Les Gains De Productivite Permettent Ils Le Plein Emploi

d'activités de services vers ces nouveaux pays, en sus des délocalisations industrielles que nous avons déjà pu observer. La montée des craintes chez les salariés est très compréhensible quand on sait que le secteur tertiaire représente près de 70% de nos emplois. L'analyse historique des délocalisations d'activités économiques nous montre que nos concurrents venant de pays en développement ont capté des activités de production comportant de plus en plus de valeur ajoutée. Si l'on fait remonter les premiers

profit st vaines Les efforts pour contrecarrer la baisse tendancielle : -Les capitalistes ont alors recours à l'accroissement de la plus-value relative grâce aux gains de productivité -Ceux-ci, d'autant qu'ils s'accompagnent du chômage, permettent de diminuer la valeur des salaires. -La colonisation et la délocalisation permettent d'exploiter le tiers monde -La crise induit des faillites qui déprécient la valeur du capital et modifient la composition organique du capital. Bref de toute façon

croissance est déterminée par l’évolution de la quantité des facteurs de production( W : évolution population active, durée du travail, taux d’emploi ; K : stock de capital, utilisation des capacités de production, investissement) ainsi que leur productivité. Remarque : Le PIB potentiel diffère donc du niveau maximal de production réalisable à un instant donné car il s’agit d’un PIB soutenable c'est-à-dire sans accélération de l’inflation et de la croissance des salaires. B. Croissance effective

internationaux ? 1) Le rôle des avantages comparatifs et des dotations factorielles et technologiques Dans les théories libérales, les pays ont intérêt à se spécialiser en fonction de leurs avantages comparatifs, fondés sur des différences de productivité et de coût chez David Ricardo, de dotations factorielles et de dotations technologiques (avance technologique). Ces spécialisations expliquent des échanges entre pays spécialisés dans des productions différentes. Définitions : La spécialisation

travail ne confère pas un statut spécial ou des privilèges. Avec Adams Smith (1723-1790) apparait le concept de travail comme source de richesses. C’est avec ces pensées que la vision du travail évolue. Citation A. Smith « Tout homme,… demeure en pleine liberté de suivre la route que lui montre son intérêt et de porter où lui plait son industrie et son capital, concurremment avec ceux de tout autre homme ou de toute autre classe d’hommes ». 1.4 Travail et société industrielle Frédéric W. TAYLOR (1856-1915)

des Physiocrates qui sacralisaient les richesses de la nature. Ils accordent la prépondérance au travail et à la production des marchandises. Le meilleur exemple de cela est la place accordée par Smith à la division du travail, à la hausse de la productivité qui en résulte (habilité, réduction des temps morts, diffusion du machinisme) et à l’étendue des marchés. L’accumulation du capital rendue possible par l’épargne permet d’étendre la division du travail. Il existe deux types de capital : le fixe

Le travail reste un élément central de l’intégration sociale. 1 Les grandes évolutions de l’emploi et du chômage A L’évolution de l’emploi L’évolution de la population active confirme la poursuite de la salarisation et l’orientation vers les emplois de services. De plus dans l’industrie, le mouvement d’externalisation des activités de services a participé au phénomène de tertiarisation de l’économie. L’augmentation des qualifications de la population active est également une caractéristique importante

1945, les progrès technologiques s’accélèrent dans le domaine des communications de masse. La radio, la télévision, la télécommunication par satellite se banalise. L’ordinateur fait son apparition et de nouveaux supports tels que le CD et le DVD permettent d’enregistrer des images et des sons. Ces nouveautés sont un puissant facteur de mondialisation. II Les phases de croissance et de dépression La croissance économique ne s’est pas faite régulièrement, les phases de croissances sont coupées

développés, le secteur informel apporte une contribution appréciable à l’économie, surtout en termes d’emploi. Force est toutefois de constater qu’il se caractérise par une faible productivité et de bas salaires, des conditions de travail médiocres et de longues journées de travail, d’où la nécessité d’en accroître la productivité et les revenus pour tenter de venir à bout du problème de la pauvreté. Une stratégie double pourrait être adoptée. Pour les personnes engagées dans des activités marginales

en revue tous les indicateurs des pressions sur la capacité de production et pris en considération la restructuration actuelle de l’économie canadienne, la Banque estimait que celle-ci fonctionnait tout récemment à environ 3,5 % en deçà de son plein potentiel. Si l’on postule comme d’habitude que l’écart de production se résorbera au fil du temps, la question qu’il est intéressant de se poser est de savoir comment ce processus se concrétisera. Dans le contexte actuel, nous croyons que ce sera