Les Sources De Légitimité Du Chef De L Etat

* La décision de la jurisprudence En somme, pour appréhender utilement le phénomène constitutionnel, on peut considérer qu’une constitution s’apparente sans doute d’avantage à un « ordre constitutionnel » complexe, qu’à une norme suprême. En tout état de cause, loin d’être statique, la Constitution fait l’objet d’un travail continuel de redéfinition par les acteurs du jeu constitutionnel, attestant par là que le droit constitutionnel est marqué par une dynamique particulière et constitue un droit

inspirée de la morale ou du pragmatisme des juristes. Autorité Lecon1 p2 / L'autorité correspond au droit de pouvoir commander, d'être obéi[1]. Elle implique les notions de légitimité, de pouvoir, de commandement et d'obéissance, et ne doit pas être confondue avec l'autoritarisme. La forme de sa légitimité peut varier, et elle peut enfin s'exprimer selon un rapport de force ou un rapport de compétence. Autorité etatique autorité de l'Etat acceptation L4p19/ En droit civil français

existants, il va exprimer cette réalité mais aussi la façonner pour qu'elle soit la plus vivable possible. « L'homme est un loup pour l'homme » Hobbes. Il faut donc poser des règles pour discipliner la réalité humaine. Ex : La France est un Etat indépendant, cad que nous avons un gvt, un pouvoir public qui prend des décisions. L'indépendance est un fait, elle a une traduction juridique = souveraineté (concept juridique qui va avoir des conséquences précises). C'est une condition d'existence

importante. Le CC utilise cette catégorie pour inventer une multitude de principes. Le gouvernement des juges a été craint. C'est une accusation grave qui dit qu'un juge crée le droit alors que ce n'est pas sa vocation et alors qu'il n'a pas de légitimité politique. Cette crainte n' a pas été fondée car le CC n'a pas émis beaucoup de principes, on trouve par exemple le principe de 1987 à propos de la dualité entre le juge judiciaire et administratif. Le CC n'a pas eu besoin de créer beaucoup de

est-il nécessaire pour gouverner ? Si la maîtrise des médias semble indispensable à l’exercice du pouvoir politique I), premièrement parce qu’elle est le vecteur direct de communication de ce pouvoir I - 1), puis parce qu’elle permet d’asseoir la légitimité de ce dernier I - 2), il apparaît que c’est l’apparence de la prise en compte de ces médias qui soit nécessaire, et non leur maîtrise II), tant le traitement médiatique de la politique est un « show médiatique » II - 1) qui n’empêche pas le pouvoir

car après la “glorieuse révolution”, les anglais ont considéré que toute autorité politique, toute autorité qui exerce le pouvoir doit rendre des comptes mais puisqu‟on ne pouvait pas toucher au roi (car sa fonction est d‟incarner la continuité de l‟état et est héréditaire), le parlement a décidé de faire rendre des compte au cabinet du roi, composé des ministres du roi → dans un 1er temps le parlement anglais a utilisé une vielle procédure, la procédure de l‟impeachment qui permet à la Chambre des

querelles intérieures (politiques, sociales, intellectuelles), ce qui la ramène sur la voie du déclin. En conséquence, pour qu'elle puisse donner le meilleur d'elle-même et prendre la tête des nations, la France doit en permanence être unifiée par un chef / un État / un projet / et articulée par des institutions politiques (un équilibre des pouvoirs efficace), économiques (le plan) et sociales (la participation) adéquates pour éviter les luttes internes. Reste maintenant à démêler au sein du gaullisme cette

pourquoi alors l’autoritarisme l’a-t-il emporté plutôt que la démocratie ? Je crois que l’on peut répondre sainement à cette seconde question, dès lors que l’on ne prête plus d’attention à l’idée selon laquelle l’autoritarisme d’aujourd’hui aurait sa source dans le despotisme du passé ou, plus largement, dans les conceptions passées du politique, idée que l’on retrouve encore sous la plume de pourtant estimables social scientists[5]. Les deux questions, en effet, sont logiquement liées, puisqu’il

La monarchie a duré grâce a cet héritage France, bien qu’il est parfois été usurpé. Les francs n’étaient pas destinés à dominer l’ancienne gaule romaine, car ce n’étaient pas une tribu ancienne. A cette époque, l’ancienneté était une source importante de légitimité, de pouvoir (parce qu’ils ont noué des liens avant les autres des liens des contacts et des alliances qui peuvent leur servir), et de prestige. Les francs vont donc s’inventer une histoire : ils descendraient des Sicambres ; ils descendraient

(décisions des juges). En France, le conseil d’Etat s’occupe de ce droit avec un juge judiciaire. Etat, pouvoir et constitution. I. La notion d’Etat Etat = Phénomène récent apparue au 15ème siècle. C’est le fruit d’un processus d’institutionnalisation du pouvoir politique : le pouvoir n’est plus personnel, il n’appartient pas à un Homme mais au nom d’une entité abstraite appelée Etat qui est une institution appelée permanence. Les gouvernements ne sont pas propriétaires du pouvoir,