Les Salons Mondains

qui fréquente les mêmes lieux (salons, théâtres, boudoirs de châteaux ou d'hôtels particuliers, « petites maisons »), partage les mêmes activités et a les mêmes préoccupations de gens oisifs : se distraire agréablement, faire bonne figure en société, et multiplier les histoires galantes. c) Les raisons qui expliquent cet « âge d'or » du roman épistolaire au XVIIIème siècle sont multiples : - Il y a d'abord le grand succès de la conversation dans les salons où on parle de littérature, science

beaucoup de contacts hauts placés etd’être trés présente dans les salons mondains, elle a comme point commun avec Duroy son intelligence, son ambition et son côté masculin car elle fume et est passionée par le journalisme, où elle a uncertains talent. C’est également une amie de Clothilde de Marelle qui ne lui ressemble pas puisqu’elle est brune, libérée et n’as pas la classe de son amie Madeleine. Elle profite de la vie, n’est pastrès mondaine et son coté sauvage et entière l’a fait ressembler à Rachel

96 rue La Fontaine, à Paris. Son père, Adrien Proust, est professeur agrégé de médecine, et sa mère, Jeanne Weil, est la fille d’un riche agent de change. Sa famille fortunée qui lui assure une vie facile et qui lui permet de fréquenter les salons mondains tout en restant attaché à sa famille et notamment à sa grand-mère qui, à sa mort, lui fait réfléchir aux « intermitences du cœur ».  Ses talents littéraires se manifestèrent dès le lycée Condorcet où il entre en 1881. Il devance l’appel sous

terme désigne les œuvres qui prennent pour modèle l'art antique et la recherche du vraisemblable. Avec comme précepteur Jean Chapelain et l'abbé d'Aubignac, ils définissent les règles du théâtre classique et diffusent ce goût auprès du public mondain des salons qu'ils fréquentent. Le texte que nous allons étudier est un extrait d’une œuvre théâtrale de Jean Racine (1639-1699) qui est un auteur très connu au cours de cette période. Ce passage se situe à l’ouverture de la pièce Phèdre écrite en 1677

à celles de Swann. Un Amour de Swann est la seconde partie de Du côté de chez Swann, publié en 1913. Le récit : Cadre : Fin du 19ème siècle à Paris. L’histoire : Charles Swann rencontre Odette de Crécy et celle-ci l’invite à fréquenter le même salon qu’elle, celui des Verdurin (couple de riches bourgeois qui reçoivent tous les jours un cercle d’amis pour dîner, bavarder ou écouter de la musique). Dès leur première soirée chez ceux-ci, Swann va tomber amoureux d’Odette. Swann sera l'amant d'Odette

féminine) dans ses écrits. En 1894, il publie Les Plaisirs et les Jours, un recueil de poèmes en prose, portraits et nouvelles dans un style fin de siècle où son art se montre plein de promesses. Illustré par Madeleine Lemaire, dont Proust fréquente le salon avec son ami le compositeur Reynaldo Hahn, le livre passe à peu près inaperçu et la critique l'accueille avec sévérité - notamment l'écrivain Jean Lorrain, réputé pour la férocité de ses jugements. Il en dit tant de mal qu'il se retrouve au petit matin

tout à fait tournée, elle contemplait l’étrange tableau qui s’effaçait derrière elle. » « Renée, dans ses satiétés, éprouva une singulière sensation de désirs inavouables, à voir ce paysage qu’elle ne reconnaissait plus, cette nature si artistement mondaine, et dont la grande nuit frissonnante faisait un bois sacré, une de ces clairières idéales au fond desquelles les anciens dieux cachaient leurs amours géantes, leurs adultères, leurs incestes divins. Et, à mesure, que la calèche s’éloignait, il lui

calcul des probabilités. Les dispositions naturelles du jeune Pascal semblent le destiner à un brillant avenir de mathématicien mais ses travaux compromettent sa santé. Après la mort de son père, s'ouvre une période mondaine de trois ans (1651-1654). A Paris, il fréquente le salon de Mme de Sablé, fréquente La Rochefoucauld, se lie avec des libertins.  2. L'apôtre des Provinciales En 1652, sa soeur Jacqueline était entrée à Port-Royal. Elle l'incitait vivement à revenir vers l'ardente vie chrétienne

Virgile, termine sa tragédie d’Œdipe et commence le poème de la ligue. A sa sortie de prison il prend le nom de Voltaire et devient célèbre à 24 ans grâce à Œdipe(1718) et La ligue(1723).On l’invite dans les salon, et même au mariage du roi pour y joué un pièce, où ses talents de poète mondain triomphes. Il est renvoyé à la Bastille après une dispute avec le chevalier de Rohan, puis il s’exil en Angleterre en Mai 1726. Là bas, il est accueilli à bras ouverts par la société politique et littéraire

l'enfant pour mieux l'édifier : La Fontaine rappelle cette fonction didactique dans les différentes préfaces de ses Fables (premier recueil dédié au Jeune dauphin, le dernier au petit fils du roi). Mais il s'agit aussi de séduire le public des salons mondains, cultivé et féminin (2nd recuiel dédié a Mme de Montespan), prompt à saisir les allusions et les double snes, dans un récit où s'affirme discrètement la voix d'un narrateur souvent ironique et complice. La visée de la fable se fait ambiguë