Liberté Selon Bergson

par la nature qui demande une transformation pour être utilisée par l'homme. Plus qu'un effort, c'est une punition individuelle qui doit servir le bien de tous. L'esclavagisme, ou travail forcé, est la contrainte même, en rupture avec la liberté de l'homme. Selon Karl Marx, le travail formate, enferme et perd l'individu d'un point de vue temporel, physique et psychique. Au-delà du travail, c'est la consommation, mais également la production industrielle qui amènent l'individu à se perdre à plusieurs

qu’une même chose ne puisse en être deux à la fois. Le nœud du problème, cependant, est précisément l'ambiguïté de notre expérience du temps. Quel est donc la place du temps dans l’existence humaine ? Simple ennemi ou opportunité, condition de notre liberté et occasion de déployer les nobles ressources de notre humanité ? D'où vient cette ambiguïté ? Cela dépend-il de la nature du temps ou cela dépend-il de la façon dont nous nous y projetons ? Dans un premier temps, nous étudierons ce mouvement implacable

Cette capacité s’étend au réel lui-même, que l’homme peut donc aussi voir intellectuellement et concevoir. La raison ici est ce qui rend possible une représentation objective du réel en faisant apparaître ce qui, en lui, est ordonné et structuré selon des lois. La raison prend ici le sens de « calcul » et de « mesure » (ratio) : elle est donc ce qui rend « compte » de la manière dont le réel est organisé. La raison a donc bien pour finalité la connaissance du réel et elle se confond même avec la

Le travail // Culture #Nature Le travail est le propre de l’Homo-Faber, avant d’être homo sapiens, l’homme est homo faber ( Bergson) Notions préliminaires : Le travail, un savoir-faire et une conscience de la finalité de l’acte, l’utilité et la production, le culturel, le proprement humain…(Marx) Toute activité productive et utile (non nécessairement rémunérée) et qui nécessite un savoir-faire accompagnée de la conscience de la finalité. Tout travail nécessite une technique mais toute

d’illusions. En premier lieu, la conscience apparaît comme une instance indubitable et essentielle de l’Homme, d’abord en tant que pouvoir de connaissance et de dévoilement immédiats de soi. En effet, dans la réalité, les choses se manifestent selon une richesse et une diversité de modalités, qu’elles soient par exemple imaginées, perçues ou pensées. La conscience de soi, d’autrui et du monde est nécessaire au sujet dans la mesure où elle incarne une puissance à prendre connaissance de ces divers

mécanique: s'attachent entre eux et se déterminent selon un lien de cause à effet. dispensant: nous décharge de toute intervention, de toute décision et du soin de choisir: le choix est fait dans ce qui devient habituel, c'est le problème des mauvaises habitudes. diminue: progressivement, au fur et à mesure qu'ils se déterminent plus mécaniquement. disparaît: n'apparaît plus et n'intervient plus: le mouvement devient inconscient, machinal => Bergson va passer à l'autre extrémité de la conscience

ou moins large entre le choix et la prise de decision . Cette conscience donne a l'homme l'illusion d'exercer son libre arbitre . la conscience réfléchis permet par exemple de réduire l'état de peur mais pas de faim puisqu'il est propre a l'homme . Selon Nietzsche ces instinct sont le fruit du déterminisme biologique , l'homme est soumis a ses instinct , ses pulsions et ses passions . Ce qui rendrait deja l'homme bien moins libre que ce dont il pensait . Le théoricien Leibniz apporte des indication

communication en qu'il procède par symbole et non par signaux. L'animal ne comprend i.e. n'interprête pas des symboles ; Il décode des signaux et réagit par un comportement conforme. Dans un cas, il y a une part d'initiative personnelle, une marge de liberté, d'inovation. Et dans l'autre cas, il y a l'instinct et de l'automatisme. Analyse de G.Gusdorf : " Le chimpanzé peut émettre certains sons, il pousse des cris de plaisir ou de peine. Mais ces gestes vocaux demeurent chez lui soudés à l'émotion

d'individus qui constitue le milieu où chacun s'intègre. On peut voir que toutes les espèces vivantes sont plus ou moins sociales ; les sociétés animales sont naturelles et gouvernées par l'instinct, tandis que les sociétés humaines sont organisées selon des institutions mobiles et véhiculent une culture. Le travail de l’homme dans la société qu’il occupe peut être vu comme une activité visant à la production d'une oeuvre utile, mais plus spécialement l’ensemble des activités accomplies par l'homme

autrement s'il avait pensé qu'il allait être puni?I. Origines du devoir : Selon Nietzsche, le devoir naît avec la pratique de l'endettement : « La notion morale de "faute" tire son origine de la notion très matérielle de "dette".» Devoir quelque chose à quelqu'un revient à promettre que l'on fera quelque chose, en échange de quoi, si je ne tiens pas ma promesse, l'autre pourra me punir. À l'inverse, selon Kant, le devoir n'est pas une contrainte mais une émancipation. D'après le philosophe