Les Limites Du Toyotisme

la flexibilité est donc la capacité à s’adapter aux marchés et à leurs transformations, aussi bien quantitatives que qualitatives. Une unité de production va donc chercher à utiliser la quantité de facteurs de production dont elle a besoin et à limiter les gaspillages de matières premières, de travail (temps morts) et de capital (immobilisation des machines). Il s’agit ici de faire fluctuer le taux de salaire en fonction de l’offre et de la demande de travail. La flexibilité salariale est donc

schumpetérienne. Mais soumettons ce schéma à une analyse critique : pduit : éco de service, liés à la communication, symboliques procédés : toyotisme, informatisation, flux tendus... organisation : mondialisation, DIPP, réseaux de comm débouchés : cons de masse mondiale… énergie, mat 1ères : nucléaire, énergie solaire… mais cela est mitigé, silicium, âge du verre… Limites à cette 3° R.I : le 3ème R.I n’est pas industrielle, elle est dans le domaine du tertiaire, du moins en apparence (75% du PIB des

c’était le cas dans le taylorisme. D’autre part, la chaîne permet d’obtenir un produit standardisé ce qui réduit le risque d’erreur, de malfaçon. Pour ces 2 raisons ; la quantité et la valeur des produits fabriqués par le travailleur augmente.3) Le toyotisme, un modèle post-taylorien japonaisLa flexibilité du travail est la capacité d’une entreprise à adapter le plus rapidement possible la quantité, la qualité et la rémunération du travail à ses besoins productifs en fonction de la demande qui s’adresse

introduction du facteur humain (la complexité de l'homme au travail) La vision de Taylor va susciter deux types de critiques :  Presque philosophique sur l'aliénation du travail.  En termes d'efficacité qui commence dès le début, sur les limites, les dysfonctionnements du taylorisme. Entre les deux guerres l'école des relations humaines va tenter d'apporter une amélioration taylorisme. Les années 30 aux USA. Dans l'immédiate après-guerre en Grande-Bretagne. Morelo, Mayo, Herzberg, McGregor

l’efficacité il y a une procédure à respecter. Il est l’auteur le plus important. Le taylorisme n’est pas mort : ex : à Mc Do et à Quick tout est normalisé pour que n’importe qui mange un Mac Do : le burger doit avoir le même goût partout, à PSA Ono-toyotisme : intégration du capital, on est dans les 10ères puissances économiques, usine dans Shangaï : il y a du taylorisme : pas d’intégration dans le capital car main d’œuvre pas cher. 1er mouvement : L’école classique du management : On a deux mouvements

et on intègre les facteurs de contingence (LAWRENCE et LORSH). Dans quelle mesure la flexibilité de la production est elle source de compétitivité pour l'organisation? Comment cette flexibilité est t elle mise en place, et quelles en sont les limites? Nous verrons donc dans une première partie pourquoi la flexibilité de la production est t'elle source de compétitivité (I) puis nous verrons quels moyens l'organisation peut mettre en œuvre (II). I)La flexibilité : un impératif source de compétitivité

à faire faire une partie ou toute la fabrication par un fournisseurRéduction des coûts, devient + flexibleDépendance des fournisseursFocalisation : consiste à se concentrer sur un segment du marchéExtrême connaissance du marché et du segmentMarché limité (niche)Mode de croissance :croissance interne : l'entreprise se développe grâce à ses propres ressources et compétences (avantages : autonomie, indépendance, inconvénients : possibilité d'être limitée financièrement/humainement)croissance externe :

Introduction Depuis le 20e siècle, de nombreuses méthodes de travail ont été mises en place dans les entreprises comme par exemple le Taylorisme et le Fordisme. Des méthodes qui utilisaient le travail à la chaîne. Avec l’arrivée du Toyotisme, on a utilisé des méthodes partant de la demande du client, il a donc fallu mettre en place des outils comme le Kanban pour le bon fonctionnement de celle-ci. Le Kanban (traduction japonaise d’étiquette) est une étiquette permettant de matérialiser

nouvelles connaissances 3) La machine possède un rôle et un but précis Elle peux entraîner d'autres connaissances et du progrès technique. Permet de meilleurs rendements c'est-à-dire produire plus dans un minimum de temps (taylorisme/ fordisme/ toyotisme) D'après Bergson, l'homme doit être capable de fabriquer des machines qui sont capables de le rendre indépendant (mais pas entièrement) de la nature (machines agricoles, médicales…). La machine est une application technique de la connaissance de

Après avoir présenté les principales transformations de l’organisation du travail depuis les années 1970, vous en montrerez les effets sur les conditions de travail. quelques pistes : Montrer les principales différences entre taylorisme, fordisme et toyotisme, puis montrer ensuite que les conditions de travail ne se sont pas forcément amélioré pour tous les salariés (la pression étant désormais exercée par la demande et un peu moins par le contrôle hiérarchique direct – à nuancer selon le niveau de qualification