Libre Ou Déterminé Marx

Être libre est-ce ne rencontrer aucun obstacle? Au cours de l'Histoire, la liberté a été toujours définie comme une abscence de contraintes. Être libre, ce serait prendre nos propres décisions, et ne rencontrer aucun obstacle qui puisse les arréter. Ce serait alors, définit en une seule expression: "Je fais ce qu'il me plait". C'est ainsi que, pendants de nombreux siècles, la liberté a été la fin et le but de tout être humain. Mais on sait que l'Homme n'est pas libre par sa nature même. L'animal

dans L’existentialisme est un humanisme, montre que l’homme, doué de conscience réflexive, peut à tout moment prendre du recul sur ses actions et juger ce qui est bon pour lui, et peut ainsi agir de manière réfléchie et surtout de manière tout à fait libre. L’auteur déclare que « l’existence précède l’essence », c'est-à-dire que l’homme définit son essence par ses actes, et non pas l’inverse. De cette manière, celui qui se dit avoir été forcé d’agir de telle ou telle manière est de mauvaise foi : il

activités qui demandent à entrer en contact avec la matière. Les arts libéraux étaient les arts auxquels on s’adonne avec l’esprit sans contact avec la matière. (Arts réservés aux H libres, qui ont des droits dans la cité). La distinction esclave/H libre n’est pas que sociale. Chacun doit se libérer, même si il est esclave en s’adonnant aux arts libéraux. Toute classification pose problème : ARTS : Libéraux = poésie, dramaturgie, musique... Mécaniques = Sculpture, peinture... A la renaissance

est-il souhaitable ? Historiquement, les Grecs témoignent du refus de la soumission à cette dure contrainte du travail : seuls les esclaves travaillent et sont souvent considérés comme des instruments animés… Hors de question pour un homme libre de se mêler de cette activité servile par définition. Par ailleurs, l’étymologie même du mot travail, tripalium, fait référence à un instrument de torture qui donnera lieu par la suite à un sens bien négatif, celui d’une pénibilité, d’une peine ou

de la fin du XVIIIe siècle s'accompagne de l'émergence de la première école de pensée. L'école classique dont Ricardo est le principal théoricien c'est également dans le cadre de l'explosion de ce capitalisme industriel à la fin du XIXe siècle que Marx élabore son discours économique social et politique, il est d'ailleurs considéré comme le dernier des classiques. P2 La doctrine mercantiliste C'est une approche nouvelle qui s'oppose au discours économique dominant hérité d'Aristote. Née en

repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux qu'aucun pouvoir ne peut violer. En conséquence, les libéraux veulent limiter les obligations sociales imposées par le pouvoir et plus généralement le système social au profit du libre choix de chaque individu. On y trouve donc le droit à disposer librement de sa force de travail et des produits de son travail, la liberté d’échanger, de contracter, d’entreprendre, etc. Pour la plupart des libéraux, la dichotomie entre « libéralisme

Plan I. Introduction. 1- La vie et œuvre de Karl marx. 2- Objet et méthode d’analyse de Karl marx. 3- Concept d’analyse de Karl Marx II. Théorie de la valeur et production de la plus value. 1) Théorie de valeur. 2) La plus value. a) Définition de la plus value. b) Le capital constant et variable. c) Le taux de la plus value. d) La plus value absolue et relative. III. Les « lois » et les contradictions du M.P.C 1) Loi de concentration du capital. 2) Loi de la paupérisation. 3) Loi de la baisse

A – Le fondement du libéralisme : l’ordre naturel Les classiques ne représentent pas un courant unifié. Leurs diverses analyses inspireront les penseurs du XIXème siècle, aussi bien les néoclassiques, qui reprennent la notion de libéralisme, que Marx (1818-1883), qui reprend celle de valeur-travail. A la fin du XVIIIème siècle, le libéralisme devient un courant de pensée dominant, tant sur le plan politique que sur le plan économique. a) Les vertus du libéralisme source d’enrichissement Le

cause de l'erreur doit se trouver en nous. Volonté et liberté (57) Descartes croit que nous utilisons mal notre volonté a 2 occasions: -Porter un jugement sur les choses dont la vérité ne m'est pas clairement connue. -Etre détermine a agir de telle façon sans réflexion. -La connaissance de l'entendement doit toujours précéder la détermination de la volonté. De l'existence des choses matérielles -Comment prouver que les choses matérielles existent hors de l'esprit.

production, que Ricardo qualifie de travail « incorporé ». Si la valeur d’une marchandise qui sert de référence est bien la valeur d’échange, le rapport d’échange entre les marchandises s’établit selon cette quantité de travail incorporé qui se détermine au moment de la production. La marchandise acquiert sa valeur au moment de la production, puis s’échange sur le marché. Alors que pour Smith, la valeur d’un bien était révélée lors de l’échange, au moment de l’échange, comme quantité de travail commandé