Liberté pour l'histoire

Il énonce la thématique Arts, état et pouvoir. L’histoire se passe en France dans les années 2000 mais le contexte de l’histoire fait plutôt penser au début du XXe siècle, à cause de l’internat, de la sévérité et de la guerre qui pourrait être la seconde : la dictature. Comment le romancier dénonce-t-il les régimes dictatoriaux tout en érigeant la lutte pour la liberté ? Ce roman parle d’adolescents qui se battent pour retrouver leur liberté de penser et de mouvement dans une société répressive

préservant les libertés restera toujours un rêve, une utopie. Toutes les tentatives de réalisation de ce rêve ont échouées, car je pense que c’est impossible. Je pense que la liberté est personnelle, qu’elle est le choix de chacun. Une liberté imposée n’est plus vraiment une liberté, et c’est ce qui se passe dans Globalia. En effet, cette dictature camouflée en démocratie parfaite manipule son peuple. Le gouvernement « donne » des libertés, mais pour ce permettre de donner une liberté, il faut déjà

est d’abord « tout est possible ». Tout est possible est la liberté : la liberté est d’abord l’irrationnel. La liberté se manifeste dans l’espièglerie du négatif, dans la négation du constat, dans l’affirmation de l’insatisfaction, seul maître de toute pensée. La liberté ensuite est souveraine par rapport au projet : ceux qui le conçoivent sont toujours libres d’accepter, ou non, le projet. Le moment du projet, qui est la liberté de concevoir, de proposer, d’accepter, et déjà de choisir, est le

Juifs de l'Europe occupée durant la Deuxième Guerre mondiale à aujourd'hui une grande place dans l'Histoire. En effet, grâce aux condamnations du Procès de Nuremberg, aux témoignages des personnes rescapées dans les lycée, les lieux de mémoire et aux archives nazies ont permis progressivement un devoir de mémoire surtout dans les jeunes générations, qui ne connaissaient pas forcement ce passage de l'histoire. De plus, la Shoah est le seul génocide pour lequel le devoir de mémoire est officiellement protégé

Introduction.I- Hegel, La raison dans l'histoire : l'histoire au sens 1) a un sens. C'est le philosophe qui retranscrit ce sens à travers l'histoire philosophique.A- les différentes manière d'écrire l' histoire.B- histoire philosophique (philosophie de l'histoire) :II- N'est-ce pas pour nous que l'histoire a un sens ?A- Kant : Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique : le sens de l'histoire est seulement un besoin de la réflexion.B-Analyse du statut du fait historique.Conclusion

Assurément , nous ne sommes pas les auteurs de la nature bien que nous tâchions depuis DESCARTES de nous en rendre « comme maîtres » . Ne serions –nous pas face à l’histoire dans une situation totalement différente ? Ne sommes-nous pas des êtres historiques beaucoup plus encore que des êtres naturels et ce domaine ne serait-il pas celui vraiment effectif et non analogique de notre maîtrise ? Seuls les hommes ont une histoire disons-nous, car seuls nous avons conscience du temps ,seuls nous nous

Dissertation : Le droit pénal comme instrument de contrôle de l'histoire Introduction; « Le droit à la vie est le premier des droits de l'homme », ces paroles de Robert Badinter peuvent justifier l'existence du droit pénal dans notre société, il a vocation à être « la voie du sage qui murmure ». Chaque individu est responsable de ses actes devant la loi, ainsi toute contravention, tout délit ou encore tout crime ne peut rester impuni. Le droit pénal peut être défini comme la branche

« Communiquer » ou  « exprimer » ne sont pas les seules fonctions de l’écriture. Il s’agit « d’imposer un au-delà du langage qui est à la fois l’Histoire et le parti qu’on y prend » La Littérature ne peut se borner à cette définition = institution que l’on isole de tout rapport avec l’Histoire. Car au contraire, l’Histoire y a sa place : «  elle agit le plus clairement ». (L’Histoire) oblige (l’écrivain) à signifier la Littérature selon des possibles dont il n’est pas le maître. » Exemple : unité idéologique

------------------------------------------------- L’histoire Introduction SI on s’attache à l’étymologie du mot histoire, on apprend qu’il vient du grec historia qui signifie « enquête ». On peut alors affirmer que l’histoire est l’étude des évènements passés et que l’historien est un véritable enquêteur, à la recherche de ces évènements, mais aussi de leur sens. Cependant, on peut supposer que l’observateur de ce passé subissant les préjugés de son temps, risque fort de ne pas être objectif

(re)construit par l'histoire, le passé doit etre compris , saisit, et donc rejoindre la subjectivité étudiée ( par l'empathie !!). cette interprétaion inévitable ne limite-t-elle pas la valeur objective de l'histoire ? Toutes conscience de l'histoire est colnscience dans l'histoire: nous sommes confrontés au perspectivisme ( relativisme )( = c'est a dire , saisir le passé a partir de notre propre présent, "prisonnier " d'une illusion rétrospective . Ainsi, l'historien est situé dans l'histoire, il nepeut