Les Misérables Injustice

fiction, on entre dans une époque, dans un mode de pensée…               B- La force du recours à la fiction pour dénoncer/argumenter • Au xixe siècle, le roman voulait être un miroir de la société : dénonciation des injustices sociales. Hugo dénonce la misère dans Les Misérables, à travers plusieurs personnages touchants et vivants. Ce ne sont pas des types ; ont leurs défauts et leurs qualités => ressemblent au lecteur. Cf. Cosette, Fantine, Valjean… • Lorsque le narrateur est « je », l’identification

misère ! La misère ! Tant qu'il y aura un soldat, un bourreau, un prêtre, un gabelou, un rat-de-cave, un sergent de ville cru sur serment, un fonctionnaire irresponsable, un magistrat inamovible ; tant qu'il y aura tout cela à payer, peuple, tu seras misérable ! » Au final, cette affiche n’aura aucun effet sinon de rendre le gouvernement encore plus sourd à la détresse populaire et, faisant preuve de réactivité pour une fois, il réprimera par la force un début d'émeute le 23 janvier. Le 29 janvier

nous livre une parodie des hommes politiques communistes . Molla analyse et observe une période politique très importante à travers un roman : l’engagement nazi et les camps de concentration, dans SÖBIBOR. Dans Les Misérables, Hugo, homme politique engagé, critique les injustices sociales et la misère de la société du XIXème siècle mais il prend aussi parti pour certaines idées, ce qu’il démontre dans Le dernier jour d’un condamné, où il condamne la peine de mort. Quant à Zola, il observe les «

tour à tour s’accuse. Néanmoins, le seul qui sera reconnut coupable est celui qui aura fait preuve de la moins grande faute. Comment cette fable, au contexte simplifié et aux apparences enfantines, permet-elle de délivrer un message fort sur les injustices de la société ? Tout d’abord nous étudierons la mécanique de la fable, puis la manière d’illustrer la justice injuste. I) Comment la Fable est elle écrite a) Le bestiaire typique qui va du plus fort au plus faible Ici, la pyramide sociale est

à la vue d’une épée qu’on tire devant ses yeux. Le Duc est donc un personnage qui est imbu de lui même, et qui pense que lui seul peut gouverner. Il méprise également ses sujets et est détesté du peuple. Il agit en despotes et multiplie les injustices, les bannissements, les massacres, les abus de pouvoirs. Au-delà de son rôle politique, il méprise son rôle moral et bafoue le code d'honneur de l'aristocratie: il est présenté comme un grand seigneur décadent, immoral, grossier et libertin. La

peut montrer l’utilité de la poésie par d’autres aspect aussi : En effet, la poésie procure le plaisir, le bonheur aux hommes grâce à la beauté qu’elle offre. Comme dit Adonis «  la poésie rend la vie sur terre plus belle, moins éphémère, moins misérable ». Par exemple, les poèmes de Parnasse qui tendent à une perfection formelle, comme on dit « c’est l’art pour l’art ». Ainsi le poète met en avant l’esthétique du texte au profit du lecteur pour provoquer l’émotion au sens d’une réaction plastique

Dans un passage de son roman « L'Education sentimentale » (1869) Flaubert [1821-1880] donne à voir l'irruption d'un peuple révolté et la mise à sac du palais des Tuileries lors des soulèvements de 1848. Dans sa grande fresque épique intitulée « Les Misérables » (paru en 1862), Victor Hugo [1802-1885] met en scène un grand moment de l'histoire républicaine. Sous la Monarchie de Juillet, faut-il le rappeler, tous les hommes politiques au pouvoir comptent dans leur parenté des guillotinés conduits à l'échafaud

LE PLAN CADRE l'esclavagisme des enfants | injustice | révolte | | | | | | | | | | | | travail acharné | | | | | | | | | | | | souffrance | | | | | | | | | | | captivité | maladie | | | | | | | | | | | | le temps | | | | | | | | | | | | tristesse | | | | | | | | | | | impuissancesolution | prière | | | | | | | | | | | | soumission | | | | | | | | | | | | 11111

l’opinion des gens éclairés, qui précède toujours l’opinion publique et qui finit par lui faire la loi ; l’opinion dont l’autorité entraîne l’opinion du peuple, l’opinion populaire enfin, qui reste celle de la partie du peuple la plus stupide et la plus misérable, et qui n’a d’influence que dans les pays où le peuple, n’étant compté pour rien, la populace oblige quelquefois un gouvernement faible à la compter pour quelque chose 3. » Cette distinction nous renvoie l’écho de l’amertume de Condorcet face à

donne souvent l'avantage dans l'opinion des écoutants, tant les sages imaginaires ont de faveur auprès des juges de même nature. Elle ne peut rendre sages les fous mais elle les rend heureux, à l'envi de la raison qui ne peut rendre ses amis que misérables, l'une les couvrant de gloire, l'autre de honte. Qui dispense la réputation, qui donne le respect et la vénération aux personnes, aux ouvrages, aux lois, aux grands, sinon cette faculté imaginante. Toutes les richesses de la terre [sont] insuffisantes