Les Limites De La Liberte Contractuelle En Matiere De Conclusion Des Traites

poursuivit par les pouvoirs publics en faveur des plus démunis. Le droit du travail doit être différent du droit de l’emploi qui est le droit qui s’applique antérieurement à l’embauche et postérieurement au licenciement. Le droit du travail est une matière récente qui semble orienter et qui est liée au jeu des acteurs sociaux. C’est constitué progressivement depuis la 2nd moitié du 19ème cad développement des manufactures. 1804 : code civil avec 2 articles faisant référence au travail. 1910 : code

peut aussi la représenter. Pour qu'il y ait une obligation, il faut donc l'obligation et le debitum. §2 La classification des obligations Les obligations son très nombreuses et variées. La très grande majorité de ces obligations sont contractuelles car le contrat juridique est le support de la vie humaine. Il y a 3 critères de classification : -D'après leur source, leur objet et leur intensité. A) D'après leur source Classiquement il y a deux sources d'obligations : le contrat

qualitatif qui s’attache au contenu de l’acte. Soit l’acte va régir le comportement de personnes étrangères à son édiction (les tiers, les administrés) et donc l’acte est unilatéral. Soit l’acte régira les personnes qui l’ont édicté, il sera donc contractuel. L’unilatéralité vient désigner ici un certain type de relation autoritaire entre l’acte et ses destinataires. Elle signifie que l’acte n’a pas besoin du consentement des destinataires pour être édicté et s’imposer à eux. C’est ce qui expliquera

gratuit. Toutefois la contrepartie peut être constituée autrement que d’une somme d’argent (contrat d’échange). C. Contrat commutatif et aléatoires. Le contrat est commutatif lorsque les parties ont définitivement fixé au moment de la conclusion du contrat les prestations mises à la charge de l’une ou l’autre. Le contrat est aléatoire lorsque la prestation de l’un des contractants dépend, dans son existence (contrat d’assurance) ou dans son étendue (vente avec rente viagère), d’un événement

juridiquement sanctionné. Sanction en nature ou forcée ou par le versement de dommages-intérêts qui viennent compenser le préjudice subit par le créancier. Les obligations sont extrêmement variées, nous parleront essentiellement des obligations contractuelles. Dans un contrat, la plupart du temps, la personne qui contracte est à la fois créancière et débitrice. Ex du contrat de vente : le vendeur est créancier du prix, et il est en même temps débiteur à l'égard de l'acquéreur, cad qu'il a l'obligation

-Droit administratif (dont c’est une branche) -Droit des finances Publiques (par ex : la fiscalité est un instrument d’action des pouvoirs publics en matière économique, du fait de ses conséquences sur les entreprises, la consommation, l’investissement,…) -Droit de l’Union Européenne Droit Privé -Les interventions de pouvoirs publics en matière économique sont souvent soumis au Droit Privé : SPIC, Sociétés d’économie mixte, Droit des sociétés, droit des contrats, etc. II - Caractères du

Droit des obligations Le droit des obligations constitue la matière fondamentale du droit privé. Elle constitue l’ossature de la vie économique et le droit des obligations est au cœur des préoccupations humaines. Ainsi tous les contrats qui sont indispensables à la vie économique ou à la vie sociale doivent respecter la théorie générale du droit des obligations c'est-à-dire le droit commun des obligations. Par ailleurs, le droit des obligations concerne également la question de la réparation

avant pour expliquer ce retard, la morale, la religion, l’éthique … Mais en réalité cela s’explique par le fait que l’assurance repose sur une technique qui est le calcul de probabilité, qui n’a été élaborée que au 17 siècles, par PASCAL dans son traité du triangle arithmétique publié en 1654. Il n’était pas tous seul : Pierre DE FERMAT. Depuis cette époque le succès de l’assurance a été croissant. L’assurance aujourd’hui est perçue comme un remède souverain contre les risques de l’existence

actif. La créance est le droit d’exiger que le débiteur fasse quelque chose généralement la remise par celui-ci d’une somme d’argent. La clause de non-concurrence est une clause d’un contrat par laquelle une des parties s’interdit, dans certaines limites de temps et de lieu, d’exercer une activité professionnelle déterminée susceptible de faire concurrence à l’autre partie, ex : réimplantation d’un fonds de commerce. Le droit de créance est un droit personnel (termes synonymes) qui ne vise pas la

négative et autoritaire : il est avant tout le garant des libertés publiques car, comme l'énonce l'article 4 de ladite Déclaration, "la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui" et la loi, expression de la volonté générale (Jean-Jacques Rousseau), est là pour assurer ce principe. Aussi, l'ordre public est regardé par la jurisprudence du Conseil comme le "bouclier" de certaines des plus fondamentales de nos libertés : "la prévention des atteintes à l'ordre public est nécessaire