Les Sensation Et Les Sentiments Bergson

désignent les choses. b)De plus. il est nécessaire de passer par le mot pour connaître la chose. La sensation nous informe sans nous faire connaître mais on ne sais pas ce qu'elle est. Dans les Médiations métaphysiques, Descartes montre que la sensation n’est pas une source fiable pour la connaissance, grace au passage du « morceau de cire ». Le morceau de cire peut être fondu, et nos sensation de départ n'explique pas qu'est ce que le morceau de cire. En revanche l'imagination peut accepter les

philosophie sociale de la fin du XVIIIe siècle. Mais ce sens de la complexité des choses humaines, ce sentiment de l'insuffisance de la philosophie du XVIIIe siècle, nous les rencontrons aussi à la base de la sociologie naissante, chez Saint-Simon et chez Auguste Comte qui ont compris que la vie sociale était faite, non de rapports abstraits, mais d'une matière extrêmement riche. Un tel sentiment n'aboutit pas nécessairement au mysticisme ni au Pragmatisme. Comte, en particulier, est au plus haut

rendre mélancoliques ou au contraire joyeux. Les idées et la pensée sont donc tout aussi réelles que la matière et les objets extérieurs. (b) On dira qu'il existe pourtant une différence entre le réel et le virtuel, entre le réel et le possible. Bergson, dans l'article « Le possible et le réel », paru dans l'ouvrage La pensée et le mouvant, critique la conception selon laquelle « le possible est moins que le réel, et que, pour cette raison, la possibilité des choses précède leur existence ». On

phénomènes qui nous renseigne sur notre propre existence (l’existence de notre activité psychique, de nos actes, du monde, de nous même) ». Définition double :  « c’est la connaissance qu’a l’homme de ses pensées, de ses sentiments, et de ses actes. On distingue généralement la conscience spontanée (immédiate) laquelle renvoie à la simple présence de l’homme à lui même au moment où il pense, agit, sent, etc., et la conscience seconde (réfléchie) qui est la capacité de faire

Temps tragique : condition de perte irrémédiable. Tragique : impossibilité d’un salut, de retrouver ce qui a été perdu. Lorsque j’éprouve du plaisir je suis dans le pure présent, dans l’actualité. Le plaisir n’est pas une représentation mais une sensation (pas un objet). Le plaisir ne relève donc pas de la conscience représentative. Cas d’une conscience qui n’est pas une visée, qui ne se prolonge pas au-delà d’elle-même. Modalité de la conscience affective. Pas de conscience d’abolition dans le plaisir

totale maîtrise de nos paroles, et si cela est permis par notre état. 3. L'utilisation d'une langue ou le choix des mots n'est pas neutre parce que le langage structure la pensée. La parole permet d'exprimer des besoins, des pensées, des sentiments, à un locuteur. La parole peut aussi constituer une observation plus ou moins subjective →ds ce sens, vérité : tentative de description de la réalité à l'aide de la parole. Parole indispensable → permet de communiquer avec autres membres de la société

toi-même. Tout vice est ignorance. Nul n’est méchant volontairement. Platon L’essentiel n’est pas de vivre mais de bien vivre. Tout ce qui vit provient de ce qui est mort. Il est tout à fait d’un philosophe ce sentiment : s’étonner. Si tu cherches bien, tu trouveras. C’est l’amour qui, dans le présent, nous rend le plus de services, en nous menant à l’état qui nous est propre. Plus ils ont d’estime pour la richesse, moins ils en ont

signifie « avec », et de scientia pour « science ». Être conscient lorsque nous agissons, éprouvons quelque chose, réfléchissons, etc. c’est ainsi posséder simultanément une connaissance de ces actes, sensations, réflexions. Cette connaissance peut avoir tous les degrés de clarté, depuis le sentiment le plus vague jusqu’au savoir le plus évident. La conscience est donc comme un redoublement à l’intérieur de nous-mêmes de ce que nous faisons ou pensons. Il devient ainsi clair que la distinction que

portrait réveille en l’homme des sentiments ou fait appelle à la mémoire pour accéder à un souvenir. Lors de cette réminiscence, un souvenir apparait dans notre esprit en prenant différentes formes : une image, un goût, une odeur… Le portrait, par l’intermédiaire de la mémoire, fait renaitre en l’homme des sentiments perçut dans le passé lors du moment ou de l’action inspiré par l’œuvre. En voyant un portrait l’homme peut être envahit par différentes sensations telles que la peur, la nostalgie,

psychologique de manière général, c'est la connaissance qu'a un être humain de ses actes, de ses pensées, de ses sentiments et du monde c'est d'ailleurs le sens étymologique du terme « cum-scientia » avec science, connaissance. 1ère colonne → La conscience immédiate ou spontanée (Action/réaction) (= awarcness) qui désigne la simple présence à soi d'un être dès lors où il éprouve un sentiment ou lorsqu'il agit, c'est l'intuition immédiate que l'on a de soi même que l'on perd lorsqu'on perd conscience