Les Limites De La Standardisation Des Resultats Dans L Entreprise

production, c’est clairement la rationalité formelle qui prend le dessus. En tant que citoyen, nous avons pu imposer certaines limites (sphère privée et publique distinctes, jours fériés = limitation symbolique de la rationalité formelle). Mais ces limites font débats. Actuellement, par exemple, les plus libéraux avancent l’idée que nous devrions travailler sans limites (dimanche, nuit,…). Nous nous trouvons donc dans une époque charnière. Cet inversement de la hiérarchie arrive avec le mouvement

quitte à devenir généraliste par la suite. Les grands comptes ont tendance à limiter leur liste de fournisseurs au plus gros, ils sont donc difficiles à convaincre au début. 5°) Faire une veille permanente du marché : attente des clients, du secteur, positionnement de la concurrence, actualité des fournisseurs et apparition de nouvelles technologies. La réglémentation juridique et les organismes de standardisation doivent également faire partie de la veille du chef d'entreprise. 6°) Ne pas

prolongés par Henry Ford par l'introduction du tapis roulant qui permettra l'apparition de la chaîne de montage ("travail à la chaîne"). Mise à mal par une contestation sociale liée à l'augmentation du niveau de formation des travailleurs et par des limites structurelles liées à la rigidité d'un processus de production standardisée, l'OST semble supplantée à partir des années 70 par de NFOT, issues notamment d'expériences suédoises et japonaises. Les réussites apparentes de cette innovation organisationnelle

voient le jour. On commence à avoir des relations sociales entre entreprises & employés (époque du Paternalisme, construction de logements pour les ouvriers, d’écoles, accompagnement des ouvriers…). Apres la 2eme guerre mondiale : c’est la période des 30 glorieuses, période économiquement détendue, développement de la gestion du personnel sous le fordisme, le taylorisme, la standardisation etc… On a toujours des grandes entreprises dans le secteur industriel, avec des emplois de masse, variation

disparaître ? Sommaire La place des marques locales dans les marchés internationaux : Sont-elles vouées à disparaître ? Introduction p 3 I) L’internationalisation des marques p 6 A) les objectifs des grandes entreprises à l’international p 7 B) la globalisation : une stratégie pertinente ? p 9 C) gérer le paradoxe global/local p 20 II) les marques locales dans leurs marchés nationaux p 26 A) atouts et caractéristiques p 27 B) les freins

qualité"? 1.1. du "vieux management public" : obligation de moyens + confiance… 1.2. au "nouveau management public" : obligation de résultats + méfiance 2. la boite à outils de la mesure de la qualité 2.1. La standardisation des produits 2.1.1. le point de vue du marché: normer l'objet de l'échange 2.1.2. le point de vue managérial : normer les objectifs de résultats 2.2. la certification des processus de production 2.2.1. un indicateur de qualité sur les marchés. 2.2.2. un outil de contrôle et de

caractéristiques :  Une structure durable, se perpétue dans le temps, recherche sa survie au-delà des individus qui la composent.  Une structure matérielle, inscrite dans l'espace avec des lieux, des biens, des symboles. Recouvre tous les cas : entreprise publique, privée, associations, partis politiques, administrations. 2) Les caractéristiques des organisations Six traits caractéristiques communs à toutes les organisations :  La division des tâches (formelle ou informelle). Spécialisation

d’identifier la position stratégique globale à adopter, de diminuer les risques d’échec, de mieux connaître ses possibilités et ses limites, et de prendre finalement une orientation stratégique plus efficace. Audit Interne, Contrôle Interne, Contrôle de Gestion et Inspection. L'audit interne est une activité indépendante, objective et impartiale, exercée dans une organisation (entreprise, organisme), menée pour produire de la valeur ajoutée pour cette organisation en lui apportant assurance sur son fonctionnement

des infrastructures nécessaires à la production (formation ; routes.) L’entreprise conserve une part de la valeur (les bénéfices non distribués) pour financer ses investissements futurs (autofinancement). Une entreprise achète des matières, de l’énergie (électricité, carburant…)et des services comme, par exemple, la location de locaux et de matériels l’entretien des machines, l’assurance des biens et la publicité. Elle produit des biens ou des services dont la

bénéficient de la mondialisation en obtenant un rendement plus intéressant pour les détenteurs du capital et un éventail plus large des biens pour les consommateurs. Cependant, ces mêmes pays souffrent d’une délocalisation de plus en plus pénalisante des entreprises locales (centres d’appel) . Les pays émergents sont moins compétitifs et productifs que les pays développées mais profitent des investissements étrangers issus de la mondialisation . Le cadre institutionnel des échanges internationaux :