Les Formes élémentaires de la vie religieuse

sociologique que nous fait passer N. Elias dans cet ouvrage ? Il projette sur Mozart la vue d’un sociologue. Objectifs de N. Elias : En quoi consiste le point de vu de la sociologie ? Qu’est-ce que le sociologue a à dire sur un objet comme Mozart, sa vie, son œuvre, quelle est l’originalité du point de vu du sociologue ? La sociologie peut éclairer la connaissance de sujet extrêmement variés, et tout particulièrement de sujets, qui a priori ne semblent pas sociologique. Le sens commun ne considère

le monde (sans distinction de richesse, de religion ou de sexe…). Plaide pour une meilleure prise en charge des élèves en difficulté. L’école est lieu de réalisation de l’éducation. A codifié la base de l’école d’aujourd’hui : école maternelle, élémentaire. Invent le système de la classe. Position du maître (« le maître est le soleil qui répand ses rayons »). UC 2 Courants pédagogiques page PAGE 3 ROUSSEAU (1762) : « Emile ou de l’Education ». Pensée des Lumières : « l’Homme nait bon et

1851, dans sa théorie de la politique positive. Par la suite, Durkheim diversifie ce vocabulaire en y associant des termes comme contrainte, discipline, autorité, coercition. Par contre, avec ses livres «Le suicide» en 1897 et «Les formes élémentaires de la vie religieuse» en 1912, son analyse se situe au niveau sociétal, celui des phénomènes de masse. Le niveau d’interprétation de la criminalité comme le dénommera plus tard Pinatel (1963). Les théories de la régulation sociétale du niveau de la délinquance

du moi (1921) • Introduction Dans la vie psychique de l’individu pris isolément, l’Autre intervient très régulièrement en tant que modèle, soutien et adversaire, et de ce fait la psychologie individuelle est aussi d’emblée et simultanément, une psychologie sociale. 1. La peinture de l’âme des foules par Le Bon Psychologie des foules (Le Bon)- Qu’est-ce donc qu’une foule, d’où tire-t-elle sa capacité d’influencer de façon déterminante la vie psychique de l’individu pris isolément, et en

qu’il s’agit d’un principe vital, immanent ou transcendant, de toute entité douée de vie, pour autant que ce principe puisse être distingué de la vie-même. 1. Revenons-en aux origines… « L’âme, après la mort, va se joindre aux étoiles innombrables (version la plus antique) ou se fondre dans l’âme universelle qui habite le soleil (version panthéiste plus tardive).» * Durant l’Egypte Antique, la croyance d’une vie après la mort est fortement ancrée dans les esprits. Après avoir analysé les différents

est mort ’en bon chrétien’ Un précurseur des philosophes de lumières Différents éditions: 1657: L’Histoire comique contenant les Etats et Empires de la lune son ami a expurgé le texte originale de ses passages les plus scandaleux (raisons réligieuses)  ainsi: c’est seulement grâce á deux manuscrits conservés á Paris+Munich que nous connaissons á quelque variantes près, le texte authentique, sous son titre véritable MAIS il conserve les trace de ces mutiliations (malversations (modifications

discipline en constituant une équipe de chercheurs, en créant des revues et finalement, en la faisant reconnaître par l'université. Ainsi à travers ses ouvrages tels Le Suicide (1897), De la division du travail social (1893) ou encore Les formes élémentaires de la vie religieuse (1912), Durkheim a voulu montrer l’indépendance du groupe par rapport aux hommes qui le composent. Il a tenté de présenter le passage d’une solidarité mécanique issue de la société traditionnelle (mêmes sentiments, mêmes croyances)

de trifonctionnalisme par lecomparatiste et philologue, Georges Dumézil. Il existait dans l'Empire Romain chrétien (les sacerdotes, les nobiles et les pauperes) et dans des textes irlandais du viiie siècle (les gebedmenformée par les druides et prêtres, les fyrdmen formés par l'aristocratie militaire et les weorcmen, hommes libres pour le travail). Il est repris par le moine Haymon d'Auxerre au ixe siècle2 et par deux évêques carolingiens réactionnaires, Adalbéron de Laon et Gérard de Cambrai qui souhaitent ce type

désorganisé, mais, au fil des décennies, le pays prospère et prend la forme qu’on lui connaît aujourd’hui, grâce à une politique de conquêtes territoriales — telles les guerres de Hollande (1672-1679) et de la ligue d’Augsbourg (1688-1697) —, à une unité religieuse, et à une puissance royale incarnée par l’absolutisme de Louis XIV. Contexte culturel Quelques avancées culturelles : • La codification de nombreuses règles d’écriture. • La création de l’Académie française (1634), de l’Académie des

L’Antiquité, le Moyen Âge et la Renaissance : vie, mort et résurgence d’une civilisation I. La renaissance au Moyen Âge : Pour certains critiques et historiens, la relation entre le Moyen Âge et la Renaissance ne doit en aucun cas être appréhendée en termes de rupture. D’ailleurs, certains parlent même « d’humanisme médiéval », enrichi par les efforts considérables des clercs et le travail entrepris à partir du XIIe siècle. Au XIIIe siècle, à l’effort et à l’apport des clercs viennent s’ajouter