Les Indivisibles

Commentaire de l’article 1 de la Constitution Française : « La France est une république indivisible … Son organisation est décentralisée. ». Le tout premier article de la Constitution Française stipule : « la France est une République indivisible (…) Son organisation est décentralisée ». Dès lors il possible d’entrevoir l’importance que réserve la Constitution au caractère unitaire de l’état français, caractérisé par l’unicité de pouvoir et matérialisé par une seule structure politique, législative

d’esprit, les ressemblances fraternelles de pensée.. ». Ramenée à la notion communautaire, on peut dire que l’identité est le caractère de ce qui est un. Par exemple, on peut dire sans grand risque de se tromper que le peuple français, est un et indivisible… En droit, l’identité c’est le fait pour une personne d’être tel individu et de pouvoir être également reconnu pour tel sans aucune confusion grâce aux éléments d’identification qui l’individualisent comme par exemple sa carte nationale d’identité

référendum, on peut alors distinguer la souveraineté populaire de la souveraineté nationale, Mais une question se pose : la souveraineté peut-elle se partager ? Nous verrons dans un premier temps que selon ses principes la souveraineté de l’Etat est indivisible et, dans un second temps, que cette souveraineté est limitée par la décentralisation et par la construction européenne. Comme toutes les grandes constructions humaines, pendant très longtemps, la souveraineté avait une définition divine où

L’état français est il encore un état unitaire ? La France d’aujourd’hui et d’hier a choisie une république dite « indivisible » de plus celle-ci apparaît très peu décentralisée par rapport aux états voisins qui donnent généralement de plus grandes libertés d'actions à leurs régions, voire ont une structure clairement fédérale ou autonome comme en Allemagne avec des Lander surpuissants. Cependant la France est un pays unit par la différence, constituée de multiples identités distinctes

La république française : valeurs et symboles. L’article 1er de la Constitution de 1958 est une bonne introduction : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée. » A préciser : une constitution est l’ensemble des lois qui organisent un pays. Nous allons expliquer ce texte : Le mot

devient ainsi souverain. -chaque membres est admis par tous les autres  « comme partie indivisible du tout  »= principe majeur: c’est le fait que la souveraineté est indivisible, pour la même raison que la souveraineté est inaliénable.indivisible car elle et générale ou elle ne l’est pas. elle est celle du corps du peuple , ou seulement une partie —-> deux principes se dégagent de ça = inaliénable et indivisible. -volonté générale = ce n’est pas le résultat de volonté individuelles mais la somme

premier : le pouvoir suprême. Suprême parce qu'il est absolu, perpétuel et indivisible. On lui donne un nom spécifique: la souveraineté (A). Certaines réalités contemporaines ont cependant conduit à relativiser les caractères de ce pouvoir. Ceux-ci peuvent-ils supporter cesnuances sans perdre leur sens, et sans que soit, de ce fait, menacée la stabilité de l’Etat (B)?A- Un pouvoir théoriquement absolu, perpétuel et indivisible…(alinéa)La souveraineté est absolue. L’Etat est affranchi de toute espèce

plénière de la Cour de cassation confirme la vision de la chambre d'instruction de la Cour d'appel de Paris qui retient la non provocation en ce que «que le policier qui a tenu un rôle d’intermédiaire s’est inséré dans un processus infractionnel indivisible caractérisant une entreprise de chantage et n’a en aucune manière provoqué à la commission de l’infraction». Elle dispose également que «seul est proscrit le stratagème qui, par un contournement ou un détournement d’une règle de procédure, a pour

déclarant que « la souveraineté réside dans le peuple », la Constitution reste fidèle à la conception de la nation une et indivisible tout comme sa représentation - prohibition du mandat impératif -, nation et peuple coïncidant désormais puisque le roi a disparu : L'article premier, titre III de la Constitution de 1791 l'énonce clairement « La Souveraineté est une, indivisible, inaliénable et imprescriptible. Elle appartient à la Nation ; aucune section du peuple, ni aucun individu, ne peut s'en attribuer

Pour Evellin, comme pour Renouvier, l'infini (qu'il soit de composition ou de division) n'existe pas dans le réel; c'est une vue de l'imagination : le monde réel est fini, formé de corps indivisibles, se déplaçant eux mêmes dans un espace formé de lieux indivisibles et dans un temps formé aussi d'instants indivisibles. De cette façon Evellin croyait pouvoir sauver la possibilité du mouvement (et nous avons vu, — Ie partie, p. 275, — qu'il pensait que telle était aussi la position de Zenon). Mais Bergson