Liberté Marx Et Descartes

lupus est, «L’homme est un loup pour l’homme» disait Hobbes. C’est l’organisation sociale qui dénature le caractère belliqueux de l’homme et le rend bon, magnanime. Pourtant, Jean-Jacques Rousseau parle du «bon sauvage», qui «respire le repos et la liberté, il ne veut que vivre et rester oisif, et l’ataraxie même de stoïcien n’approche pas de sa profonde indifférence pour tout autre objet.»(2) Pour ce dernier (Rousseau), c’est la société qui fait apparaître le caractère vil de l’homme. On constate bien

toute responsabilité et connaissance. o Argument 3 : la conscience est le fondement de l’existence humaine. o Explication : l’homme ne peut existé sans conscience. o Citation : « je pense donc je suis » Discou de la Méthode, RENE Descarte. o Explication : pour descarte, l’existence humaine et la conscience sont intimement liées. Auteur : ALLOUTCHI Samson (59154157) Page 3 L’INCONSCIENT I) CONNAISSANCE DE LA NOTION Selon théorie freudienne de la psychanalyse, l’inconscient est l’ensemble des

moral, mais elle dit aussi que je suis un être pensant. B) Je suis un être pensantDans le Discours de la méthode et dans les méditations métaphysiques Descartes exprime sa déception vis-à-vis des connaissances acquises, seules les mathématiques semblent fiables, mais elles sont inutiles. Descartes se propose de reconstruire un savoir nouveau, une philosophie vraie qui serait utile et fiable. Pour cela, il faut partir d’une vérité absolument certaine. Pour la découvrir, il

que Marx montrera c’est que c’est loin d’être un songe creux, car imprime fortement le réel, c’est au contraire un levier d’action puissant pour faire bouger le monde, ou imprimer une marque ou une organisation sur le monde. Ce terme est pensé philosophiquement entre 1840 et 1870 par Marx dans un ouvrage de 1846 qui est (lire Le manifeste du parti communiste de 1848) l’Idéologie allemande. Il pose la contradiction essentielle de l’idéologie : la question à laquelle essaie de répondre Marx c’est

comme industrie n'est libératrice que dans une forme de société qui est à la hauteur de ses exigences. ( Marx ) III) La technique moderne n'est pas la libération des hommes, mais la libération du mouvement pour le mouvement. ( Heidegger ) Reformulation du plan : I] La technique, libération ou asservissement. II] La technique n’est bénéfique que si on la contrôle. III] Une illusion de liberté. INTRODUCTION On peut définir une technique en général comme un ensemble des moyens au service

humain qui se distingue des choses par sa capacité à penser mais aussi et surtout par le langage. Sous partie 1 : le moi est un sujet pensant mais aussi matériel Le moi est donc un sujet pensant doté du langage (Benveniste) Substance pensante (Descartes) . Cette « substance pensante », cette « substance dont toute l’essence ou la nature n’est que de penser », constitue un ordre de réalité spécifique, distinct du monde des choses corporelles, lesquelles sont ramenées à leur trait essentiel commun

le besoin : une fois satisfait, le désir se porte sur un autre objet. MARX, Travail salarié et capital, conteste cette opposition besoin naturel / désir culturel : même nos besoins ont une origine sociale (donc culturelle) : une maison paraît trop petite si un palais se construit à côté d’elle. Le désir est-il source de bonheur ou de souffrance ? Le fait de désirer témoigne de notre finitude, de notre imperfection. DESCARTES, Méditations métaphysiques, III : le fait de douter et de désirer prouve

par les autres, admis à l’intérieur d’une société, reconnu primitivement en tant que travailleur. Aliénation, étranger à son propre travail ou à la société car son travail n’est pas reconnu. Dans cette situation, le travail est une privation de liberté. Car dans cette occasion on est privé de reconnaissance. Le rapport mécanique au travail est aliénant. L’effet de répétition, peut on être soit même dans cette répétition mécanique ? L’individu se sent noyé dans la masse, l’individu a participé à

vient de la matière 24 b. Le mal vient des créatures (libre arbitre) 24 c. Dieu n’est pas cause des détails 25 Conclusion 25 C. L’aliénation religieuse (Marx, Nietzsche, Freud) 26 1. Paradoxes éthiques et esthétiques 26 2. La religion est un instrument d’aliénation et de domination sociales (Marx) 26 3. La religion est négation de la vie (Nietzsche) 27 4. La religion est la névrose de l’humanité (Freud) 29 III. La fin de la religion ? 29 A. « Dieu est

d’assurer l’intérêt commun que les sentiments altruistes. En effet, il existe une main invisible par laquelle la somme des intérêts particuliers devient intérêt général. Marx fustige la conception libérale en ce qu’elle pose l’unité de la société et méconnaît les rapports de force qui s’exercent entre les classes sociales. Ajoutons que pour Marx la nature de l’homme est sociale. - Société et communauté : Tönnies distingue la communauté de la société. Dans la communauté prédominent les liens familiaux, amicaux