Les Misérables Injustice

lui fait des obsèques nationales et à l’heure d’aujourd’hui il repose au panthéon. Un défenseur : Victor Hugo, grande figure du romantisme, a pris des positions sociales très tranchées, et très en avance sur son époque. Son chef d'œuvre, Les Misérables est un hymne à la misère et aux plus démunis. Aussi, Dénonçant jusqu'à la fin la ségrégation sociale, Hugo déclare lors de la dernière réunion publique qu'il préside : « La question sociale reste. Elle est terrible, mais elle est simple, c'est

leur ai expliqué que je devais aller m’occuper de Madame Rosa qui allait bientôt mourrir et après j’allais voir », Momo se trouve chez Nadine et son ami, ils sont la jeunesse, et il doit lui aller s’occuper d’une vieille dame qui va mourrir. Les misérables Prostituées et enfants/adolescents qui ont eu la malchance de naître où il ne fallait pas. Les prostituées qui confient leurs enfants à Madame Rosa sont d’une part exploitées par leurs proxynètes (ce sont les hommes qui gèrent l’emploi du temps

controversée de l'époque que l'auteur adapte à la toile fictive sous le nom d' «affaire du Maroc». D'autres faits historiques comme l'insurrection républicaine de 1832 et le coup d'Etat de louis Napoléon Bonaparte en 1848 sont rapportés dans Les Misérables de Victor Hugo ou encore dans L'Education sentimentale de Flaubert. Tous ces éléments participent à l'illusion du réel en incrustant l'histoire dans un cadre réaliste. De plus, certains lieux de l'action sont réels : nous avons l'exemple du Palais

« culture ». En français, comme en espagnol ou en latin, des textes sont le certificat de naissance du « bon sauvage ». Le mythe du bon sauvage a permis aux écrivains contemporains de développer une forme de critique sociale sur les aberrations et les injustices de la société.  Le « bon sauvage » est donc le fruit de l’imaginaire de tous les grands lecteurs des récits de voyages. Il apparaît au 16e siècle : il est, en quelque sorte, un personnage fait à partir des nombreuses descriptions des hommes primitifs

religieuse et l'Histoire des Girondins son intêret pour la Révolution. Victor Hugo (1802-1885) le plus grand et le plus durable des romantiques. Il a été poéte: Odes et Ballades , dramaturge: Hernani, Les Burgraves , romancier: Notre Dame de Paris, les Misérables. Au début royaliste, il est devenu ensuite très républicain, très opposé à Napoléon III: les Châtiments. Alfred de Musset (1810-1857), amoureux transi, dialogue avec les muses, écrit la Confession d'un enfant du siècle et le drame de Lorenzaccio

Napoléon III, avec Les châtiments, ce pourquoi il fut exilé pendant le Second Empire. Victor Hugo était également présent en politique, avec des discours ou des récits de voyage. Il s’est battu contre les injustices sociales comme la peine de mort, il a écrit sur la misère humaine avec Les misérables par exemple. Il avait également des convictions religieuses. Il était anticléricalisme mais restait croyant en Dieu. La mort de sa fille Léopoldine et le christianisme renforcent sa croyance, d’où le recueil

énormément avec ce comique qui caricature la personnalité des personnages lorsque par exemple actes II scène XIV le comte, illustre personnage de la noblesse, sort de ses gonds, fait un caprice, part chercher le matèriel necessaire pour ouvrir une misérable porte ! Le comique de situation chez Molière est un des piliers-porteur de l'ensemble de l'oeuvre, les quiproquos et manipulation d'Arnolphe utilisés pour séparer tant bien que mal les deux amoureux. Horace n'est pas au courant qu'Arnolphe alias

définitivement à Ferney, près de la frontière Suisse, où il reçoit toute l'élite intellectuelle de l'époque tout en ayant une production littéraire abondante. En 1759, Voltaire publie "Candide" une œuvre qui critique l'intolérance, les guerres et les injustices. En 1778, il retourne enfin à Paris, à l'Académie et à la Comédie Française, mais épuisé par son triomphe, il y meurt peu de temps après. Il était anticlérical mais croyait en un Dieu tout puissant. Il est pour une monarchie constitutionnelle. Les

vouloir utiliser ou dominer l’autre ne pourraient pas procurer de bonheur dans la mesure où elles conduisent à la solitude. C’est en ce sens que Hume parle peut-être de « punition », c’est-à-dire d’une peine qui vient réparer ou compenser une injustice commise. Lorsque la solitude est absolue, elle n’est pas seulement un isolement momentané, lequel pouvant être salvateur dans la mesure où l’on sait que l’on va retrouver l’autre ensuite. Dès lors cette solitude « parfaite » devient le pire des

avec l’époque d’aujourd’hui par rapport au libertinage, au mariage de jeune fille et au couvent ; de plus la réalité est différente, les personnes de bonnes intentions ne sont pas toujours les mieux récompensés, rencontrant alors parfois certaines injustices. Dans cette première partie, nous avons montré que de nombreux romans sont éloignés de la réalité, dans les personnages, les lieux, le genre du roman ou encore l’histoire des héros. Cependant, on remarque que les histoires qui