Les Fenêtres Allitération

entendu parler de Manhattan, Mon quotidien c’est la misère et la guerre Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulvérisés, sur l’autel, de la violence éternelle Un 747, s’est explosé dans mes fenêtres, Mon ciel si bleu est devenu orage, Lorsque les bombes ont rasé mon village Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulvérisés, sur l’autel, de la violence éternelle So long, adieu mon rêve américain

vengeresse géante. 2 – La mouche devient presque surnaturelle et contamine tout le régime : Pluriels épiques suggérant la propagation de la pourriture de Nana (« sur les charognes », « le long des chemins », « les hommes », « les palais », « les fenêtres », …), ampleur des phrases (l.9 à 13 p.ex.) et reprises (p.ex. répétition du terme « mouche »), assimilation implicite de Nana au « soleil », force naturelle dont l'éclat implacable pénètre partout (terme « soleil » + référence à la lumière avec

ici. N’oubliez pas qu’il ne s’agit pas que de les reconnaître : encore faut-il que vous expliquiez pourquoi l’auteur s’en sert, l’effet qu’il cherche à produire dans son texte. En voici de très fréquentes, présentées par ordre alphabétique : Allitération C’est la répétition d’une même consonne à des fins d’harmonie. Exemples : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » – Racine, Andromaque « Un frisson d’eau sur de la mousse » – Paul Verlaine Anaphore Il s’agit de la

La Ville enchantée, L’École, 1977. * Une affaire de bons sens : La bande à Jeannot, 1979. * Poèmes pour les saisons, 1979. * En cherchant la petite bête, 1980 * Par la barbichette, 1981. * Ne jetez jamais l'argent par les fenêtres, 1984 Le thème : Le poète nous explique que le poème doit être écouté avant d’être écrit. La structure d’ensemble : Ce poème est composé d’une strophe avec une majorité de vers en octosyllabes. Les rimes sont sous la forme ABBBA. Image(s) 

précédé d’un chapeau introductif. Les personnages mis en scènes sont : le baron, Candide … La Westphalie est un lieu qui en 1750 connote la violence car c’est un théatre de la guerre de 7 ans. Associé à un baron, patronyme ridicule, fondée sur une allitération pétaradante en « t » et une assonance de nasale. Construit sur un premier mot Anglais : Thunder. Double figures de style : cacophonie, vilain son. Il est présenté sous un nom grotesque dans un pays violents. Du point de vue de lecture… Incite

fantastique qu’il introduit par l’adverbe modal « Vraiment… » et qui lui permet de poser sa comparaison : « …les écus vivent et grouillent comme des hommes : ça va, ça vient, ça sue, ça produit. » On notera ici les nombreux effets sonores des allitérations et assonances, des rythmes ternaires répétés et qui vont s’accélérant pour montrer le délire de Grandet qui, à défaut de « voir » l’or de sa fille, semble le « voir » partout autour de lui ! Cela, donné pour réel dans la perception de Grandet

l'auteur comme le lexique (connotations, champs lexicaux, registre de vocabulaire), la syntaxe et les rythmes (les temps et les modes verbaux, la place des mots, les termes de liaisons, la longueur et l’organisation des phrases), les sonorités (allitérations, assonances, échos) et les figures de rhétorique. Considérez ces éléments comme les preuves de ce que vous souhaitez démontrer. N'oubliez pas de prendre en compte la présentation matérielle du texte si celle-ci paraît in habituelle. Le texte

C’était une erreur, un appel destiné aux anciens locataires. Dans la chambre un jour gris traversait les rideaux de tulle. Je déposai le combiné sur le balancier de mon vieux téléphoner, fis songeusement le tour du bureau et m’immobilisai devant la fenêtre. Il pleuvait. » Le rythme est saccadé, la subordination absente, c’est un enchaînement d’actions, avec des phrases n’ayant pas plus de deux verbes conjugués en général, ils utilisent la parataxe. Le seul rapport temporel exprimé régulièrement chez

distiques - absence de ponctuation : caractéristique de la modernité et d'Apollinaire -> fluidité de l'eau - rimes féminines -> légèreté - distiques en vers impaires -> heptasyllabes (idée de Verlaine) - répétiitons des sonorités :allitérations en "l" représentant l'écoulement de l'eau -> harmonie imitative (sons correspondant à une réalité) - assonances "ou", "o", "eu" -> mélodie, écho d'un vers à l'autre "violente" : vie-ô-lente (v. 15 et 16) - anaphores v. 13 et 14, v. 20 et

développement ». Pause romanesque qui permet donc de justifier l’observation et de condamner le personnage. II. Une mise en scène de la mort a. Une « délibération » Mot « résolution » opposé dans la même phrase au mot « délibération » allitération en « ion » rapproche les termes et renforce leur opposition. A partir de ce moment, on assiste à la mise en scène de la mort de Lucien par lui-même. Sorte d’organisation du suicide « il avait d’abord pensé, mais… » Différents verbes de peception