Les Miserables Argumentation

Théophile Gautier, Edition L’Ecole des loisirs ou autre édition abrégée. (Intérêt de cette lecture : roman d’époque, de cape et d’épée, et vie des comédiens au XVIIème siècle) Les Trois Mousquetaires, Alexandre Dumas, Edition L’Ecole des loisirs Les Misérables, Victor Hugo édition L’Ecole des loisirs. Jacquou le Croquant, Eugène Le Roy, édition Le Livre de poche jeunesse Les Contes de la Bécasse, Maupassant La Vénus d’Ille, Prosper Mérimée Carmen, Prosper Mérimée Nouvelles histoires extraordinaires, E

funèbres, par exemple les textes de Bossuet) et du polémique, parfois appelé pamphlétaire (exemple Les Châtiments de Victor Hugo). On peut lui associer le registre didactique employé dans les textes délivrant un enseignement : il est fondé sur une argumentation destinée à informer et à convaincre un interlocuteur. [modifier] Le registre fantastique L'interrogation est de mise aussi dans le cas du registre fantastique qui introduit une faille dans le réel, jouant sur le doute d'une réalité possible (ex

réalisation de ces dernières et ne transmettent pas non plus l’état réel de ceux qui y figurent. C’est donc ce parallèle entre réalité et résultat qui dans ce cas-là nous prouve qu’une photo n’est pas toujours gage de vérité. Pour poursuivre dans mon argumentation je voudrais cette fois-ci mettre en valeur les photos décrites et expliquées aux pages 56-57-62. Dans ces passages ce sont des photos de Gaston C. retraçant à la chaîne le parcoure de 14 arabes soupçonnés qui sont mises en avant, on commence par

est un savoureux plaidoyer en faveur de la soumission à autrui et de l’abandon de toute compassion envers les plus faibles. Ce discours habilement conçu est destiné à endormir la méfiance du loup. La Fontaine rend le lecteur sensible à cette argumentation grâce à des registres variés et à des mètres subtilement choisis. Le ton polémique participe aussi à l’influence de la littérature sur la société : la véhémence du discours du Tahitien dans le Supplément au voyage de Bougainville permet au lecteur

et qui, seul, semble pouvoir faire sortir la divinité de sa douce torpeur d'après manger et boire ("nappes", "calices")... Cette insistance des verbes de sensation permet au poète de toucher le lecteur, de l'émouvoir plus intensément ; nulle argumentation ici d'ordre logique ou intellectuel : de simples rapprochements, des oppositions brutales permettent de nous faire saisir immédiatement les intentions de Rimbaud : la peinture du Mal sous toutes ses formes. TITRE Le titre que Rimbaud a donné à

l’idée de conscience « substance » (« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. Pensée fait la grandeur de l’homme […] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature. Mais c’est un roseau pensant » Toute conscience est une conscience morale La conscience serait donc la capacité de se séparer de

« Pangloss fut pendu, bien que ce ne fût pas la coutume. » (Voltaire, Candide) Mais l'ironie est essentiellement un fait d'énonciation. Elle consiste en une distance entre l'énonciateur (celui qui parle) et l'énoncé (ce qu'il dit). Dans une argumentation, l'ironie consiste à faire semblant de donner la parole à son adversaire, à le citer pour mieux montrer que ses idées sont absurdes, odieuses ou ridicules. Dans un récit, l'ironie tient souvent à une opposition entre le narrateur et le point de

pourquoi elle est assez centrale et ce qu’il faut savoir sur ce chapitre vous sera utile pour de multiples sujets. La démonstration est l’opération permettant d’établir une proposition ou une théorie en s’appuyant sur des preuves et/ou une argumentation appropriée. La présentation d’une démonstration dès lors que l’on recherche la vérité est parfaitement légitime. Pourtant elle est parfois trompeuse, parfois vouée à l’échec : on ne peut tout attendre de la démonstration. La logique La logique

comprendre la dimension universelle de certaines fables (qualités ou valeurs défendues) - identifier la diversité des formes de la fable, distinguer ce genre littéraire d’autres genres proches - identifier les formes des moralités et comprendre une argumentation implicite - comprendre l’intertextualité (travail sur la réécriture d’Esope à La Fontaine, par exemple) et cerner des choix d’écriture - comprendre le pouvoir de la parole à travers l’étude du dialogue (oral ou écrit) 2. Bibliographie sur le

personnage romanesque est-il le reflet d’une époque ? Objectifs : Percevoir les évolutions de la notion de héros Comprendre comment s'articulent personnage et héros (deux notions qui ne coïncident pas toujours) Lectures analytiques Texte 5 : V. Hugo, Les Misérables, 1862, la mort de Gavroche. Texte 6 : L-F. CELINE, Voyage au bout de la nuit, 1932, la guerre. Textes et documents complémentaires -FLAUBERT, Madame Bovary, 1857, mort d’Emma -ZOLA, arbre généalogique des Rougon-Macquart Synthèses -Notions