Les Monstres Dans La Société

expressions et apprend à lire. Il passe progressivement d’une situation d’ignorance à un stade de connaissance. C’est à ce moment-là qu’il comprend que les humains ne sont pas parfaits et qu’il y a de nombreuses injustices et des préjugés dans la société. Il prend conscience de sa différence physique lorsque la famille de Lacey le rejette quand il se présente à elle pour la première fois. Cette prise de conscience est douloureuse pour la créature puisque cela brise l’idéal qu’elle se faisait des

dès lors l’emblème du studio. En 1990, la société réalise une perte nette de 8,3 millions de dollars et doit chercher un partenaire financier. Elle se sépare le 30 avril 1990 de sa division de matériel informatique. La société coute tellement que Steve Jobs envisage alors de la vendre. En mai 1991, Pixar signe un contrat de 26 millions de dollars avec Disney pour produire 3 longs métrages d’animation qui seront : Toy Story, 1001 pattes et Monstres et Cie. Steve Jobs décide alors de lui donner

tanné » ainsi que par l’emploi d’un champs lexical monstrueux « visages contournés, tordus », il va même jusqu’à montrer que la simple vue de ce peuple l’indispose à travers « peuple horrible à voir ». Par ailleurs, il dénonce une dépravation de la société dont il dévoile la superficialité en utilisant l’anaphore des masques : « masques de faiblesse, masque de force, masque de misère, masque de joie », une idée se mêlant bien à l’atmosphère des différents tableaux exposés et décrits par Emma Bovary

bien juger (avec pertinence) → Esprit philosophique : esprit de justesse et d’observation. B_ L’homme du monde a) Reprise de l’expression « honnête homme » → L’honnête homme du 17e s. devient aristocrate, fréquente les salons, la haute société, a de bonnes manières. → Le philosophe veut plaire et se rendre utile (Définition que donne Dumarsais pour le 18e s.) b) Qualités de ce nouvel « honnête homme » → Qualités acquises à l’effort, et non à la naissance (évolution pour arriver

dans la capitale aux dépens des petits commerces, et qui fait rayonner sa fièvre mercantile sur toute la société parisienne. Politique du personnel, gestion des stocks et logistique du flux de clientèles, aucun aspect technique de ces grands magasins n’échappe à Zola. L’auteur salue, dans ce monstre d’un nouveau genre, un facteur de progrès économique et social. « Les grands magasins, monstre moderne » Lentement, la foule diminuait. Des volées de cloche, à une heure d’intervalle, avaient déjà sonné

souvent disputé pour des actions que nous avions réalisées. Que ce soit vouloir manger du sopalin ou encore tenter de défenestrer sa sœur, ces actions sont réprimandées par nos parents. Cela permet à l’enfant de pouvoir ensuite s’intégrer dans la société sans se laisser aller à ses désirs profonds. Cependant, si depuis ma naissance ce sont mes parents ou d’autres personnes avec un impact (amis, professeurs, patrons, …) sur moi qui m’indiquent ce qui est morale ou non. Ne serai-je donc pas façonné

influencée par : - mythologie grecque (que les romains se sont ensuite réappropriés) Grandes figures, lieux communs Homère : grand conteur du 8ème siècle avant J.C = l’Illiade et l’odyssée Mise en scène des stéréotypes de personnages : des monstres, des centaures, des sirènes, des cyclopes…Ces personnages vont évolué avec le temps : cyclope => ogre Agamemnon : un roi Clytemnestre : la femme du roi, infidèle Médée : la sorcière Des héros : Achille, Jason, Ulysse, Hercule… Hercule : toujours

romantique du début du siècle, avec ses personnages difformes, ses monstres et sa nature effrayante. Le roman hugolien n'est pas un « divertissement » : pour lui l'art doit en même temps instruire et plaire et le roman est presque toujours au service du débat d'idées. Hugo demeure le dramaturge de la fatalité et ses héros sont, comme les héros de tragédie, pris au piège avec des contraintes extérieures et une implacable fatalité ; tantôt à la société, tantôt à l'Histoire, ou bien à leur naissance. Le goût de

6), mais aussi à un bagne et à un enfer : «  Innocents dans un bagne, anges dans un enfer » (v.9). Hugo personnifie la machine que les enfants utilisent : « les dents d’une machine sombre » (v.7), il fait aussi une métaphore de cette machine : «  monstre hideux qui mâche » (v.8). Il installe une atmosphère pesante dans le poème : « tout est d’airain, tout est de fer » (v.10). Dans sa description des enfants, de leurs conditions et de leur lieu de travail, Hugo dénonce déjà le travail des

2. L'infirme, synonyme de monstre : Autrefois, le handicap n'était pas désigné comme tel : en effet, ce terme, utilisé aujourd'hui, était à l'époque appelé « l'infirmité » et pire encore ... Le handicap représentait la figure du monstre. L'infirmité était considérée comme l'empreinte de la faute. Les anormalités étaient énoncées par le vocabulaire souvent péjoratif de l'infirmité ou de la malformation, ce qui désignait fréquemment leur appartenance sociale. La société de l'époque voyait les handicapés