Liber-Raisons d'agir

devoirs passe par la conscience de soit, enfin nous verrons quelle est la morale pratique, quelle application dans le monde réelle nous permettent ces dev oirs. I) Pour avoir des devoirs des devoirs envers soi même, il faut que le sujet soit libéré de certaines contraintes. a) Le sujet, libre de ses choix, doit être consentent de remplir ses devoirs. Selon Kant (Métaphysique des mœurs), il existe une contradiction quant aux devoirs que le sujet entretient envers soi même. En effet, le sujet

L'Homme se considère communément comme un être libre, capable de choisir sa vie et d'obéir à sa raison plutôt qu'à ses instincts, à la différence des animaux. Pourtant l'Homme est le seul à vivre à l'intérieur de sociétés régies par des lois qui le contraignent parfois à réprimer sa spontanéïté. Il apparaît alors ici un paradoxe de part la contradiction entre la possibilité de pouvoir se libérer de son animalité naturelle et par la mise en place autonomme de nouvelles règles écrites, qui renvoient

La loi est-celle ce qui libère ? Introduction Friedrich Von Schiller « Vais-je admettre de me laisser serrer dans un corset, de laisser ficeler ma volonté par des lois ? La loi n’a jamais fait naitre un seul gd homme : la liberté engendre des colosses et des extrêmes. » Les Brigands Poète et écrivain all du 18e Nous prendrons ici la loi au sens de « loi étatique », cad liée au domaine juridique. • La loi = ensemble de règles obligatoires établies par l’autorité souveraine d’une société

l’organisation du travail est telle que l’homme en est réduit à n’être que le rouage asservi d’un système qui l’écrase. Ici se pose un problème conceptuel : que nous apporte le travail ? Dans un 1er temps, nous verrons que le travail permet à l’homme de se libérer en maîtrisant et en transformant la nature. Puis, dans une 2ème partie, nous montrerons que le travail est synonyme d’aliénation et d’esclavage. Thèse : Idée1 : l’humanité s’affirme par le travail. On peut affirmer que l’homme se différencie

textes sacrés  société qui privilégie la connaissance rationnelle et l’esprit critique 1715 : début du mouvement des Lumières (mort de Louis XIV) 1750-1762 : l’Encyclopédie, Diderot et D’Alembert Philosophe des Lumières = homme qui se fie à sa raison, qui vit en société, conscient de ses devoirs envers elle, honnête, responsable Valeurs communes : rejet du despotisme, lutte contre l’obscurantisme, combat pour la tolérance, la liberté d’expression, la liberté de culte, le refus de l’esclavage

liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 14 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 15 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 15 6. Critique de la théorie de l’aliénation

liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 14 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 15 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 15 6. Critique de la théorie de l’aliénation

Brève analyse des termes : - "toute" : on sous-entend que la prise de conscience serait en général libératrice; on est donc invité ici à se demander si elle l'est vraiment, l'exercice de pensée consistera donc à interroger d'abord les raisons du statut positif de la prise de conscience par rapport à la liberté, avant de remettre en question, peut-être, ou en tout cas de mesurer, la positivité de la prise de conscience - "prise de conscience" : il ne s'agit pas de la conscience en général, mais

pour qui la nature décide en tous points ? Est alors mise en évidence ici la nature ambiguë du désir : est-on libre sans ou grâce au désir? Faut-il se libérer du désir (en tant qu'il ne serait que source de servitude) ou faut-il au contraire libérer le désir (en tant qu'il serait en nous la marque de notre liberté, de notre capacité de choix et d'agir)? I. Le désir m'échappe A) Par sa nature même  Le désir est ambivalent : il semble soit indéterminé, soit trop déterminé : toujours insatisfait

« puissance d’élire » écrit-il. Ainsi à la différence de l’animal l’homme est bien l’auteur de ses actes. L’homme est donc libre puisqu’il possède le contrôle sur ses actions mais aussi sur ses pensées et ses émotions à partir desquelles il va se décider d’agir mais il suppose aussi la capacité de s’abstenir. Si l’homme décide d’aller marcher, il ira marcher car rien, à priori, ne l’en empêche. Tout comme si il décide de faire part d’une grande violence envers un autre individu, certes la loi puni ces actes