Les Valeurs De L école Républicaine

contribuent à rendre accessible l’Ecole à un nombre plus grand d’individus. L’Ecole, entendue comme le système éducatif pris dans son ensemble est le lieu où les enfants, puis les adolescents, sont scolarisés, bénéficiant ainsi de l’instruction. L’Ecole républicaine contribue à la mobilité sociale en donnant à tous des chances de changer de position sociale. La mobilité sociale est un concept sociologique développée par Pitirim Sorokin. On distingue ainsi la mobilité intergénérationnelle, lorsqu’un individu

une exception pédagogique aussi au sens où elle n'est pas forcément encouragée par les instances nationales et académiques françaises. La diffusion, et le succès, en 2002, du film-documentaire « Être et Avoir » de Nicolas Philibert, portrait d'une école à classe unique dans un village auvergnat, atteste sans doute de la curiosité que suscite ce type d'école. « Ce qui frappe dans ce film, c'est la qualité du relationnel entre les protagonistes : les élèves, le maître et les parents. Les enfants ont

entre un être duquel il ne peut se séparer et un être qu'il ne connaît pas vraiment et donc sur lequel il s'interroge éternellement. Le Cynisme : Le cynisme est une attitude face à la vie provenant d'une école philosophique de la Grèce antique. Cette école a tenté un renversement des valeurs dominantes du moment, enseignant la désinvolture et l'humilité aux grands et aux puissants de la Grèce antique. Radicalement matérialistes et anticonformistes, les Cyniques, et à leur tête Diogène, proposaient

nous nous intéresserons aux différents débouchés de la laïcité dans l'enseignement ou encore dans la société. Enfin nous pourrons nous parler de la laïcité aujourd'hui en France. Lucie : I/ Comment s'est elle installée en France ? 1 – Principe républicain La laïcité trouve ses fondements dans divers textes plus ou moins récents. Le premier à évoquer la question est la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 ; ainsi, l’article 10 établit que « Nul ne doit être inquiété pour

et ne peuvent se résoudre à abandonner le combat. Ce désir de continuer la guerre est né à gauche : la gauche incarne à l'époque les valeurs révolutionnaires et patriotiques -n'appelait-on pas les Républicains les "patriotes" lors de la Révolution française ? -, c'est Gambetta qui, le 7 octobre 1870, prend le ballon pour animer la résistance des armées républicaines face aux prussiens. Quand la paix est signée, quand le gouvernement monarchiste accepte les conditions des Prussiens, un mouvement patriotique

et de remplacements d'articles du code de l' éducation qui ne constitue au premier abord pas une construction particulièrement cohérente. A cet égard, il est légitime de se demander si ce mode de rédaction des lois est bien conforme à l'objectif de valeur constitutionnelle d'intelligibilité et d'accessibilité de la loi sur lequel le Conseil fonde parfois ses censures (Cons. const. 16 décembre 1999, n° 99-421 DC, Loi portant habilitation du gouvernement à procéder, par ordonnance, à l'adoption de certains

L'unité de la nation devient très important -> il veulent que le gouvernement éclairé représente tout la nation. Ce qui est érigé en principe majeur du gouvernement représentatif, c'est le principe de l'unité de la nation. C'est l'universaliste républicain. La souveraineté est indivisible. Théorie de la souveraineté nationale (différent de la souveraineté populaire) -> en confiant la souveraineté à la nation plutôt qu'au peuple, les révolutions mettent en place un régime de type représentative (un

lois constitutionnelles votées en 1875. Ces trois lois sont en fait un compromis entre monarchistes et républicains car profitant aux deux parties. En 1875 le régime n’est pas clairement défini et oscille entre monarchie et république. On nomme alors un président monarchiste : le maréchal Mac Mahon pour contenter les deux parties. En 1876 nouvelles élections législatives ; majorité républicaine. Cette majorité nomme J. Simon à sa tête en tant que 1er ministre. Le 16 mai 1877 Mac Mahon renvoie J

place essentielle dans l'enseignement à cette époque, Pierre Nora le qualifie « d'instituteur national ». En 1862, Lavisse est diplomé de l'Ecole Normale Supérieure. Durant cette période à Paris il s'attache à lire des auteurs « progressistes et républicains » tels que Victor Hugo ou Jules Michelet. Il fréquente aussi Léon Gambetta et Georges Clemenceau, des hommes politiques hostiles à l'Empire. En 1865 il est agrégé d'Histoire et nommé professeur au lycée Henri IV. Lavisse est alors remarqué par

l’arbitraire que la révolution avait abolie auparavant, toujours selon Quinet « la Terreur n'est en rien une face tragique de la Révolution, c'est sa négation même » Il n'en est pas à douter que l'ouvrage de Quinet fasse polémique au sein des Républicains, l'accueil est plus que mitigée, d'un coté le bloc des radicaux incarné par Peyrat et Louis Blanc le discrédite et s'en prend violemment à son ouvrage,, notamment Peyrat stipulant que l'œuvre en question est d'une médiocrité philosophique et de