Les Passions de l'âme

des moeurs dont fait preuve le héros. Ensuite nous traiterons de la libre pensé de dom Juam, de son libertinage intellectuelle. Tout d'abord, nous allons étudier le libertinage des moeurs dont fait preuve le héros, qui place le plaisr et la passion des vices charnelles au centre de ces préocupations. En effet, Dom Juan est un étre qui déborde de plaisir, il est en prise à un instinct de séducteur insatiable. Cette obsession pour les ébats amoureux le pousse à foulé aux pieds les moeurs de l'époque

tout comme la mort et qu'il est possible de supprimer la douleur et d'atteindre le bonheur ; c'est en précisant les conditions de l'atteinte du bonheur que nous pouvons nous y en approcher. Épicure expose dans cette lettre une sorte de « médecine de l'âme », il s'agit d'une invitation à la philosophie. L'auteur relie le fait de philosopher au bonheur par un principe de causalité : pour être heureux il ne faut pas tenir compte des remarques ou opinions futiles. Cette lettre a donc un enjeux moral.

traduisent des passages, le plus élégamment possible. Questions sur le texte pour diriger le commentaire : 1) Quelle est la thèse de Sénèque au sujet de la colère ? En quoi diffère-t-elle de l’opinion que l’on se forge habituellement sur cette passion ? 2) Comment l’auteur définit-il les notions « adfectus » et « impetus » ? 3) Si l’on sait que le stoïcisme est une philosophie de l’action, quelle est, selon vous, la visée ultime de ce texte ? En complément, le professeur propose une lecture

« La sagesse fait durer, mais c'est la passion qui fait vivre » Passion racine latine qui signifie souffrir Le passioné serait celui qui préfère ce qui n'existe pas, dans le futur, à ce qui existe dans el présent. En s'enlisant, dans sa passion, il refuse la réalité et donc la vie. Sagesse= vivre dans le présent et éliminer les passions pour durer. Passion pas incompatible avec sagesse car la sagesse consisterait aussi à savoir vivre avec ses passions. Sagesse: forme de consenteement à

: 1) Épicure s’adresse de façon universelle aux hommes. Il émet l’idée que la philosophie est intemporelle, on peut et on doit philosopher à tout âge. La philosophie est-un remède pour guérir notre âme « lorsqu’il s’agit de s’assurer la santé de l’âme ». C’est comme un médicament pour guérir les maux. C’est le bonheur ici et maintenant. La philosophie à donc pour but de guérir notre âme pour nous rendre heureux. Le bonheur ne peut-être atteint que par une pratique assidue est dès le plus jeune âge

d'un monde divin et plein. L'âme, prisonnière du corps, doit s'en détacher pour se tourner vers sa véritable patrie, celle des Idées et du Vrai, éternels et incorruptibles. Platon, dans Le Gorgias compare le désir au tonneau percé des Danaïdes, toujours plein, toujours vide, impossible à remplir. Mais alors, si nous sommes ainsi condamnés au désir et à l'agitation, comment atteindre la sérénité, c'est-à-dire, pour la philosophie antique, le bonheur ? Platon décrit l'âme comme divisée en trois parties

singularisante.a). « Une seule et même personne » « Les expressions de la sensibilité » • On peut comprendre la formulation de deux manières selon que l'on considère de quelle manière cette faculté qu'on appelle la sensibilité s'exprime (dans la passion par exemple tel que nous l'avons aperçu avec la nouvelle de Maupassant, L'enfant ) ou selon que l'on étudie (explore) de quelle manière l'homme, principalement ou de façon privilégiée dans l'art, exprime la sensibilité qui

être ni être pensée. L’identité de la pensée et de la conscience conduit à la radicalité de la thèse selon laquelle les animaux ne sont pas conscients, sont de simples machines car ils ne pensent pas ! Il s’agit de concevoir la possibilité, si l’âme pense, de ne pas en avoir la connaissance ou de ne pas en être consciente, c’est-à-dire d’être incapable de se savoir pensante ou de saisir explicitement cette faculté qui est en elle de penser. Descartes a répondu à Arnault : nous n’avons pas de

intempérance de l'âme comparable à un tonneau percé. Ce dernier montre le mécanisme du désir qui passe infiniment d'un désir à l'autre. donc selon , Socrate , l'homme qui répond a tous ses désirs n'est pas heureux. Il risque une soumission excessive à des desirs de plus en plus nombreux et intenses. Comme le préconise les sagesses traditionnelles,il faut maitriser nos désirs , nous devons les éduquer à la réaliter, renoncer aux multiples passions passagères. Descartes dans le traité de l'âme affirmque

de tristesse dont le remède est que la raison reprenne le contrôle des passions. La tonalité de la morale cartésienne reste celle des Stoïciens : seul ce qui dépend de nous, c’est-à-dire la maitrise de notre âme, produit le véritable bonheur. En pratique , c'est-à-dire physiologiquement , l'âme peut s'exercer à mobiliser les esprits qui circulent dans le cerveau pour s'opposer au mouvement d'une passion: combattre par exemple la peur en mobilisant la honte de la fuite, la