Les Questions Rhétoriques

éponyme en vient même à interpeller le ciel, signe de son exaspération v.1295. Changement d'énonciation à cet endroit. * Le point de non-retour est atteint. Horace n'a en fait plus envie de dialoguer avec sa sœur ni elle avec son frère. Cf. la question rhétorique de Horace aux vers 1296-97: il n'attend pas de réponse de la part de Camille qui elle, ne peut lui pardonner et ne cherche plus qu'à laisser éclater sa rancœur. Personnages irréconciliables. Les vers d'Horace dans sa réplique semblent argumentatifs

travail au quotidien, les techniques que nous apprenons en formation, qu’il est difficile de changer ses habitudes et ses relations avec ses collègues et ses collaborateurs. On se décourage et les anciennes habitudes reviennent vite. 2) Question rhétorique Comment faire en sorte que les personnes formées progressent réellement dans leur travail ? Comment faire en sorte qu’elles intègrent durablement les techniques au quotidien ? 3) Dire l’essentiel d’entrée Le coaching est un dispositif

un éloge paradoxal et utilise des tournures faussement savantes. Il nous fait part de sa thèse tout au début de l’acte et poursuit par une période oratoire « Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains…». Plus loin, il utilise une question rhétorique « Ne voyez-vous pas bien… ». Mais enfin, il nous dit que quiconque qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre : C’est une vérité générale (ou gnomique). Une annonce déguisée : Ce passage est enfaite un moyen pour Molière de se venger

(pp.38- la dernière lige) Je croyais que vous alliez toujours tête nue, balbutie-t-elle… Je croyais que vous alliez toujours tête nue ? bafouille-t-elle encore. – Presque toujours, mon amour, presque toujours… répond-il. (pp39-40) 2.4 La question rhétorique Tiens ! Il s’est mis à pleuvoir. Mais n’avait-elle pas souhaité la pluie ? (pp.39-linge 3) Et puis, tous les bérets basques ne se ressemblent-ils pas ? (pp.39 -40-linge 1) 3. Les relations entre homme et femme c’est un éternel

remarquera l’agressivité du Loup par le manque de salut et d’apostrophe à l’égard de l’Agneau car il attaque directement par une question «  Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? ». L’adjectif possessif mon insiste sur une apparition d’un bien publique , « l’onde pure » qui est en fait une usurpation d’un droit, « si hardi » : assimiler la question à une question rhétorique qui équivaut à une affirmation car le Loup n’attend pas réponse. Il passe directement à la condamnation, sans procès (v.9)

la mort. Déjà, dans sa poésie amoureuse, Ronsard introduit le thème de la mort à travers une méditation sur la fuite du temps (ex : Sonnets pour Hélène). Surtout, à la fin de sa vie, épuisé par la maladie, il écrit une série de poèmes où il n'est question que de la mort, de sa mort. « Je n'ai plus que les os... » appartient au dernier recueil de Ronsard intitulé Dernier vers qui est un court recueil composé d'une dizaine de poèmes publiés de façon posthume en 1586. Dans ce poème, Ronsard anticipe

style qui consiste à répéter de(s) même(s) terme(s) en début de plusieurs phrases, de plusieurs vers, de plusieurs propositions. Ex : Elle qui était si belle, elle qui était si douce, d’Elle j’étais fou ! Question oratoire ou rhétorique est une figure de style qui consiste à poser une question qui n’attend pas de réponse car on la connait. Ex : Comment mon client a-t-il pu tuer sa femme, alors qu’au moment du crime, il était à mille kilomètres ? Les figures d’opposition : L’Antithèse est une

il aborde la question de l’inégalité des femmes vis à vis des hommes et de la dépendance des f Elle apparaît comme une femme de caractère. Elle n’hésite pas à évoquer les réalités crues de la vie, sans chercher à les embellir. Elle parle ainsi de la grossesse comme d’une « maladie de neuf mois qui est quelquefois mortelle », elle évoque aussi l’accouchement (« mettre au jour avec de très grandes douleurs un enfant ») puis elle termine en parlant des règles (« des incommodités très désagréables »)

représente cet ordre. Ensuite il s’intéresse à sa place dans « l’ordre politique » c’est à dire la gestion, la participation et la direction du Royaume. L’Abbe répond à cette question rhétorique par « rien », en effet le Tiers Etat n’avais aucun recours pour faire entendre sa voix à ceux qui détenaient le pouvoir. Enfin la dernière question oratoire de l’auteur se porte sur l’ambition de cet ordre délaissé, et il répond en disant qu’il cherche « à être quelque chose ». Cette formule exprime l’aspiration du

souligner l’hypocrisie de la Marquise envers son destinataire. La Marquise ne se sent non seulement supérieur à Valmont, mais aussi aux autres dames de la société : « Mais moi, qu’ai-je de commun avec ces femmes inconsidérées ? » v.100. Cette question rhétorique montre qu’elle considère donc bien la société comme un de ses ennemis et elle mène un combat contre celle- ci. Elle inclut Valmont comme un témoin de sa gloire : « cette puissance dont je vous ai vu quelquefois si étonné » v.124 ce qui renforce