Les Passions de l'âme

stable et durable de plénitude et de contentement complet. Quand nous sommes heureux, nous nous sentons bien, notre corps et notre esprit sont apaisés, l’ennemi du bonheur étant le trouble de l’âme, l’agitation. Ce bonheur paraît abstrait, loin de nous. L’être humain est un être agité de nature, par ses passions, l’angoisse de la mort ou ses réflexions incessantes. Alors est-il difficile d’être heureux ? La difficulté suppose une pénibilité, un effort, et il semble en effet qu’être heureux demande une

position qu’il justifie par une définition assez subjective des deux termes. La bonté serait d’après lui une disposition naturelle, «un heureux naturel » qui nous pousse à agir conformément à l’application pratique de la raison, en conformité avec « l’âme raisonnable ».De cette manière la bonté se caractérise par sa passivité, c’est à dire qu’elle ne demande aucun effort puisque seul le « caractère naturel » joue un rôle pour définir tous ces actes. Montaigne par un exemple nous explique que la bonté

La Passion Bossuet, Descartes, Spinoza, Novalis, Camus, Dowstoïevsky, Hegel, Freud, etc etc... La liste des philosophes, des romanciers, des essayistes, des psychanalystes qui ont abordé, fouillé, examiné, décortiqué, analysé le thème de la passion serait longue, fastidieuse et certainement jamais exhaustive. Mouvement impétueux de l’âme pour l’un, simple objet d’un penchant vif et persistant pour l’autre, du domaine exclusif de l’emportement et de la colère pour celui-là, réservé au penchant

l’impératif : « Croyez-moi », « pardonnez ». - Le ton de supplication, de prière : « je vous en supplie ». - Phrases interrogatives : « ne puis-je donc espérer que vous partagerez quelque jour le trouble que j’éprouve en ce moment ? ». Les excès de sa passion : - Les adverbes pour intensifier « entier anéantissement », « plus que jamais », « entièrement insensible », « m’abandonner entièrement », « jamais tant », « jamais », « tout », « si douce », « si vive ». - Des phrases exclamatives et des exclamations

l'imagination, les passions, la volition, les mouvemens du coeur, de la poitrine, des membres, &c. On les soûdivise en saines & en lésées.  Les Medecins sont partagés au sujet du principe de certaines fonctions, comme des mouvemens naturels, tels que celui du coeur, de la poitrine ; les uns & les autres croyent que l'ame en est la puissance mouvante : quoique ces mouvemens ne soient pas libres, ils prétendent qu'il ne faut pas multiplier les êtres sans nécessité, & que la force mouvante de l'ame n'est pas

comme lorsque Descartes écrit « je trouve ici que la pensée est un attribut qui m’appartient » (p.77). Je suis bien en train de penser quand je met en oeuvre le doute radical, et ce je c’est bien moi. Ce que Hume se refuse à admettre ici, c’est que l’âme soit le principe d’individuation de l’homme. Il se refuse à admettre que la conscience soit si limpidement réflexive : Hume ne croit pas que nous soyons à nous-mêmes immédiatement transparents. Ce qui sera nommé plus tard dans la tradition philosophique

L’Ame : Définition philosophique Dans l’Antiquité, Aristote voit dans l’âme la forme du corps, tandis que les atomistes soutiennent que l’âme est composée d’atomes comme n’importe quel objet (matérialisme). A l’époque moderne, Nietzsche reproches l’âme et le corps. Définitions générales de l’âme : En latin : - anima : air, souffle, principe de vie. - animus : siège de la pensée, mais aussi du sentiment et des passions Sens courant : principe de la sensibilité et de la pensée Sens métaphysique

eux ne serait qu’une machine, un ensemble de processus biologiques assurant la survie du corps. L’homme est également unique par sa capacité à s’élever au-dessus de ses instincts primaires grâce à la puissance et au contrôle de sa raison, de ses passions. L’homme dans la conception de Descartes peut être perçu comme un robot. Il est constitué comme une machine, cette machine étant à l’origine du sens, de l’imagination et de la mémoire. C’est grâce à tout ce système que le mental peut fonctionner

des sentiments amoureux, mélancoliques, la passion plutot que la raison... Le romantique aime la nature, qui évoque son âme, et particulièrement l'automne, métaphore de la fin de toute chose . Il est contre les règles strictes qui empêchent la libre expression de soi et pour tout ce qui est particulier et individuel. Définition ordinaire et littéraire, caractérisation du mouvement Romantisme, définition ordinaire : « caractère sentimental et passionné »(Maxidico, 1996). Définition littéraire :

disent les rationalistes. Pourquoi : - Tout homme est doté de raison → ce qui amène la liberté. L’homme est libre et donc responsable de ce qu’il fait de sa liberté. - Raison permet de juger en vue de l’action. - Raison permet de contrôler nos passions, nos pulsions → sont bonnes, si utiliser sans excès, ni à mauvais usage. Non, disent les sociobiologistes. Pourquoi : - Comportements individuels et sociaux (comme l’animal) contrôlés par les gênes, purement biologique - L’agression (vient