission est de

inaccessibles à la raison, on estime que ce sont des décisions irrationnelles. D’ailleurs le philosophe allemand, Leibniz montre que même si l’on se scandalise devant le mal fait lors de la guerre, cela n’empêche pas d’interrompre le conflit. De plus, la guerre ne garantit pas une fin certaine où la paix et l’union civile régnerait : il y a généralement un état qui connait une défaite. Toutes ces victimes et ces dégâts seraient alors inutile et d’autant plus absurde dans ce cadre-là. Dès