Les Métamorphoses Ovide

variés et 3 autres. C’est pas mal niveau quantité, ça fait à peu près 1500 épigrammes. On s’est amusé à compter les vers et ça fait 9787 vers. C’est l’équivalent des œuvres les plus longues de la littérature latine : l'Enéide de Virgile et les Métamorphoses d’Ovide, 12 livres et 9996 vers, 15 livres et 11996 vers. Nous, on va montrer comment Martial a amené l’épigramme à son apogée, comment il a fait d’un petit poème une grande œuvre et comment il a rendu cela un genre important. 3. L’épigramme à

suffisant, la poésie : un art sacré qui demande l’enthousiasme au sens étym du terme « transport divin ».Héritier d’Orphée, le poète doit être inspiré par les muses et animé d’une flamme divine pour réussir son œuvre. Imprégnés de culture antique (Ovide, Virgile, Homère), ouverts à l’influence italienne (Pétrarque, Dante), ils mettent leurs talents de versificateurs innovants au service d’une inspiration personnelle, lyrique, élégiaque-élargie quand il le faut au ton de la satire, de l’engagement

ici. Ce vers tend à signifier que le poète dandy s'abandonne au plaisir. Son âme plonge voluptueusement dans l'oubli érotique, cet asile des désespérés. Les vagues de la passion, un remède au vague des passions ? « Sunt quoque gaudia luctus » disait Ovide. Et les chagrins aussi sont mêlés de plaisirs... Ces connotations érotiques démontrent, comme le remarqua plus tard Guillaume Apollinaire, que Baudelaire eut le courage « de ne point voiler les contours de la vie ». Le métaphorisme final , cette écriture

 L’An 2440 ; « les ruines de Versailles » 4. VOLTAIRE, Candide, chapitre 18 « L’Eldorado » 5. MARIVAUX P.C., L’île des esclaves ; scène 2 jusqu’à « Ne craignez rien. »Lectures complémentaires :HESIODE, Les Travaux et les jours ; « l’âge d’or »OVIDE, Les Métamorphoses ; « l’âge d’or »La Bible ; « Génèse » II, 8-10MORE T., Utopia ; « la journée des utopiens »RABELAIS F., Gargantua ; « L’abbaye de Thélème »VOLTAIRE, La Princesse de Babylone ; « les Gangarides »ORWELL G., incipit de 1984MONTESQUIEU C.L., Les

laïcisation du mythe 2.2. L’hymne au théâtre, royaume des sortilèges 2.3. Faust face à Méphistophélès (Explication) 2.4. Bilan : Faust et l’idée de modernité 3/ Le Faust de Goethe 3.1. Le basculement du XVIIIe siècle 3.2. Goethe face au mythe 3.3. La métamorphose du personnage de Faust 6 3.4. Le réinvestissement du pacte Conclusion CONSIGNES DE TRAVAIL ET BIBLIOGRAPHIE Lecture du cours Le premier travail consiste à lire attentivement le cours. Je préconise une lecture lente et active. L’erreur à

cela marque l'agressivité du poète. L'allitération en « r » dans les quatre derniers vers du poème : dénonce la violence de la guerre. 6. Prévert exprime son dégoût face à l'horreur de la guerre. Métamorphose du paysage 1. La métaphore de la pluie présente des les premiers vers, subit une métamorphose progressive. 2. On passe d'une « pluie heureuse » à une « pluie de fer, de feu d'acier de sang »  et enfin une « pluie de deuil terrible et désolée ». 3. La pluie est associée au personnage de Barbara :

adulte sept jours après sa naissance et part établir son culte chez les hyberboréens mais de retour en Grèce, il désire s’installer à Delphes ou vivait alors Python, fille de Gaïa. Apollon face à ce monstre l’abattit « d’un millier de flèches » selon Ovide. Le dieu prend alors le nom de pythien et célèbre son oracle à Delphes. Apollon tua aussi le géant Tityos d’une flèche car celui-ci avait violé sa mère Léto. Ce crime fut approuvé par Zeus et le géant fut condamné à des tourments éternels dans le

réception des lettres, elles ne sont pas lues comme œuvre littéraire puisque pas de copies et ne sont pas lues public. Selon Bray on peut parler d'auteure, elle se serait appuyer sur le modèle de la lettre d'amour, modèle littéraire => Héroïdes, Ovide (Lettre d'Ulysse à Pénélope) épitexte littéraire → bien littéraire + met en exergue rivalité littéraire entre mère/fille + poétisé particulière de la forme épistolaire (pas juste un réservoir factuel). Débat insoluble. Une littérarité nécessairement

appelle classicisme –Voltaire fera du « goût » la notion centrale de son système esthétique. Le tableau qu’il propose fait surtout apparaître des « poètes » et des « orateurs ». Leur autorité est alors en pleine constitution, ce qui témoigne de la métamorphose décisive de la notion de « littérature » qui s’est opérée entre la fin du XVIIe et le seuil des Lumières. Le mot « littérature » passe alors d’une origine humaniste et néo-latine, la res literaria, à la conception plus étroite d’un champ spécifique

l’optimisme grec est peut-être moins profond que le pessimisme chrétien. Car, à bien observer les hommes, ne faut-il pas parfois avouer comme Médée qui s’apprête à tuer ses enfants : « Je vois le meilleur et je l’approuve, et je fais le pire » (Ovide. Métamorphoses, VII, 20-21), ou comme St Augustin qu’il y a une délectation de la transgression, une véritable jouissance du mal ? Dans le monde grec déjà, la thèse platonicienne rencontre les objections d’Aristote. Qu’on puisse faire le mal par ignorance