LM

appelle écart déflationniste la variation de la demande globale autonome nécessaire pour passer au revenu de plein emploi Chapitre 2 : la politique économique dans le cadre du modèle IS.LM IS = équilibre sur le marché des biens et des services I=S LM = façon de caractériser l’équilibre sur le marché de la monnaie L (demande de monnaie)=M (offre de monnaie=masse monétaire). Ce modèle ISLM est le cadre d’analyse théorique de l’équilibre macroéconomique et il représente l’équilibre simultané sur le

générale des niveau des prix.Il préféra épargner que dans en consommer.La consommation est dissuadée a nouveau et par conséquent la demande n’augmentera de la façon comme l’expose les keynésiens. 3- Théorème IS –LM :l’héritage keynésien Concernant l’économie de la demande le théorème IS-LM constitue l’un des grands prolongement de la pensée keynésienne. En effet il résume l’équilibre global de sous emplois keynésien en fonction de deux marchés celui des biens et des services et de la monnaie.On

→ Soit ABC un triangle : Si BC² = AB² + AC² alors ABC est un triangle rectangle. Exemple : On sait que : LKM est un triangle tel que LK = 6 cm ; KM = 7,5 cm ; LM = 4,5 cm. LKM est-il un triangle ? On calcule séparément KM² et LK² + LM² KM² = 7,5² = 56,25 LK² + LM² = 6² + 4,25² = 36 + 20,25 = 56,25 Donc : Comme KM² = LK² + LM² alors d'après la réciproque du théorème de pythagore, le triangle LKM est rectangle en L. Théorèmes des milieux. Théorème 1 : Si dans un triangle une droite

|Dénominations |Valeur |Symbole | |lumen |Flux lumineux émis dans l'angle solide de 1 stéradian par une source |lumen |  |Lm | | |ponctuelle uniforme, placée au sommet de l'angle solide et ayant une intensité| | | | |

ECONOMIQUE…………………….. I) Le programme keynésien : le rôle prépondérant de la demande…………………………. I.1) Le modèle à un marché…………………………………………………………….. I.2) Le modèle IS – LM………………………………………………………………….. Détermination de la courbe IS…………………………………………….. B) Détermination de la courbe LM…………………………………………….. C) La représentation de l’équilibre…………………………………………….. D) Impact des politiques actives………………………………………………. D.1) Cas de la politique

= −br − ρ(e + p − p). ∗ ∗ ∗ (IS) (IS∗ ) 1 2. D´terminer l’´quation (en logarithme) de la courbe LM dans les deux ´conomies e e e (l’offre de monnaie est not´e M s = M dans l’´conomie domestique et (M s )∗ = M ∗ e e dans l’´conomie ´trang`re). e e e L’´quilibre sur le march´ de la monnaie domestique et ´tranger est donn´ par : e e e e M =Yd P M∗ = (Y ∗ )d P∗ ⇒ ⇒ m − p = dy, (LM) (LM∗ ) (5) m∗ − p∗ = dy ∗ . 3. D´terminer l’´quation (en logarithme) de la courbe BP. e e En situation de

Terâsvirta (1988) ont utilisé le test du multiplicateur de Lagrange (LM) pour tester un modèle linéaire contre un modèle STAR. Ce type du test est basé sur un modèle linéaire de référence. Dans le modèle STAR, le modèle linéaire étant emboîté dans le modèle non linéaire. La restriction du modèle non linéaire est obtenue quand les coefficients de la partie non linéaire soient nuls. Teräsvirta (1994) propose un test de linéarité LM, d’une part pour estimer le modèle linéaire sous l’hypothèse nulle et

entre ces variables. Une écriture de ce modèle à correction d’erreurs est la suivante : ∆ log (Ct) = – 0,11 + 0,19 ∆ log (RDBt) + 0,18 ∆ log (Et) – 0,30 εFrance t-1 + νt (– 4,15) (3,05) (1,81) (– 4,73) Diagnostic statistique 2 LM(1,86) = 1,22 [ p > 0,27] LM(8,79) = 1,06 [ p > 0,39] [ p > 0,95 ] ^ ^ ARCH(4,86) = 0,42 [ p > 0,79] [ p > 0,66 ] WHITE = 0,72 [ p > 0,69] RESET (2,85) = 0,05 BERA JARQUE (2) = 0,84 ε’ε = 0,002 σ = 0,005 ^ 1. La statistique de student associée

activité. | | Quantités vendues | PV unitaire moyen | Coût de revient | Coût variable par article | | Presse (P) | 500 | 4 € | 16 000 | 2,5 | | Librairie musicale (LM) | 300 | 5 € | 13 000 | 3 | | Artisanat (A) | 30 | 15 € | 5 000 | 12 | Question : déterminer le résultat global et par article | Totaux | P | LM | A | Chiffre d’affaires | 39 500 | 20 000 | 15 000 | 4 500 | Coût de revient | 34 000 | 16 000 | 13 000 | 5 000 | Résultat | 5 500 | 4 000 | 2 000 | * 500 | Conclusion :

optimale, en fonction de la position dans le cycle économique, les principaux moyens d’action de la politique économique : la politique budgétaire et la politique monétaire. La modélisation économique de cette relation a été développée par le modèle IS-LM. Elle est étudiée par la synthèse néoclassique, et fait intervenir des mécanismes keynésiens. Deux règles majeures à portée normative éclairent le policy-mix : * Celle de Jan Tinbergen dite Règle de Tinbergen : il doit y avoir autant d'instruments