Les Vanités Peinture

en lien avec l’école. Par contre, elle travaille sur son ordinateur portable dans sa chambre pour faire tous ses travaux. Horaire d’école et de travail plutôt irrégulier, mais généralement entre 8h et 17h. Pour les travaux plutôt en lien avec la peinture et le dessin, elle s’installe plutôt dans la cuisine. Son travail : Entraîneur de gymnastique En lien avec son travail: Beaucoup d’équipements de sports et des notes sur les gymnastes. Intérêts personnels: Elle développe ses connaissances sur

tous les arts. Les baroques ont une vision pessimiste du monde : ils ont une fascination pour la maladie et la mort, notamment due à l'horreur des guerres de religion. Les corps mutilés, le sang, les cadavres, les crânes envahissent les oeuvres (les Vanités par exemple). Ils sont aussi attachés aux thèmes de la métamorphose et de l'illusion car selon eux, l'homme ne peut plus distinguer l'illusion de la réalité. Ils traduisent donc cette illusion par les masques, les déguisements, les miroirs, des jeux

handicap après le grand brassage égalitaire opéré par la Révolution et l'Empire". Grâce à l'abbé Chélan, qui l'a pris en sympathie et qui lui a enseigné le latin, Julien est engagé par Monsieur de Rénal, le maire légitimiste de la ville. Ce dernier, par vanité, recherche un précepteur pour ses enfants. Il juge en effet nécessaire d'avoir recours à un tel service pour soutenir son rang face au train de vie qu'affiche Monsieur Valenod, directeur du dépôt de mendicité. Timide et indocile dans un premier temps

Erasme : « j’ai voulu avertir et non mordre ; être utile et non blesser ». Bien qu’il s’inspire de « la cour de France et des hommes de sa nation » dont il est en quelque sorte un spectateur « privilégié » comme il dit dans sa préface ; lb nous fait la peinture « des hommes en général ». Il précise dans un discours à l’académie française qu’il n’effectue point la satire de personne particulières mais des « vices en générale », la préface est nette sur ce point : « ce sont les caractères et les mœurs de

différence entre un prologue et un dialogue. « Comment appelez-vous cela. Votre prologue, ou dialogue de chansons et de danse. » De plus, M. Jourdain est tout à fait obsédé par la noblesse et aussi égoïste et vaniteux. Quelques exemples de sa vanité : 1. Il voudrait que les Maîtres restent là pour voir son nouvel habit. « Je vous prie tous deux de ne vous point en aller qu'on ne m'ait apporté mon habit, afin que vous me puissiez voir. » s'en aller = partir 2. Il veut que tout le monde

Construction poétique (inversion des termes) qu'il faut comprendre comme une inversion des valeurs, un rabaissement de l'ambre et de la fleur au prix de l'ail. Annonce des axes     Nous étudierons dans un premier temps la structure du texte, puis la peinture de la société faite par LF à travers la représentation animale et pour finir la critique de la cour. Etude du texte I. Un récit court et plaisant 1) Structure de la fable • 36 vers dont 32 de récit :        Vers 1 à 13 : La cour

retrouve : - L’inconstance : Elle peut être agréable et même grisante, en particulier en amour. L’inconstance peut aussi être douloureuse. Quand le monde est considéré du point de vue divin, l’accent est mis sur sa confusion et sa vanité. S’élèvent alors les lamentations de poètes comme d’Aubigné (1522-1630). Pour parler à l’imagination, les poètes ont recours à des images aériennes ou aquatiques qui figurent la légèreté (bulle, papillon), la 4 DE LIGNY Cécile. « L’esprit baroque

HISTOIRE DES ARTS : La rénovation de la peinture autour de 1600 : Le moyen-âge, la Renaissance (15ème), le maniérisme (deuxième moitié du 16ème). Au tout début du 17ème es artistes se retrouvent dans une sorte d’impasse artistique, le maniérisme ne permet plus aux artistes de progresser, d’innover, d’inventer. Les peintres maniéristes se sont enfermés dans la répétition, le stéréotype et se sont éloignés de la nature. Il appartient donc à des peintres puissants de briser les schémas convenus

rejette la scolastique qui constituait le modèle médiéval pour mettre en avant le libre accomplissement de l’Homme dans toute son universalité. Relevés I.1) -enseignement à l’envers annoncé : citat° de la Bible parodiée « Quelle vanité (…)» -voc. religieux (« vanité ») face à des propos incohérents -contre éducation : gourmandise excessive : « belles tranches » (répétition) saleté : « le bréviaire » (l. 27), « graisse », « se laver, se nettoyer.. » manque de savoir vivre :

de tous les hommes » et fait preuve d'une obsession maladive qui le détruit peu à peu. La scène du pavillon La princesse s'en va alors seule à Coulommiers, où la rejoint Mme de Martigues. Les palissades semblent suggérer une frontière entre les vanités de la Cour et le monde de la solitude, Coulommiers semble aussi un espace de solitude, de liberté et de repos. Mais ce lieu est à nouveau assailli de l'extérieur : Nemours franchit les palissades et transgresse les lieux et la morale pour contempler