Lettres Persanes Femmes

termine ses études, il se marie et décide de se consacrer à la judicature. Un peu plus tard, il se rend compte que ça ne lui plait pas, donc il laisse tomber la judicature pour se consacrer à étudier, écrire et rechercher. En 1721 il publie « les lettres persanes » à Amsterdam. Cet œuvre lui apporte un grand succès et il est reçu dans les salons littéraires de Paris, il est même élu membre de l’Académie Française. Mais ce type de vie ne plait pas à Montesquieu, donc il la laisse de côté pour se consacrer

pouvoir, mais il s’intéresse aussi à des domaines moins sérieux, comme la mode, dont il souligne les caprices dans Les Lettres Persanes qu’il écrit en 1721. Pour rendre son jugement plus objectif et dans le but d’éviter la censure, Montesquieu place cette critique dans la bouche d’un personnage fictif Rica. Rica, est un jeune homme perse qui arrive à Paris et qui traduit dans une lettre à un ami le jugement que porte son regard neuf sur ce qu’il voit et remarque. A- La caricature Montesquieu, et son

l’enfer, le démon, … Partant de là, comment Dieu aurait-il pu se tromper en associant âme et noirceur, symbole du mal. Dès lors, l’esclavagisme se trouve justifié. La question de l’âme des noirs est proche de celle de l’âme des femmes, soulevée des les Lettres Persanes. Les nègres sont pour les esclavagistes, des instruments de travail, assimilés à des animaux domestiques, ou pire, à des marchandises. Au XVIIIe siècle, on parlait du commerce du bois d’ébène. ● Le cinquième argument

latitude : précisions chiffrées très scientifiques. 3)Un regard neuf : un narrateur ingénu   La (fausse) naïveté du narrateur :   La description ne semble pas observer de hiérarchie dans les remarques ni de structure rigoureuse : les hommes et les femmes, la perruque et enfin les grands et le roi. Tout semble mis sur le même plan, sans mot de liaison (parataxe) ;   Des termes impropres : « peindre » (leurs lèvres) au lieu de « maquiller » ; « temple », « cheveux étrangers » (perruque) ;   Des mots

polémiques. Tout comme l’article « coup de poing » rédigé par E. Zola dans l’Aurore (Journal, « J’accuse ») à propos de l’affaire Dreyfus (XIX è s). Ainsi que L’essai polémique et provocateur de Simone de Beauvoir publié en 1949 sur la condition des femmes, Le Deuxième Sexe. Mais le rôle de la littérature n'est-il pas plutôt de détourner les hommes des grands problèmes de la vie en les divertissant ? II- Divertir : Cependant, force est de reconnaître qu’existe une littérature dont l’objectif

paraissent Les Liaisons dangereuses, qui remportent un immense succès. Cinq ans plus tard, il provoque un scandale en critiquant les théories de Vauban sur l’art des fortifications (Lettre à MM. De l’Académie française sur l’éloge de M. de Vauban). Ceci s’ajoute à des essais audacieux sur les droits des femmes (De l’éducation des femmes). Il doit quitter ses fonctions militaires. Pendant la révolution française, commissaire aux armées, il contribue à la victoire de Valmy. Il est emprisonné sous la Terreur

Dans le roman, les personnages Féminins sont ils forcément des victimes ? « Les femmes ont permission d’être faibles mais elles se servent sans scrupule de ce privilège » Madame de Sévigné. Il est légitime de se demander si dans un roman les personnages féminins sont forcément des victimes. Il est vrai que les personnages féminins sont parfois des victimes, cependant, certaines se révoltent et d’autres peuvent être des bourreaux. Certes, les personnages féminins sont parfois des victimes.

(il écrit seulement quelques contes en vers dans la tradition de La Fontaine, deux livrets pour l’Opéra). Son modèle est Rousseau. Il choisit comme épigraphe aux Liaisons la phrase de Rousseau : « j’ai vu les mœurs de mon temps et j’ai publié ces lettres ». Militaire de carrière, il prend un congé pour l’écrire. Son objectif est d’écrire une œuvre qui lui permette de passer à la postérité. Frustré dans ses espoirs de promotion militaire, il a pensé trouver dans la publication d’un roman à succès,

sa place au centre de la réflexion. Le mouvement qui fédère ces hommes de sciences et de lettres au XVIIIe siècle les porte à critiquer les institutions politiques et religieuses, à lutter contre le fanatisme, l’obscurantisme et l’intolérance. Les écrivains des lumières se servent de leurs œuvres comme armes et composent des œuvres littéraires polémiques : Critiques de l’intolérance dans Les lettres Persanes de Montesquieu, satire des guerres absurdes et de l’inquisition dans Candide de Voltaire…

Parmi les auteurs les plus influents de ce mouvement, nous pouvons compter Montesquieu qui édita Les lettres persanes, satire légère de la France contemporaine. En 1748 parut L'Esprit des lois. Ses idées ont considérablement influencé les théoriciens et législateurs de la Révolution. Nous pouvons également citer Voltaire dont les impertinences lui valurent un an à la Bastille. En 1734, ses Lettres philosophiques le firent condamner par le Parlement. Il écrivit son roman Candide et toutes sortes