Les Vertus Cardinales

peuple hébreu. Le quatrième : Le roi David (on le reconnaît à ses attributions) jouant de la cithare entouré de ses 4 musiciens, de deux gardes prétoriens(=gardes personnels du roi) Aux quatre coins de la peinture sont symbolisés les vertus cardinales : prudence, justice (buste de femmes), force et tempérance (buste d'hommes). Les noms de tous les personnages sont inscrit en lettres dorées sous leur représentation. Cette planche vise à montrere l'importance de l'art et en particulier de

venait. » une liberté relative, devise sur le mode impérative est paradoxal (Habitants libre s'il respecte les règles de vie de Gargantua) Pour Rabelais, liberté limité par celle des autres et celle fixé par un chef L'idée d'une vertu naturel de l'Homme : Le mot « vertu » opposé champ lexical de la contrainte « asservie » « servitude » « joug » Série de termes mélioratif pour qualifier les habitants de l'abbaye : « libres », « bien nés », « biens instruits », « vivant en honnête compagnie » Fin

sont regroupés sous le noms d'auteurs classiques car ils sont liés par une communauté de goûts cités par Boileau dans L'art poétique : imitations des auteurs de l'antiquité ( les Anciens ), recherche du naturel, du vraisemblable, célébration de la vertu, blâme du péché, finesse dans la morale psychologique, clarté du style, respect des règles de bienséance … ) En art, les maîtres classiques sont les Italiens comme Raphaël, Palladio, Titien, Bramante, mais aussi Poussin, Lorrain... En musique, le

que les défauts sont présents dans des vers à l’affirmatif. · Dans ces deux poèmes Du Bellay dénonce les défauts de Rome et des romains. c- Critique des cardinaux, pape et autres hommes de religionSonnet n°63 : Il dénonce dans ce sonnet l’hypocrisie de Carlo Caraffa, neveu de Paul IV, cardinal en 1555. Il décrit son caractère belliqueux dans le premier tercet avec une assimilation aux « hommes de guerre » alors que les hommes d’Eglise sont censés privilégié la paix. Il dénonce

et glorifie la vertue. * au Moyen Age ( XIIeme-XIIIemes) qui parle des croisades ( geoffroy de Nillehardouin). Jean de fait des portraits de son epoque. Jean Froissat fait des chroniques de la guerre de 100 ans. Philippe de Commynes fait parler du genre des memoires apres lui, il a servit Charles le Temeraire). * A partir du XVIIeme siecle, les memoires s'epanouissent, que ce soit celles du cardinal de Retz, Richelieu etc... rendent compte

face de leur incurie et renvoie chacun à ses responsabilités. Lorenzo et sa double personnalité. Son spectre apparaît en songe à sa mère qui a la nostalgie de la jeunesse vertueuse et livresque de son fils devenu débauché. Cette double opposition vertu/vice et passé/présent est certes formulée dans le discours global de Marie et de Catherine, mais le discours global de l'oeuvre la retourne : Lorenzo le débauché, Lorenzo aux mains sales, est aussi celui qui fait tomber les masques, qui soupçonne la

de très belles pages de poésie à la suite de sa douloureuse passion pour George Sand. Résumé de l’œuvre « Lorenzaccio » : Personnages : Personnages alexandre de médicis, duc de florence : lorenzo de médicis (lorenzaccio) come de médicis le cardinal cibo le marquis de cibo, son frère sire maurice julien salviati philippe strozzi et ses fils : pierre strozzi thomas strozzi leon strozzi roberto corsini Drame en prose Inspirée de l'histoire de Florence au temps des Médicis Lorenzo

caractéristiques opposées : 1. une épouse aimante vs une femme adultère 2. femme clairvoyante sur la situation de Florence, du duc et du cardinal vs aveugle sur les limites de son pouvoir 3. femme vertueuse vs femme qui perd sa vertu Et le fait que la marquise est un double féminin de Lorenzo : 1. veulent faire triompher la cause républicaine 2. sacrifient leur vertu à leur cause 3. sont orgueilleux 4. actions qu'ils mènent, vaines.

entre eux va se découler une véritable passion malgré elle , son mari l'apprenant meurt de désespoir , la princesse de Clèves se résout à quitter le monde et se réfugie dans une sainte retraite « sa vie qui fut assez courte laissa des exemples de vertu inimitable » Vision d'ensemble le roman s'ouvre sur un tableau de la Cour de France sous le règne d'Henri II , cadre historique et lieu raffiné de fêtes et de vie mondaine . Dans se cortège d'exception que sont les grands de royaume , l'héroïne

Salviati qui fait une cour cavalière à Louise Strozzi, qui se montre offusquée. Scène 3 : Plus tard, chez les Cibo, le marquis, avant de partir pour ses terres pendant une semaine, confie sa femme au cardinal, son frère. La marquise déplore l’impiété de la cour et la servitude de Florence. Le cardinal intercepte un billet galant du duc à la marquise. Scène 4 : Le même jour, dans une cour du palais du duc, alors que les messagers du pape reprochent à Alexandre son indulgence envers le jeune débauché