Lettre à Ménécée

Étymologiquement, ce mot vient de l'expression « bon eür ». « Eür » est issu du latin augurium qui signifie « accroissement accordé par les dieux à une entreprise ». Ce mot latin est lui-même issu d'une racine indo-européenne (reconstituée) aweg, dont les autres principaux repréLa tradition philosophique occidentale oppose les optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile

l'histoire des idées politiques: - Thème par les auteurs et les époques ou les pays . 2 - Expliquer les principales caractéristiques de la pensée politique en Chine:  -Empereur était considéré comme divin Commune de l'ère des guerres et l'esclavage a été pratiqué -Had l'obéissance et le respect des traditions -Les grands représentants sont: Consufio, Tao Te Ching et Lao Tseu. 3 -. Quel était en Perse les «yeux et les oreilles du roi? Les fonctionnaires étaient les yeux et les oreilles du roi

Le lecteur, un co-auteur? Au 20e siècle, la déchéance de l’auteur par la critique et la déchéance de l’idée même de sens favorisent l'idée selon laquelle le lecteur a une place importante dans la littérature. D'après Michel Tournier, par exemple, le lecteur est le co-auteur du livre. D'après lui, donc, le lecteur aurait sa place dans le processus de création. Il serait une condition de l’existence de l’œuvre. Cette conception de la collaboration entre auteur et lecteur est fondée contre celle

ABECEDAIRE TRAGEDIE GRECQUE. Lettre A: -Andromaque: Andromaque était la fille d'Eétion, roi de Thèbes de Troade, elle devint la femme d'Hector. Achille tua son père et ses sept frères lors du siège de Thèbes et rançonna lourdement sa mère. -Aristophane: Poète comique grec de l'époque classique, grand pourfendeur des démagogues et des sophistes. Lettre B: -Béllerophon: Dans la mythologie grecque, Bellérophon est le fils de Glaucos, roi de Corinthe et d’Eurynomé, une mortelle.

désir, il y a un manque: on désir ce que l'on a pas. Mais tant qu'un désir n'est pas réalisé, il y a une souffrance. Tout comme le désir, le besoin s'appuie sur une souffrance et cette souffrance du besoin non satisfait est similaire à celle du désir, mais le besoin est un manque objectif alors que le désir est un manque subjectif Le désir est un manque qui n'existe que dans mon esprit→ c'est un manque de l'esprit Le besoin est ce qui manque au corps d'un être vivant. Tout être vivant a des besoins

dans l'inconscience, disparaît de la conscience: ce n'est qu'une relation de l'être vivant à son milieu. Mais, quand l'objet du manque vient à manquer le manque éprouvé se fait désir et, apparaît un sujet insatisfait qui s'élève au dessus de sa situation concrète dans un milieu donné, se détourne du même et se tourne vers l'autre, au delà de la nécessité. Ce n'est pas que le manque disparaisse, mais il a désormais un compagnon de route: le désir. Et, comme ce qui est donné ne peut évidemment pas

Traduction littéraire : 129 En effet, nous reconnaissons le plaisir comme un bien primitif et naturel, et celui-ci nous suffit largement pour tout choix et tout rejet. C’est à lui que nous aboutissons, puisque nous usons de l’affection comme règle pour juger de tout bien. Et puisqu’il est un bien primitif et naturel, pour cette raison nous ne choisissons pas tout plaisir, mais il nous arrive, au contraire, de laisser de côté de nombreux plaisirs, lorsqu’il s’ensuit davantage de désagréments. Nous

bonheur est difficile à définir et à ressentir. Difficile à définir : Parce qu’il y a beaucoup de critères qui définissent le bonheur Parce qu’il est subjectif, c’est un sentiment. ← Schopenhawer (p 213 du livre) Le bonheur est un sentiment neutre qui est donc difficile à ressentir, puisqu’on ressent plus facilement les souffrances que le calme propre au bonheur. Pour lui, le bonheur ce n’est qu’une succession de plaisir. Paragraphe 4-6-9 dans la lettre à Ménécée. (Epicure) Paragraphe

absolue, mais relativement à l’intérêt individuel. Les vertus sont choisies parce qu’elles sont synonymes de plaisir et non pour elles-même. Le bien est ce qui nous rend heureux, le mal ce qui nous fait mal. Il n’y a donc aucune valeur supérieure à notre intérêt. Cette morale de l’intérêt est critiquable, au nom justement de valeurs, de principes supérieurs à notre intérêt et fondant la véritable morale dans une perspective non plus téléologique mais déontologique – termes à définir ! 5. Conclusion

12.Le désir anthropogène ne porte pas sur un objet réel, positif,mais sur un autre désir. Alexandre Kojève 1902-1968,introduction à la lecture de Hegel,1933. 13.L'art n'est pas la représentation d'une belle chose,mais la belle représentation d'une chose. Georg Wilhelm Friedrich (GWF) Hegel,Esthétique 1831 14.L'oeuvre d' art nous fait savoir ce qu'est en vérité la paire de souliers. Martin Heidegger 1889-1976 Chemins qui ne mènent nulle part 1931 15.La toile de Van Gogh est l'ouverture