Les Métamorphoses Ovide

il couche, pendant douze nuits. De cette union naît Adonis. (rapporté par Pseudo-Apollodore 3.14.4) Adonis est aussi considéré fils de Cyniras et de sa fille Myrrha, le fondateur de la ville de Paphos en Chypre, et Ovide raconte le récit avec lui à la place de Théias. (Les Métamorphoses 10.297) * Dans la mythologie de l’Égypte antique, une grande partie des unions divines était incestueuse. Par exemple, dans la grande Ennéade d’Héliopolis, les couples Chou-Tefnout, Geb-Nout, Osiris-Isis et Seth-Nephtys

dans le ciel. Le mythe d'Orphée et d'Eurydice a beaucoup inspiré les artistes aussi bien sculpteurs, peintre, poètes que musiciens. L'épisode d'Orphée déchiré par les Ménades était le thème des Bassarides, une tragédie perdue d'Eschyle. Ovide, dans ses Métamorphoses, livres X et XI, et Virgile, au livre IV des Géorgiques ont illustré le personnage d'Orphée dans la littérature latine. Claude Monteverdi a composé sa «fable en musique» Orfeo. A l'égal de cette oeuvre connue et souvent jouée, l'Orphée

....................................................................................27 XVI. Sed satis est jam posse mori. LUCAIN.......................................................................................29 XVII. Flebile nescio quid. OVIDE........................................................................................................30 XVIII. Sed satis est jam posse mori. LUCAIN.....................................................................................31 XIX. Le toit

des tragédies de Corneille et de Racine. • Les classiques reprennent trois types de sujets : les sujets bibliques (en poésie, en peinture) qui racontent la vie du Christ ; les sujets mythologiques (théâtre, peinture) puisés surtout dans Les Métamorphoses d’Ovide ; les sujets historiques inspirés des historiens grecs et romains (Hérodote, Thucydide, Tite-Live, Tacite). Les classiques s’inspirent notamment d’ œuvres venues d’Italie : • Les commentateurs italiens d’Aristote (Ludivico Castelvetro)

sexuelles s’est trouvée relativisée au profit de la dernière classification des pulsions en deux autres groupes sous la dénomination de l’Eros et de Neikos (lutte).] [Libido : d’usage courant dans la littérature latine d’inspiration érotique (chez Ovide en particulier), le terme et la notion de libido ont été transmis de cette source profane à la théologie morale du Moyen Âge avant d’être accréditer par le vocabulaire médical du XIXe siècle, ainsi l’atteste encore le Lexique médical étymologique et

radicalité d’Antigone, il peut aussi toucher par son échec en suspens. L E S M O T S D U C E R C L E La littérature a non seulement représenté et favorisé des révoltes, elle sait aussi se révolter contre les œuvres et les formes du passé. Les métamorphoses artistiques, l’émergence des avant-gardes est souvent liée à une révolte esthétique, où les canons du passé sont contestés avant d’être réinventés. Ne peut-on pas voir dans le choix du retour à des formes traditionnelles par les poètes de la Résistance

commence le grand essor de la grande culture savante occidentale (Platon, Aristote, les sceptiques, les Epicuriens, les stoïciens). Les savants s'occupent de l'eternel question du bonheur. Rome est le prolongement d'Athènes. ( Virgile: "L'Eneide"; Ovide / "Carpediem": Horace ( c'est de l'épicurisme) Sénèque ( grand stoïcien qui a élevé Néron) et Cicéron ( juriste, moraliste, stoïciens). La culture savante au Moyen-âge est presque inexistante ( car c'est un âge assez sombre, les monastères conservent

. . . . . . . . . . . . . . . 55 I NDEX DES ŒUVRES ET DES NOMS PROPRES Méphistophélès . . . . . . . . . . . . . . . . 165 Mertueil, Madame de . . . . . . . . . . . 50 Métamorphoses . . . . . . . . . . . . . . . . 182 Nouveau Testament . . . . . . . . . . . . 177 Œdipe roi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96 Ovide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 182 Pagnol, Marcel . . . . . . . . . . . . . . . . . 133 Pascal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60, 171 Pensées

antique décrit la nature parfois de façon syncrétique. D’autres courants comme la Kabbale ou l’alchimie, vont aussi parcourir et influencer ces courants d’écriture. Ces poètes se caractérisent par une érudition pleine et entière. Les références à Ovide et Lucrèce sont constantes. Ces poètes entre eux s’influencent aussi beaucoup et se plagient dans le style ainsi que dans les contenus. La science telle qu’elle est envisagée est parfois un prétexte au poème lui-même, parfois un vrai travail de naturaliste

qu'indicative. 3 Je prends cete expression dans l'Avertissement lié à l'Inscription tirée de Boissard, que l'on trouve dans Les Oeuvres diverses (Pléiade), p. 769. La Fontaine caractérise par elle la continuité qui peut exister entre les différentes Métamorphoses chez Ovide. 4 Le Bûcheron et Mercure, V,1, vers 27. 5 Pâté d'anguilles, Nouveaux contes, vers 4. 6 Le Cierge, IX, 12, vers 17. 7 Le Singe et le Léopard, IX, 3, vers 26-27. Livre. Nous voulons lancer sa lecture. Ce Livre est fondamental. Il engage