Les Utopies Architecturales

les cas, cette œuvre appartient à une « série » de tableaux peints par l’artiste à Londres, sur les bords de la Tamise, lors d’un séjour dans la capitale anglaise au tout début du xxe siècle. Ce ou ces titres suggèrent assez que seul le motif architectural de la façade du Parlement londonien n’intéresse pas le peintre, mais que c’est bien, comme naguère les façades de la cathédrale de n 4. Un exemple d’« impressionnisme » poétique (questions 5 et 6) Pour répondre à cette question, on pourra examiner

conquête. L'empire romain a par exemple tenté d'imposer nombre de ses standards (de construction et d'administration, dont par exemple les voies romaines) aux pays conquis, puis on retrouve des esquisses de standardisation dans les grands mouvements architecturaux (l'art gothique par exemple). Des forme écrites et complexes de normalisation sont née de la philosophie des lumières et de sa volonté d'universalisme, car elles sont nécessaires aux travail des cartographes, encyclopédistes et des naturalistes

cette époque. Les papes de Rome se sont accaparé le mouvement artistique de la Renaissance, qui s’est développé en grande partie avec le mécénat, qui prône l’embellissement de la ville, qui est un lieu de beauté et de manifestation de la beauté architecturale et sculpturale. Rome est une ville mais également un Etat dont le Pape est le monarque. Etant donné le système fiscal de l’Eglise de l’époque (généralisée quelque soit l’espace de l’Europe) qui est celui de la dîme et qui revient aux diocèses

l’homme de construire peu à peu un monde nouveau et une société idéale qui a dominé de façon notable depuis le xixe siècle, sous l’effet, notamment, de la révolution industrielle. C’est ainsi qu’ont été imaginées des visions d’un avenir idéal, des utopies (mot qui signifie à la fois « lieu heureux » et « lieu inexistant »), fondées sur les progrès attendus de la science et de la technique. On pourra cependant faire observer que l’optimisme qui consiste à penser que le futur conduit forcément à une

l’homme de construire peu à peu un monde nouveau et une société idéale qui a dominé de façon notable depuis le xixe siècle, sous l’effet, notamment, de la révolution industrielle. C’est ainsi qu’ont été imaginées des visions d’un avenir idéal, des utopies (mot qui signifie à la fois « lieu heureux » et « lieu inexistant »), fondées sur les progrès attendus de la science et de la technique. on pourra cependant faire observer que l’optimisme qui consiste à penser que le futur conduit forcément à une

l’homme de construire peu à peu un monde nouveau et une société idéale qui a dominé de façon notable depuis le xixe siècle, sous l’effet, notamment, de la révolution industrielle. C’est ainsi qu’ont été imaginées des visions d’un avenir idéal, des utopies (mot qui signifie à la fois « lieu heureux » et « lieu inexistant »), fondées sur les progrès attendus de la science et de la technique. on pourra cependant faire observer que l’optimisme qui consiste à penser que le futur conduit forcément à une

municipale. Une zone de jardins individuels, nommément attribués aux habitants des villes, leur permettrait de se réapproprier ce bien essentiel qu’est une alimentation fraîche et diversifiée. La crise alimentaire pourrait très vite transformer cette utopie d’aujourd’hui en une nécessité d’après-demain, en nous évitant les coûts de bouleversements sociaux catastrophiques. Il est donc possible de refonder, probablement dans presque toutes nos mégapoles, des « boucles courtes » de production alimentaire

qui s'imposaient. Peut·être n'est. ce pas encore là l'essentiel : « Ma véritable mutation intérieure, la plus profonde au moins, ce n'est pas le passage d'un projet chime· rique de socialisme aristocratico· fasciste (un socialisme en cluzm· bre, une utopie amère élaborée en vase clos) à finsertion volontaire dans le grand projet collectif du socialisme réel, à fadhésion aIL P.C.F. Ma vraie conversion radio ~a INFORMATIONS cale, c'est le passage de fesprit d'aristocratie à fesprit de démocratie,

établissements scolaires locaux. Le thème des relations aux publics, dont les jeunes qui représentent la moitié des populations touchées, ou celui des nouvelles technologies et du multimédia sont également privilégiés. L’intérêt pour la dimension architecturale et urbanistique du site est constant, celui sur l’emploi l’est tout autant. Au bout du compte, il s’agit d’aller vers une appropriation mutuelle des artistes et de la cité, ce que signale l’emblème général du projet, « l’artiste, la ville,

systèmes agraires » qui ont produit les « bocages » ou les « champagnes » ? Le champ de la recherche reste ouvert. Si une relation est établie avec le paysage des peintres, le « paysage urbain » n’est que la résultante visuelle de formes architecturales distribuées dans l’espace dans un ordre qui échappe. L’approche n’est plus celle des structures mais de leur perception, jusqu’au point qu’un géographe a prétendu autrefois que c’était l’oeil qui faisait le paysage. Ces deux approches ne sont