Les Epoux Arnolfini Van Eyck

demande la présence de sa couleur complémentaire. Dans l’image Le baiser, on remarque la forte présence du bleu qui est rehaussé par le orange, qui est sa couleur complémentaire. 
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 Le baiser, Max Ernst, 1927 
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 Les époux Arnolfini, Jan Van Eyck, 1434 
 Contraste simultané. 15
 Le contraste simultanée est le phénomène qui fais que l’ont voit, pour une couleur donnée, la couleur complémentaire de celle-ci, même si elle n’est pas présente. Notre œil exige et reproduit simultanément

fait dans plusieurs de ses tableaux figurant un crâne. Plus près de nous Gérard Titus-Carmel a peint un memento mori, (ci-dessus). Pour aller plus loin La National Gallery à Londres, outre les Epoux Arnolfini de Jan van Eyck et les Ambassadeurs de Holbein, offre le Jeune Homme tenant un Crâne de Frans Hals. Jeune Homme tenant un crâne Frans Hals Le très riche musée des Beaux-Arts de Caen renferme à lui seul : une curieuse Vanité de Hollandais Jan

réalité représentée ? L’image de la réalité : Art figuratif, dans lequel le peintre cherche à représenter le réel (la mimésis) : tel est l’objet de l’autoportrait : Jan Van Eyck dissimule d'une manière plutôt originale l'autoportrait dans son célèbre tableau Les époux Arnolfini (1434). Par son propre reflet dans le miroir, Jan Van Eyck crée une mise en abyme et nous montre sa présence. Cependant la proximité du réel a différents degrés, et l’expressionisme y est moins fidèle ; nombreux jeux de

les écrits de l'architecte romain Vitruve (Ier siècle av J.C.). -le courant renaissant en Flandre, initié par les frères van Eyck et Rogier van der Weyden -les italiens créent une peinture intellectuelle, réfléchie et philosophique tandis que les flamands tendent à exprimer les sentiments intérieurs par un dessin expressif et poétique (ex: Les époux Arnolfini de Jan van Eyck (1390 - 1441), 1434). -en France, le style de renaissance n'apparaît réellement que dès la seconde moitié du XVème siècle

fenêtre, de la porte, du miroir et du tableau dans le tableau qui expriment les propriétés du tableau lui-même. En effet, toute peinture révèle de manière plus ou moins évidente le « scénario de sa production » par une mise en abîme et le miroir de Van Eyck en est le parfait exemple. Mais une question demeure : comment les fonctions théoriques du miroir (miroir comme emblème et comme autoréflexivité) se transforment-elles à notre époque ? On parle ainsi des « brisures du miroir ». En effet, le rêve

d’analyse d’une œuvre Van Eyck portrait «  des époux arnalfini », Huile sur bois. 1435. L’artiste est le peintre le plus important des flandres il a perfectionné la peinture a l’huile et ne fait presque que ça ! Il y a deux espaces ; celui pour l’homme près de la fenêtre ( vers l’extérieur, il est marchand drapier des flandres) l’espace de la femme ( qui est près du lit, symbole de la femme au foyer) Il y a plusieurs plans : au 1er plan il y a le chien Au 2nd plan ; les époux A l’arrière-plan :

compréhension de ses œuvres. En somme, la symbolique religieuse était omniprésente dans l'art de la Renaissance. Désireuse de transmission et d’enseignement, elle promeut la religion à travers un réalisme fulgurant. Le polyptique de Rogier Van Der Weyden se présente comme un livre saint qui s’ouvre à nous en tant que spectateur au centre du tableau. L’avancement du polyptique rappelle également un livre, entre enluminures et une lecture qui se fait de haut en bas et de gauche a droite, c’est

l’auteur Pieter Bruegel l’Ancien est, avec Rubens et Van Eyck, est un des plus grands peintres flamands. Ces origines sont peu connues. Il est vraisemblablement né entre 1525 et 1530 dans un petit village du Brabant, du nom de Brueghel, proche de la ville de Breda aux Pays-bas. Beaucoup d’incertitudes demeurent sur ses origines familiales et l’année exacte de sa naissance. La 1ère biographie de l’artiste figure dans l’ouvrage de Carel Van Mander « Le livre des peintres », publié en 1604, soit

les couleurs froides semblent reculer. Claude Monet (1840-1926) Le parlement de Londres dans le brouillard Page 5 Page 6 1V. Le contraste des complémentaires : V. Le contraste simultané : Jan Van Eyck (1390-1441) Les époux Arnolfini V1. Le contraste de qualité : Vincent Van Gogh (1853-1890) Le café, le soir V11. Le contraste de quantité : Félix Labisse (1905-1982) Maquis à Malaise 1958 La force et l’impact visuel de ce tableau surréaliste tirent un large parti de l’emploi

d’Athènes Raphaël, entre 1483 et 1520 La vision de Saint-Augustin Carpaccio, v. 1502-1507 Le mathématicien Luca Pacioli Jacopo da Barbori, entre 1440 et 1515 Le mariage de la Vierge Raphaël, 1504 Le pays de cocagne Bruegel, 1567 Les époux Arnolfini Van Eyck, 1434 La tempête Giorgione, 1506-1508 Mars et Vénus Botticelli, v. 1500 Les ambassadeurs Holbein Le tombeau de Jules II Michel Ange, entre 1503 et 1513 Façade du Louvre Pierre Lescot, à. p. 1546 Château de Chambord Projet de Léonard