Ligne de champ

Pour Hoederer, les idées de son secrétaire restent un idéal de « petit » bourgeois sans lien avec une expérience de la réalité des hommes. Hoederer assimile les idées de son secrétaire de "principes" à la pureté: voir répétition et champ lexical ("pureté" ligne 46; "une affaire de principes" lignes 8-9, 11 ; "principe" lignes 10, 26). Hoederer voit cette pureté de manière négative, comme le symbole de l'inaction et de la bourgeoisie, symbole qu'il rejette. Ainsi, le chef ne peut accepter le

faire » ». Ce passage nous montre l’honnêteté de l’inconnue qui ne veut pas tromper Vanina. Le carbonaro demande de la pitié de la part de Vanina dans cette phrase mais aussi a la suite du texte a la ligne 172 : « Je suis un malheureux carbonaro » puis ligne 177 : « mon père est un pauvre chirurgien » et ligne 178 : « j’ai été amené, enchaîné […] Plonger dans un cachot éclairé jour et nuit par une lampe, j’y ai passé treize mois. ». Il y a un changement de ton de la part du Carbonaro entre les lignes 181

texte. La première partie (de la page 463 à la page 464 ligne 15) que l’on pourrait nommer « La feinte d’ignorance de Mathilde ». La seconde partie (de la page 464 ligne 16 à la page 465 ligne 10) que l’on pourrait nommer « Les chimères de Mathilde ». La troisième partie (de la page 465 ligne 11 à la page 466 ligne 22) que l’on pourrait nommer « La déclaration de brouille éternelle ». La quatrième partie (de la page 466 ligne 23 à la page 468 ligne 11) que l’on pourrait nommer « Une vieille épée »

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travers la description minutieuse de l’île d’Utopie ? I. La description générale de l’île (ligne 1 à 15) A. Description géographique presque géométrique. Champs lexical de la géométrie (ligne 2 : « graduellement » , « symétriquement » ; ligne 5 : « adjacente » ; ligne 7 : « concave ». Associé à ce champs lexical des chiffres (ligne 1 : « deux cent mille » ; ligne 3 : « onze mille » ; ligne 4 : « quinze mille » ; ligne 21 : « vingt-quatre ». Toute cette description précise révèle la volonté du narrateur

vie pénible et passagère » et de subjonctifs à valeur injonctive : « Puissent tous les hommes se souvenir qu’ils sont frères » l.21, « Qu’ils aient en horreur la tyrannie exercée sur les âmes » l. 21-22. Voltaire a également très souvent recours au champ lexical de la fraternité, qui renforce l’idée de paix déjà soutenue dans ses vœux : « Frères » l.21, « Haïssons pas » l.24, « Paix » l.24. Notons également que l’utilisation récurrente de la 1ère personne du pluriel, du mot « Tous » et enfin de l’adjectif

Comme le titre indique, c’est une marche d’armée, ces termes sont même repris à la ligne 7. De surcroît, ils sont accentués du champ lexical de l’armée « armée ; soldats ; dégradées ; bagages ; tente », et de la métaphore «  ces lourdes et pesantes voitures de bagages qui passent » qui représente les canons. Les adjectifs péjoratifs «  dégradées ; pourris,

noble ), rencontre à un bal la princesse de Clèves, une très belle jeune fille récemment mariée. 3. Plan du texte : Ligne 1 à 6 ( ...celui qui arrivait ) : le destin -> le Roi désigne le duc comme cavalier à la princesse. Ligne 6 à 11 ( ...étonnement ) : le duc vu par la princesse ( désignée par "on"). Ligne 11 à 13 ( ...admiration ) : la princesse vue par le duc. Ligne 13 et 14 : leur union dans la danse. 4. Thème du texte : Lors d'un bal à la cour, le duc de Nemours et la princesse

cheveure a travers des comparaisons et metaphores. Comparaison : Le mouchoir c'est l'idée de la légereté, richesse et souplesse La chevelure contient tous les souvenirs parce qu'elle degag les parfums du passé l'auteur evoque un mouton avec le champs lexical suivant : "Toison moutonnant, encolure" vers 1, "Boucle" vers 2 . Dans le texte 2, il insiste sur l"odorat "respirer , odeur, odorant" Cependant, le poete Beaudelaire metaphorise la chevelure comparant a des pays lointain exotique et fascinant

inconnu, extérieur à l’histoire. Cette partie se situe de la ligne 1 ( «  Le docteur Marrande… ») à la ligne 15 (« il dit : »). Puis, la deuxième partie du texte, à partir de la ligne 15, jusqu’à la ligne 355 (« Je n’ai plus rien à ajouter, messieurs. »), le narrateur cède la place au patient du docteur Marrande. Enfin, le premier narrateur reprend le relai de la ligne 355 à la fin. 2) L’histoire commence réellement au récit du malade, ligne 15. Il utilise le récit enchâssé pour raconter son aventure