Lettre de change

transcende l'opposition droit privé / droit public. Relations avec le droit privé : Le droit bancaire est considéré comme une branche du droit commercial (art 110-1 du Ccom : sont réputés actes de commerce par nature toute opération de banque, change, et courtage). Le droit bancaire relève donc du droit commercial car les opérations de banques sont des actes de commerce. Si le banquier est de toute évidence un commerçant, il va entretenir des relations avec des professionnels du commerce (entreprises

des personnes pour lesquelles le compte est ouvert. Le banquier doit également contrôler l’adresse du postulant (facture EDF, etc…). En pratique, cette vérification s’effectue par l’envoi d’une lettre dite « une lettre d’accueil ». Pour la jurisprudence, il s’agit là d’une précaution minimale. Cette lettre n’est obligatoire que s’il existe des circonstances particulières. b. Vérification jurisprudentielle Elles sont occasionnelles. L’idée centrale est que le banquier doit s’assurer de la capacité

des opérations de crédits, mise à disposition de la clientèle ou de la gestion des moyens de paiement. §   Article L.311-2 du CMF précise que les établissements de crédits peuvent effectuer des opérations connexes à leurs activités : opérations de change, placement achat et vente de valeurs mobilières, conseil en matière de gestion de patrimoine. §   Il y a dans les textes un monopole bancaire (Art. 511-5 du CMF). Cet article prévoit qu’il est interdit à toute autre personne qu’un établissement de

traités internationaux ratifiés par le Maroc tels que ceux sur les transports maritimes, ferroviaire, routier et aérien ; les accords du GATT ; les conventions internationales portant lois uniformes (les conventions de Genève du 7 juin 1930 sur la lettre de change et le billet à ordre et du 19 mars 1931 sur le chèque). Le droit commercial n’a pas que des sources écrites, il en a d’autres importantes, mêmes non écrites. B- LES SOURCES NON ECRITES Il s’agit des usages, de la jurisprudence et de la doctrine

dans un but lucratif et en font leur profession habituelle. Art. 1-2 : (Loi du 2 août 1999) Ont le caractère d'actes de commerce, notamment : - l'achat de biens, meubles ou immeubles, en vue de leur revente ; - les opérations de banque, de bourse, de change, de courtage, d'assurance, et de transit ; - les contrats entre commerçants pour les besoins de leur commerce ; - l'exploitation industrielle des mines, carrières et de tout gisement de ressources naturelles ; - les opérations de location de meubles

.................26 a. Lettre de change.............................................................................26 Les conditions de forme............................................................27 Les conditions de fond ............................................................27 L'acceptation de la lettre de change.............................................28 L'échéance de la lettre de change................................................28 Lettre de change avalisé ...............

de paiement * Le chèque : * Le virement bancaire : * Les effets de commerce : * La lettre de change: * Le billet à ordre: * Deuxième partie: les techniques de paiement * Les techniques documentaires * Le crédit documentaire : * La remise documentaire : * La lettre de crédit commerciale : * La lettre de crédit Stand-by : * Les techniques non documentaires * Le contre remboursement : * L’encaissement

Les actes de commerce Le CC numre un certain nombre d’?actes de commerce. Il s’?agit des actes de commerce par la forme, des actes de commerce par accessoires et des actes mixtes. 1- Les actes de commerce par la forme : La lettre de change : c’?est un acte crit dont la forme obit une rglementation stricte. C’?est un titre par lequel un tireur donne mandat son dbiteur, dit le tir , de payer une certaine date une somme d’?argent une tierce personne dite le bnficiaire .

désormais « sociétés financières ». Dans l’UEMOA, il s’agit de personnes physiques ou morales autres que les banques qui font profession habituelle : - d’effectuer pour leur propre compte des opérations de crédit, de vente à crédit ou de change ; - de recevoir habituellement des fonds qu’elles emploient pour leur propre compte en opérations de placements ; - de servir habituellement d’intermédiaires en qualité notamment de o commissionnaires

Un titre c’est un droit et négociable c’est transmissible moyennent une contrepartie. Il faut que cette sommes d’argent soit payable a vu ou à court terme. Les principaux effets de commerce : - La lettre de change - Le billet à ordre - Le chèque et du Warrant A. La lettre de change Elle est réglementé par l’article du code du commerce L 511-1 et suivant. Définition : C’est un écrit par lequel une personne (le tireur) donne mandat a une autre personne (le tiré) de payer