Liberté Freud Déterminisme

Préparation du DM n°2. La notion d’inconscient exclut-elle celle de liberté ? Introduction : Constat : comment la notion d’inconscient peut-elle conduire à une perte de liberté ? On peut utiliser plusieurs points de vue : Psychologique : ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..Social : ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..Biologique : ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

certain tiroir, et la première chose qui me tombe sous les yeux est le livre égaré, resté si longtemps introuvable. » Le motif disparu, l'objet cesse d'être introuvable. Sigmund FREUD, Introduction à la psychanalyse (1916-1917) Le texte proposé est un extrait de l’Introduction à la psychanalyse (1916-1917) de Freud. La psychanalyse est une méthode d’investigation des processus psychiques qui met en évidence la signification inconsciente des paroles, des actions, des goûts et des rêves de l’individu

d’”inconscient” se voit reprocher son manque de responsabilité, l’inconscience apparaissant alors comme un défaut moral. Cependant, n’est-il pas nécessaire qu’une partie de notre vie soit inconsciente, de sorte que l’inconscience ne relève pas d’une liberté déficiente, mais d’une irréductibilité essentielle ? L’inconscience reviendrait alors å une forme d’ignorance. Notre question serait alors : pouvons-nous déterminer dans quelle mesure cette ignorance est réductible, afin de pouvoir décider si l’inconscience

Laborit et Sigmund Freud ? La responsabilité, la liberté et le libre-arbitre détermineront si oui ou non, l’humain à sa part de responsabilité malgré son déterminisme. L’humain est contrôlé par ses pulsions, voici la théorie du psychisme humain établie par le psychanalyste Sigmund Freud. Il prétend que l’humain est dominé par ses instincts, en prédominance celle de l’agressivité. Pour lui, nous sommes des êtres dominés par notre envie de satisfaire nos besoins primaires. Freud, compare l’homme

problème philosophique s’agit de l’agressivité. La thèse que je soutiens est celle de la liberté. C'est-à-dire qu’il était libre de ne pas tuer. Il n’était pas dans l’obligation de tuer ses enfants. Nous pouvons aussi considérer qu’il connaissait la loi, puisqu’en étant médecin, cela suppose qu’il était très bien éduqué. DÉVELOPPEMENT Tout d’abords, il y a une pertinence dans la synthèse de pensée de Freud et le cas Piedmont et à la violence familiale. Il faut se poser la question suivante pour

religion, la politique, la philosophie, etc.). Freud fait une attaque à la suprématie de la conscience. Selon lui il n’y a aucune transparence du sujet à lui-même. Selon lui, on peut concevoir l’existence de pensées inconscientes, refoulées par la conscience, laquelle ne voudrait pas penser certaines choses. Certaines maladies produites par ces refoulements montre la nécessité de supposer l’existence d’un inconscient de nature physique. Selon Freud l’inconscient, est une entité psychique autonome

donné immédiatement, dans ce qui s’offre à lui extérieurement. Il y parvient en changeant les choses extérieures, qu’il marque du sceau de son intériorité et dans lesquelles il ne retrouve que ses propres déterminations. L’homme agit ainsi, de par sa liberté de sujet, pour ôter au monde extérieur son caractère farouchement étranger et pour ne jouir des choses que parce qu’il y retrouve une forme extérieure de sa propre réalité. Ce besoin de modifier les choses extérieures est déjà inscrit dans les premiers

1) L’idée qu’une partie de notre psychisme échappe à la conscience n’est pas nouvelle, et elle est même "dans l’air" à la fin du XIXe siècle : a) Leibniz et les petites perceptions (Nouveaux Essais, Préface, pp.41-42) Avant Freud, certains philosophes avaient déjà montré que la représentation cartésienne du psychisme humain était insuffisante. Pour Descartes, l'esprit s'identifiait avec la conscience, avec la pensée claire et distincte. On pouvait avoir accès, par la conscience

– Le déterminisme n’est pas le fatalisme. Déterminisme : Des causes étant posées, l’effet s’en suit nécessairement. Fatalisme : Qu’il y ait des causes ou pas, et quelles que soient les causes, l’effet se produit nécessairement. Œdipe illustre tout à fait la fatalité. Le héros tragique c’est celui qui ne peut échapper à son destin. Le déterminisme, c’est le contraire car lorsqu’on change les causes, on change les conséquences. Il faut connaître les causes qui vont réaliser ma liberté, c’est

contraire, le désir serait le signe même de notre liberté. Par opposition à l'animal (qui n'éprouverait pas de désirs, mais des besoins et des instincts biologiquement déterminés), l'homme est l'être indéterminé: ses désirs n'ont pas de but préalablement défini, signe que son existence n'est pas soumise au déterminisme. Le problème central apparaît donc. Reconnaître que le désir est, par essence, errance, est-ce le caractériser comme une privation de liberté, ou au contraire comme le propre même de l'Homme