Liberté Naturelle Liberté Civile

notions fondamentales que l’on va retrouver ds toutes les branches du droit ? Il faut partir d’une discipline particulière à partir de laquelle on va présenter la théorie générale : c’est le droit civil. On va s’appuyer sur le droit civil comme modèle pour présenter cette introduction : le droit civil est le droit le plus complet, le plus achevé. Il faut définir son sujet et le délimiter. La première fonction du juriste c’est de définir les concepts qu’il utilise : cet exercice de définition est

mais toute maladie en vient aussi. » : référence à St Paul → pouvoir de droit divin. • Quelles sont les puissances légitimes ? Les citoyens. Chapitre 4 : « De l’esclavage » • L’esclavage est un rapport de force. • Le droit de la guerre n’est pas naturel : les hommes ne se font pas naturellement la guerre : « C’est le rapport des choses et non des hommes qui constitue la guerre […]. ». • La guerre n’apparaît que lorsque des États sont formés : « La guerre n’est donc point une relation d’homme à homme

objet d'étude, que penser des hommes qui la composent ? C'est là où nous touchons à une contradiction dans le terme " d'individu " : D'une part, l'individu, c'est l'individuel : c'est la marque de la personnalité, de la singularité ; et donc, de la liberté. D'autre part, l'individu, c'est aussi " l'indivis " (en latin) ce que l'on ne peut plus diviser, la plus petite partie d'un tout, comprenez par-là l'unité. Dit autrement, si la société devient objet d'étude, l'individu en devient son unité. Pour

phonétique, la syntaxe. La grammaire c'est l'ensemble des règles d'une technique, c'est comme le solfège à la musique. La grammaire sert à simplifier, à se repérer quand on est perdus. Quelles sont les grandes données grammaticales du droit privé? Le code civil contient : Les personnes ; La propriété; Les obligations Des sous distinctions se font : l'obligation 4 sources : le contrat , quasi contrat, délit, quasi délit. Les quatre vis de consentement : La contrainte, le dol , la lésion, l'erreur.

une convention fondamentale peut légitimer l'autorité politique et permettre à la volonté générale du peuple d'exercer sa souveraineté. Il va plus loin que Montesquieu et Voltaire dans la défense de la liberté et de l'égalité entre les hommes, en proposant un ordre naturel qui concilie la liberté individuelle et les exigences de la vie en société. Le "Contrat social" a inspiré la Déclaration des Droits de l'Homme et toute la philosophie de la Révolution. Son influence a été également importante sur

de nos jours la loi apparaît comme un instrument de contrainte, du pouvoir qui fait peser sur l'individu des obligations, au 18ème on voit dans la loi un instrument de liberté, la loi va protéger les individus, en doctrine chez Locke, Montesquieu et les encyclopédistes le pouvoir est vu comme un moyen de garantir les droits naturels et d'assurer leurs développements. Montesquieu fait une autre constatation, c'est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est tenté à en abuser. L'objet

le droit ? A quoi sert le droit ? Ce sont des questions que ce sont posé des philosophes , l'homme est un animal politique nous disait Aristote l'homme est un être social. le droit nous permet de rechercher la paix sociale, la coexistence des libertés. Des que l'on vit en société, que les relations entre les hommes existent, il apparaît un besoin d'ordre. C'est pour cela que les romains considéraient qu'il n'y a pas de société sans droit. Les romains disait « ibi societas, ubi jus ». Toute

philosophie : LA LIBERTE POLITIQUE SE REDUIT-ELLE AU POUVOIR DE VIVRE LIBREMENT ? « Un être, ne se sent obligé que s'il est libre, et chaque obligation, prise à part, implique la liberté » Henri BERGSON Doit-on conclure de cette phrase que l'homme ne peut-être libre, que lorsqu'il respecte des lois ?. Mais cette liberté, se suffit-elle au simple respect des lois ?. De plus, la liberté politique, est-elle suffisante pour espérer « vivre », au sens le plus large ?. Cette liberté politique qui est

demander si Machiavel était immoral, amoral ? On ne peut lire le Prince sans avoir aussitôt une réflexion sur la question du mal ! La question du mal chez Machiavel est très importante, elle est liée à une autre question fondamentale, celle de la liberté. Il y a une condition humaine certes tragique chez Machiavel, mais peut être pas une nature humaine. Cette condition humaine est faite d’insatisfaction. Si l’homme peut tout désirer, c’est que rien n’entrave son désir. La question de l’obéissance

philosophe présente sa conception de la liberté. Selon lui, la liberté doit passer par les lois, autrement elle est impossible. À la lumière de cette théorie, il est pertinent de se demander si se soumettre aux lois, cela signifie renoncer à sa liberté? Ou alors est-ce Rousseau qui a raison d’affirmer qu’il n’y a point de liberté sans lois? En premier lieu, comme l’indique la théorie de Rousseau, l’obéissance aux lois qui s’appliquent à tous, garantit la liberté humaine. Selon ce philosophe, les individus