Liberté Régime Matrimonial

comprend l’étude du droit des régimes matrimoniaux, des successions et, enfin les libéralités c’est- a –dire des donations (ou libéralités entre vifs) et des libéralités testamentaires (ou a cause de mort). Il est fait référence à loi Française et code des personnes et de la famille pour élucider les différents points. Comme tout travail scientifique après ces quelques observations nous présentons le plan qui suit : Première partie : Les régimes matrimoniaux au Mali Deuxième

mari n’est plus le seul a décider des règles pour le mariage, les 2 époux ont les mêmes obligations et les mêmes droits. Le mari ne gère plus seul les biens du couple et le choix de la résidence) et des enfants. Le droit contemporain préserve des libertés individuelles : dans un couple, chacun a le droit au respect de sa vie privée ainsi que de son intégrité physique ou morale *La famille est un groupe dans lequel des liens se créer en fonction de la volonté des personnes. Le lien parental existe

L’Ancien droit avait une conception quasiment similaire de la famille : l’autorité du mari et du père en qualité de chef de famille était très forte. C’est le droit intermédiaire (révolutionnaire) qui a rompu avec cette conception au nom des idéaux de liberté et d’égalité. En 1804, le Code Civil réalise un compromis entre la conception ancestrale de la famille et la conception plus moderne de la révolution. Au fil du temps, la conception de la famille tel qu’issu du Code Civil fondé sur le mariage et

mariage. Le mariage n’est pas défini par le code civil mais il est généralement considéré comme l’union d’un homme et d’une femme résultant d’un engagement officiel afin de fonder un foyer et de s’aider mutuellement. Le mariage est reconnu comme une liberté fondamentale (art.12 CEDH). Cependant, la nature du mariage fait débat au sein des juristes. Certains y voient un contrat créé par accord de volontés alors que d’autres y préfèrent une institution organisée par l’Etat pour fonder une famille. La majorité

rapprochent toutes ses familles c’est le lien qui les unit. La famille lieu privilégiée des sentiments et des émotions. Aucun régime politique n’a pu abolir le lien familial. Longtemps, le couple a été fondé exclusivement par le mariage, conçu comme un sacrement or, de nous jours développement de l’union libre qui s’agisse d’une cohabitation juvénile ou cohabitation post-matrimoniale. On pratique largement la sexualité sans procréation. Par famille on entend la parenté large ou bien la famille nucléaire

de 1724 interdit les mariages interraciaux qui apparaissent comme un scandale. Les règles matrimoniales de l’époque mais surtout les répressions mises en place lorsque les règles au niveau du consentement ne sont pas respectées, ont poussé les jeunes gens à suivre les choix paternels en matière matrimoniale. C’est de ce point de vue-là qu’il y a, à cette époque, une réelle convergence entre le régime politique et l’organisation familiale. Aujourd’hui, la vision du consentement a encore divergé

(rapport mari/femme/enfant). « Famille foyer » (conception actuelle). La famille quelque soit son fondement, comme réalité juridique apparaît finalement comme un groupe très structuré dont les rapports entre les différents membres (personnels ou matrimoniaux) sont organisés par le droit. La famille va être dotée d’un véritable statut juridique, elle va être soumise à un ensemble de règles qui constituent le droit de la famille. Ce droit de la famille présente une certaine originalité qui va se manifester

de la Famille s’est fondé. Depuis l’après guerre, beaucoup de nouvelles lois se sont crées, beaucoup de réforme relative au droit des personnes et surtout de la famille. On retrouve ces nouvelles lois dans le code Civil, comme celle sur les régimes matrimoniaux (1965), l’adoption (1966), l’autorité parentale (1970), la filiation ( loi du 3 janvier 1972), le divorce (1975)…Ce caractère évolutif de la famille, qui passe de la famille traditionnelle composé de grands parents, de parents et d’enfants

inspirées par les idées d’égalité (entre époux, enfants, la liberté individuelle, l’intérêt de l’enfant). Les réformes, en réalité ont été opérées pendant trois périodes : époque de la refondation (1960-1970), trois textes important : loi du 13 juillet 1965 -> instaure l’égalité des époux dans le mariage, Loi du 3 janvier 1972 -> principe de l’égalité des filiations Loi du 11 juillet 1975 -> réforme du divorce (le facilité, droit a la liberté individuelle) période de la retouche (on va améliorer : 1985

cassation, évoquant une des libertés fondamentales garanties par la constitution. Le pourvoi dispose à l’article L120-2, le caractère confessionnel d’un établissement ne constitue pas un motif impérieux suffisant pour justifier une atteinte à la liberté du mariage et de la religion. La cour de cassation en assemblée plénière , le 19 mai 1978, rejeté le pourvoi formé contre l’arrêt rendu le 7 Octobre 1976 par la Cour d’Appel de Lyon. La restriction de la liberté de mariage doit elle s’appliquer