Les Salaires Chez Malthus

hommes, laissez passer les marchandises » * 4.2.1.4 Promouvoir et défendre l'Ordre naturel * 4.2.2 Adam Smith * 4.3 Les Maitres classiques (XIXe siècle) * 4.3.1 En Grande-Bretagne * 4.3.1.1 Thomas Malthus (1766 - 1836) * 4.3.1.2 David Ricardo (1772 - 1823) * 4.3.1.3 Cobden et le Libre-Echange (1838) * 4.3.2 En France * 4.3.2.1 Jean Baptiste Say (1767-1832) * 4.3.2.2 Frédéric Bastiat (1801-1850)

être vivant infiniment trop souple et trop complexe pour se prêter à la rigidité et à la simplicité de nos machines législatives 1 ». Pareil propos a de quoi interpeller qui sait la fortune de ces mêmes métaphores « organiques » ou « biologiques » chez ceux, souvent plus sociologues qu’économistes, qui, loin d’adhérer à la thèse de l’harmonie naturelle des intérêts, approuvent au contraire le principe de l’intervention de l’État dans la vie économique, et dont l’idéal en matière politique et sociale

entreprises françaises. Les salaires sont également plus élevés que la moyenne. Elles ont aussi une plus forte capacité à exporter, deux fois plus importante que celle des PME. Cela explique la difficulté des entreprises françaises à gagner des parts de marché à l’international en comparaison avec l’Allemagne par exemple, qui présente un tissu productif dominé par de grandes PME au fort potentiel d’exportation et d’innovation. Par contre, si la valeur ajoutée par salarié est si élevée chez les MIC par rapport

désintéressé, comme le philosophe, le chercheur en médecine,… Lorsque la pensée économique vise à aider le décideur (l’entrepreneur, l’homme politique) à prendre des décisions aussi rationnelles que possible de production, de fixation des salaires, de consommation, d’investissement, d’exportation…, on parle d’économie politique. C’est l’économie de la cité. L’économie politique est une science humaine pouvant s’articuler autour : • de la microéconomie qui s’intéresse aux mécanismes

le problème, puis de faire force, de proposer des solutions.) Malthus ,dans ses principes économiques, définit « la loi de la population » ou « loi sur la pop ». La croissance démo suit une progression géométrique( 1 2 4 8 16 : croissance très rapide) alors que la croissance de la production suit une progression arithmétique (1 2 3 4 5 ). Il y a de fait un différentiel de croissance ce qui risque de poser problème à terme. Malthus pour résoudre le problème : il faut laisser faire , laisser aller

abordée avec certains passages de son oeuvre, l'histoire de l'économie. Ce qui l’intéressera sera le rapport entre les villes et les campagnes à la fin du Moyen-Age (15eme siècle). Extrait 3 : « De la marche différente et des progrès de l'opulence chez différentes nations. » → SMITH nous parle d'un ordre naturel : La ville subsiste grâce aux campagnes mais pas nécessairement de la campagne voisine, elles peuvent être beaucoup plus éloignées. Plus l’excédent de la subsistance des cultivateur est grand

les biens non échangeables le prix sera propre à chaque pays. Or, on constate que le prix des non échangeables est inférieur dans les PED que dans les PDEM. C'est ce qu'on appelle l'effet Balassa-Samuelson car cout plus faible de la main d'oeuvre, salaire plus bas. Ceci va donc conduire à une sous évaluation du niveau de vie réel des PED. Ainsi pour apprécier le vrai niveau de vie, il va falloir rectifier les disparités de niveaux de prix en considérant le pouvoir d'achat de chaque monnaie intérieur

L’individu, mû par la recherche de son propre intérêt contribue indirectement au bonheur collectif. L’utilité, définie comme une notion psychologique, peut être économiquement appréhendée à travers la notion de richesse. Smith, Malthus puis Ricardo, tous contemporains de Bentham, ont influencé la pensée utilitariste notamment dans ce domaine. Pour ces derniers, penseurs issus de la bourgeoisie britannique, la pauvreté serait une situation, qui est certes peu enviable

Constitution et figure emblématique des Girondins, dans le but d’en traduire les principes dans la langue de l’analyse mathématique. L’histoire se poursuit avec les grands classiques anglais de l’économie politique du début du dixneuvième siècle, Bentham, Malthus et Ricardo, qui entendent répondre aux vues de Condorcet (voir le chapitre 2). Heckscher proposait de ne voir dans l’émergence de l’économie politique que la conséquence d’un processus de laïcisation. Avant 1800, la grande césure, selon cet économiste

développement du capitalisme commercial, après le Moyen-âge, pour considérer la production de richesses étendue à l'échelle de la nation, et non pas limitée à la famille. Dés lors, l'accumulation de richesses sera encouragée par l'Etat, notamment chez les mercantilistes des XVIème et XVIIème siècles. L'économie devient politique, c'est-à-dire que son champ s'élargit, passant du cadre familial au cadre de la nation, comme l'illustre l'ouvrage d'Antoine de Montchrestien, "Traité d'économie politique"